
Le putsch dont on parle depuis quelques semaines commence à se dessiner. Kaïs Saïed devient fou, il est d’une autre planète. Plusieurs partis et médias ont vu la chose venir et ont tiré la sonnette d’alarme. Là, ça commence à prendre forme.
Mardi 15 juin, le président de la République reçoit quatre anciens chefs du gouvernementqui trainent, tous, des casseroles. Il leur parle de complot, d’assassinat le visant, de volonté de changer quelques articles de la Constitution et le régime politique et de dialogue dont il exclut ceux qui ont des affaires de corruption pendant devant la justice.
Mercredi 16 juin, il s’envole vers Rome où il reçoit le doctorat honoris causa. Un certificat qui ne veut rien dire et qui ne sert qu’à grossir l’ego de son récipiendaire. Si l’on avait un doute, il est maintenant dissipé, Kaïs Saïed est vraiment atteint par la folie des grandeurs.
Durant toute sa campagne électorale, et jusqu’à la semaine dernière, le président de la République jurait ses grands dieux qu’il respecterait à la lettre la Constitution. Il l’a dit, il l’a répété, il l’a juré.
Mardi, il prend un virage de 180° et annonce qu’il veut modifier quelques articles de la constitution, car le régime politique actuel ne permet pas de gouverner.
Depuis son accession au palais de Carthage, le président de la République jurait ses grands dieux qu’il ne traiterait pas avec les symboles de l’échec et les suspects de corruption. Il l’a dit, il l’a répété, il l’a juré.
Mardi, il reçoit Ali Laârayedh, un des responsables du marasme politique et économique actuel, Youssef Chahed, qui voulait tailler une loi sur mesure pour écarter ses adversaires politiques à la présidentielle 2019 et Elyes Fakhfakh, suspect dans une affaire de conflit d’intérêts.
Durant toute sa campagne électorale, il a dit et répété qu’il est proche du peuple et qu’il ne courrait pas derrière les distinctions et les postes. Il a même promis de ne pas habiter le palais de Carthage s’il est élu président.
Mercredi, il ne dit pas non à une distinction honorifique octroyée par l’université italienne La Sapienza. Il prend juste le chemin de l’ancien président Zine El Abidine Ben Ali, honoré en Italie, de Rached Ghannouchi honoré en Inde et de Moncef Marzouki honoré au Japon. Est-ce à ceux-là que Kaïs Saïed veut ressembler ? A Tunis, on n’a pas raté l’occasion pour le moquer. Sur les réseaux sociaux, on en rigole pour dire que le président de la République n’a pas réussi à obtenir un doctorat en Tunisie, alors il a « brûlé » (émigré clandestinement) en Italie pour le décrocher.
Depuis son élection en octobre 2019, Kaïs Saïed n’a rien fait de particulier à Carthage. Il n’a proposé aucune loi et aucun vrai projet pour faire sortir la Tunisie du marasme dans lequel elle baigne.
Il cherche de nouvelles prérogatives, alors qu’il n’a pas rempli celles que lui accorde la Constitution. Selon celles-ci, il devrait s’occuper essentiellement de diplomatie et de l’armée. Sauf qu’il ne s’est jamais vraiment occupé de diplomatie. Pire, il a raté plusieurs rendez-vous internationaux en Europe et en Afrique alors que sa présence était des plus souhaitables pour nouer des liens avec les dirigeants du monde et les grands lobbyistes internationaux.
Il ne s’est jamais occupé de diplomatie économique et n’a rien fait pour que nos diplomates jouent leur rôle d’apporteurs d’affaires pour les Tunisiens. Pire, et à l’exception du président de l’Utica, il n’a jamais reçu des investisseurs tunisiens (ni étrangers) pour écouter leurs problèmes et doléances. Il n’a même pas reçu Tarak Cherif, président de la deuxième centrale patronale du pays.
Quant à l’armée, ce n’est un secret pour personne que la nôtre manque terriblement d’équipements et de moyens et que son personnel est loin d’être bien rémunéré. Qu’a fait Kaïs Saïed pour cette armée ? Rien ou presque. Pire, il l’a trainée dans la boue de la politique en impliquant la justice militaire dans des affaires qui devraient être traitées exclusivement par la justice civile. Ainsi le cas des poursuites frappant le député islamiste radical Rached Khiari qui a accusé Kaïs Saïed de haute trahison et du procès frappant le blogueur Slim Jebali, condamné à trois mois de prison ferme, pour avoir publié sur une page Facebook un photomontage montrant le président prier devant l’aéroport.
Kaïs Saïed, et il l’a dit et répété, se prend pour le président unique du pays, alors que la constitution en prévoit trois. Kaïs Saïed veut s’approprier des prérogatives non prévues par la Constitution, il voit le mal partout, il ne veut pas être critiqué, en un mot il veut être un président tout puissant, comme le serait tout dictateur digne de son nom.
Au lieu de remplir ses fonctions et de « halaliser » son salaire, Kaïs Saïed préfère le rôle facile de la critique. S’il y a quelque chose qui tourne mal dans le pays, c’est assurément la faute des autres, pas la sienne. Qu’a-t-il fait pour améliorer la situation ? Rien ! Pire, il met des bâtons dans les roues de ceux qui essaient d’entreprendre quelque chose. Contre vents et marées, et en dépit du vote favorable de l’assemblée (dont les membres sont élus comme lui par le peuple), Kaïs Saïed bloque la loi relative à la cour constitutionnelle et refuse encore d’organiser la cérémonie de prestation de serment des nouveaux ministres.
Pour assaisonner le tout, il privilégie, comme plusieurs dictateurs, la complotite. Il se dit ainsi menacé d’assassinat. Et ceux qui préparent son assassinat ont ourdi leur projet à l’étranger. Ce n’est pas la première fois qu’il sort cet argument, mais sans présenter l’once d’une preuve.
La première fois, on a parlé d’une enveloppe empoisonnée envoyée au palais de Carthage et ouverte par sa cheffe de cabinet. Sauf que celle-ci s’est empressée de mettre l’enveloppe suspecte dans la déchiqueteuse et que la police scientifique n’a trouvé pas l’ombre d’une trace de poison.
Pour la deuxième fois, il parle d’un complot ourdi à l’étranger par des traitres tunisiens. Comme tout dictateur, ou comme toute personne frappée par la folie des grandeurs, il traite ses « adversaires » de noms d’oiseaux. Des noms ? Il n’en donne aucun ! Des preuves ? Il n’en donne aucune. Et alors que le parquet militaire a réagi au quart de tour dans les affaires de Rached Khiari et de Slim Jebali, il devient étrangement discret dans cette supposée affaire d’assassinat du président de la République. Comme si le parquet savait que le président de la République ne disait pas la vérité et frappé par la complotite. C’est le ministère public qui a finalement décidé d’ouvrir une enquête à ce sujet.
En parlant de réforme de la constitution, en mettant ses critiques en prison, en évoquant son assassinat sans s’appuyer sur des faits solides, Kaïs Saïed franchit plusieurs lignes rouges. Il prend un chemin dangereux, très dangereux, dont l’issue est la fin de l’expérience démocratique tunisienne.
Les partis politiques tunisiens ont parlé de putsch institutionnel. Ils ne croyaient pas si bien dire. Kaïs Saïed est grisé par son pouvoir et par les sondages et il n’écoute plus que sa propre personne croyant dur comme fer qu’il a raison envers et contre tous. Il est encore là jusqu’en 2024.
R.B.H.


Bravo, vous l'avez prévue plus de 2 ans en avance...
Pour qui se prend ce monsieur pour rendre en otage tout un peuple?
Il faut le faire examiner par un psychiatre
21 Septembre 2019
Mon bulletin ne veut plus se jeter à l'eau
J'ai beau lui acheter palmes et beaux maillots
Il ne veut plus grimper, passer par la fente
Pour plonger dans des eaux sales et gluantes
Il a promis et juré de ne plus le faire
De ne plus se faire avoir de cette manière
Par ces bandes de truands et politicards
Qui ont transformé des espoirs en désespoir
Il est très têtu et les choses sont ainsi faites
Il ne veut plus jouer au dindon de la fête
A celui qu'on jette soudain dans des eaux troubles
Pour s'amuser à parier à quitte ou double
Il ne veut plus de cette classe d'inclassables
De tocards véreux, corrompus et minables
Il ne veut plus se retrouver dans une boîte
Pataugeant malheureux dans une chaleur moite
Il me l'a dit ce matin sans mâcher ses mots
Sans tergiverser et tourner autour du pot:
"Je ne peux choisir dans ce royaume de lépreux
Entre programmes misérables et plans foireux"
"Peste ou choléra, choléra ou peste
C'est hélas un type de jeu que je déteste
Choléra ou peste, peste ou choléra
C'est du pareil au même, et qui vivra verra !"
Vous devriez lire ou relire cette fable de La Fontaine : "Les grenouilles qui demandent un roi". Une petite merveille qui montre les limites de la démocratie.
LE VIEUX (2)
Ecrit par A4 - Tunis, le 12 Août 2017
Notre petit vieux est sénile
Il n'est plus du tout dans le coup
Il s'est montré très malhabile
En ne maîtrisant rien du tout
En s'entourant de gens débiles
Et de fistons à moitié fous
Le petit vieux est un vendu
Qui pactise avec le diable
Qui dévore le fruit défendu
Bien en cachette sous la table
Qui nous dessine des voies tordues
Aux désastres implacables
Il y va au pas des traîtres
Qui ne font jamais de cadeau
Qui ne pensent qu'à leur bien-être
En vous coulant votre radeau
Qui sont prêts à tout promettre
Puis vous poignardent dans le dos
Il y va d'une main tremblante
Dans un gant de compromission
Avec une voix haletante
Nous balbutiant sa reddition
Amère débâcle humiliante
Abandon et renonciation
Moi ma voix est partie au loin
Vers Jupiter ou Saturne
Pour cacher son amer chagrin
Avec des gens taciturnes
Sans discours de stupides babouins
Sans mensonge et sans urne
Ma voix à moi est bien morte
Comme meurent les espoirs trahis
Les feuilles que le vent emporte
Vers de noirs horizons haïs
Où l'on voit claquer les portes
Des coeurs de tristesse envahis
Une voix ça se cultive
Demande rêve et grand dessein
Mérite pour rester bien vive
Lueur d'espoir même lointain
Ma voix est à l'autre rive
Et vous en êtes l'assassin !
-27/02/2021 a 16h47- Tiens Serge je t invite a un diner avec des amis
-27/02/2021 a 19h24- As tu pensé a ma proposition de diner
-08/05/2021 a 12h04 Il dit le contraire
Avant de traiter les autres de toutes sortes de noms irrespectueux : Eboueur - Con - Racaille de Banlieue - Juif - Analphabete - Harkis - Serge - François Pignon - S D F - Chaouch - Trou du cul - Mytho et bien plus, c est le point fort des islamistes. , même a l Assemblée Nationale Tunisienne irrespectueux envers les femmes, en tant qu élu de la République Française, j ai du respect pour ses personnes. Les autorités Françaises font un travail très précis (sans commentaire)
El rajol mrémdi et plus le temps passe,plus il se nourrit de ses propres illusions;
Il a besoin d'une bonne piqûre,laquelle ne pourrait lui parvenir qu'en respectant la Constitution;
C'est une chance que l'on aie cette Constitution de 2014 et non plus celle de 1959,Appliquez là!
C'est KS qui a abjuré son serment de respecter la Constitution,le jour de son investiture à l'ARP,où il a juré sur le Coran;
Et tout le monde le regarde,le laisse faire à sa guise,agir selon ses caprices;
Il ne veut pas accepter la prestation de serment des ministres,eh bien passez-vous en;el îb jè mén ândou houwè loul!
Il ne veut pas nommer ses 4 représentants à la CC,eh bien passez-vous en en faisant cette CC même amoindrie,peut-être que lorqu'il sentira le danger,yarjâlou chèhéd el âkal!
J'en doute beaucoup, car le mal que Kaïs Saïed a causé à la Tunisie et aux Tunisiens, est gigantesque et irréparable.
II n'y aura plus que trois solutions pour Kaïs Saïed. Qu'il démissionne volontairement pour précarité psychiatrique. Qu'il soit destitué par les députés du peuple à l'ARP. Qu'il soit poursuivi et emprisonné par les deux justices civile et militaire.
Kaïs Saïed a perdu toute sa crédibilité. Il ne pourra plus rester jusqu'aux prochaines élections présidentielles de 2024.
Falè aâchè fi Tounes man khanahè.
Alors, soutenons KS contre la barbarie d'Ennahdha, et vive Abir Moussi.
Al Watan Akbar ya Abel Chater
Je pense que le Président K.S est parfois hors sol.Il fait une fixation obsessionnelle sur la Constitution et la corruption mais n'expose pas de solutions pour surmonter la crise économique et sociale qui touche les tunisiens. Et il ne parle jamais du Covid qui affecte le pays dans des proportions effrayantes. Il y a actuellement dix fois plus de morts en Tunisie qu'en France proportionnellement à la population et un quart des personnes testées vqui sont.positives. Voilà de vraies urgences à traiter.
De là à dire que K.S représente un danger pour la démocratie, il y a un saut que R.B.H n'hésite pas à franchir.
Certains se font une idée d'un roman à partir de l'incipit et de l'excipit (le début et la fin). Ici le «roman» de RBH commence par «Le putsch» et se termine par«Il est là jusqu'en 2024». Tout un programme qui en dit long sur la pensée de l'auteur qui ne dit pas un mot, par contre, de ceux qui sont aussi là jusqu'à cette date et qui sont autrement plus dangereux pour la Tunisie.
Comme on le dit à propos d'un discours exclusivement à charge :« Tout ce qui est excessif est sans importance».
https://www.worldometers.info/coronavirus/#countries Je vous suggère de consulter les bonnes sources sur le sujet.
testés en France contre environ un quart soit 25/100 des testés en Tunisie.Je me fie aux chiffres publiés par BN. Vous avez raison sur le long terme car il y a plus de morts en France qu'en Tunisie depuis le début de la pandémie (108 000 en France contre 13000 en Tunisie) mais maintenant
c'est le contraire proportionnellement évidemment.C'est ce qui est inquiétant d'autant que les vaccinations n'avancent pas assez vite.
Si je voulais vous porter la contradiction sur un simple point, je dirais que les interventions de Saied participent d'une volonté de rééquilibrer les pouvoirs.
En effet, vous ignorez par volonté et principe, si l'on peut parler de principes, les mésusages et l'abus de pouvoir joints aux combines d'un chef de parlement avec des troupes achetées ou contraintes pour cibler un Président rendu par votre décision comptable du désordre institutionnel et presque coupable de jeter les gens en prison par le truchement d'une justice civile ou militaire à lui acquises.
C'est non seulement faux, mais attentatoire à la fois au Chef de l'Etat et aux militaires en qui vous voulez voir des gens instrumentalisés.
Je crois, alors que je n'ai point la fibre militaire ni un tropisme pour les armées, que jusqu'ici, c'est la seule institution avec le Président qui demeure digne de respect.
Tant de mauvaise foi, de fausseté dans le rapport des faits, même si vous soignez vos écrits, ne peut se hisser au niveau des Sophistes avec qui vous partagez, sans le savoir, l'esthétique de l'écrire.
Enfin, vous tentez, mais vous avez beaucoup de progrès à faire pour y prétendre. Car, je vous flatte avec ironie en vous mettant sur les rangs.
Plus sérieusement, vous perdez crédit aux yeux d'internautes qui ont cru qu'ici était un espace à l'abri des traficotages de bas étage et des procédés étrangers à l'éthique du journalisme.
Libre à vous !
Il faut admettre aujourd'hui que le poste de président de la République ne donne, au mieux, que la possibilité de bloquer mais pas d'agir.
BCE l'a compris et a fini par fermer sa bouche et laisser YC jouer son rôle.
Il faut peut-être relire la constitution et sortir un article plus objectif sur ce qui peut être fait et par pitié évitez les termes stupides de diplomatie économique, conseil de sécurité ou dialogue national. Tout ça ne sert absolument à rien.
Et évitez de demander au président les lois que le gouvernement doit préparer sur la base de son budget, prévisions et programme.
J'ai vu tant de malheurs et tant de calamités et ensuite la terre devient désolée et vide.
Les politiciens sont le malheur et les politiciens apportent le malheur.
R.B.H. Prend la relève, pour un lynchage méthodique du président de la République,Kais Saied.
Un mutisme assourdissant, sur l'état du pays depuis que ces criquets ont atterri dans le pays, ne rien dire, ne rien divulguer, c'est comme par enchantement qu'ils sont kleen deux d'assassinats à leurs actifs, et et les échéances sont encore à 2/3 des élections !
Un parfum de connivence, une stratégie malsaine, et un épisode de mauvaise augure qui se dessine sous nos regards !
N'y a-t-il pas dans ce contexte des événements qui se succèdent pour but bien précis qu'il faut atteindre ,à savoir cette obsession du Gourou l'ascension au pouvoir suprême, par l'élimination de Kais Saeid ?
Les voici ils se relaient pour trouver la faille pour l'atteindre.(Manai)
Les adultes choisissent un programme économique et politique. Ils ne votent pas pour un gars parce que "qu'il a l'air honnête blablabla".
Comme ils ne votent pas parce que ces gens "craignent Dieu" LOL etc etc
bref, vous êtes comme la moyenne des tunisiens. Nul et très peu inteligent.
Maintenant en ce qui concerne le fond:
Le problème qu on a n'est pas KS mais plutôt comme je l ai dit précédemment un résultat d élection absurde. Un président indépendant et un parlement éclaté avec que des petites minorités. Et c est la pu le système parlementaire montre son inefficacité. Pour que le président fasse des projet il faut qu il ait un soutient politique sinon il fonctionne par décret. Ks n a pas de soutient et cette constitution à 2 sous a verrouillé le système pour les indépendants.
Ks aussi n a pas la force de bourguiba de renverser la table et de taper fort ni la ruse de béji Kaid essebsi ni le businessman de ben Ali. Il ne fait que parler. Bon il n a pas fait de mal dans le pays. Son point est défendable sur la cours constitutionnelle. Il sait que c est la secte qui la veut pour renverser le président en acte que bhiri a infiltré la justice et a placé ses hommes. Donc cet article de rbh ne présente que la moitié de l image il faut que rbh présente aussi le traffic de la secte pour compléter le tableau avec son gourou
Et
RBH grisé par quoi ?
Je dirai les 2 articles : 115 - 116 !!!inue come
C tout et si ça continue sur cette lancée même 1 inculte patenté ou pas abandonnera notre site!
Trop d'info TUE l'info !
Je rajoute:
Je n'ai aucune dent contre ce monsieur.
Plus je te lis, moins j'ai l'impression d'être dans un article journalistique, mais plutôt au bar du café du commerce.
Chiche ! On attend une aussi complète des faits et dires d'un Ghannouchi, Harouni, Bouchkeka, Khiari, Makhlouf, Affès et bien d'autres.
Une enquête d'ampleur sur les assassinats, les appels au meurtre, les sommes détournées, les fortunes aux origines non déterminées, etc.
Oui, il faut mettre fin à ce régime.
Pour cela, un argument infaillible: l'échec patent.
Ce régime, sa constitution et les dysfonctionnements pour ne pas dire l'ineptie et le dévoiement des institutions se révèlent incapables de rendre le service pour quoi ils ont été inventés. Ceci a sa traduction dans la vie quotidienne des citoyens.
C'est classique, c'est du déjà-vu. Ennahdha, c'est-à-dire Ghannouchi, ne cherche pas en ce moment à offenser le président. Le sale boulot est confié aux mercenaires, et cet article entre dans ce cadre.
Mais, épargnez vos efforts Messieurs les journalistes prépayés de Ghannouchi : le Président accomplira ses promesses tenues au peuple tunisien :
- Changer la Constitution,
- Changer le régime politique,
- Changer la loi électorale
Ces changements sont cruciaux, fondamentaux et indispensables pour la stabilité du pays, pour une gouvernance saine du pays et pour le rebondissement de économie.
L'Histoire ne fera jamais marche-arrière disait le Président. Cela veut dire que les magouilles de Ghannouchi sont arrivées à leur fin. Rien ne va plus. Ghannouchi joue aujourd'hui à visage découvert, il n'a plus de secret pour personne. '?a change, ou ça casse. Cela doit être clair dans l'esprit de Ghannouchi et de ses esclaves prépayés, qui n'arrêtent pas de disserter sur tout et rien.
Il ressemble à une caste qui au bout du rouleau, peut être même qu'il en fait partie...
Et dire que des médiats comme BN lui prêtent attention. Quel dommage !