
La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme auprès du Tribunal de première instance de Tunis a condamné, vendredi 2 mai 2025, l’ancien ministre de l’Intérieur Ali Larayedh à 34 ans de prison, dans le cadre de l’affaire liée aux réseaux d’acheminement de combattants vers les zones de conflit pour rejoindre des groupes terroristes actifs dans ces pays.
L’affaire concerne 800 personnes dont l’ancien président de la République Moncef Marzouki. Huit accusés étaient déjà en détention.
La chambre criminelle a également condamné Fethi Beldi et Abdelkarim Laâbidi à 26 ans de prison chacun dans le cadre de cette même affaire.
Le comité de défense d’Ali Larayedh avait dénoncé, la veille du verdict, une campagne de diffamation orchestrée pour obtenir la condamnation de l’ancien ministre sans preuves tangibles.
Dans un communiqué publié le 1er mai 2025, les avocats avaient pointé de « graves irrégularités » dans le traitement du dossier, accusant des parties proches du pouvoir d’avoir falsifié des éléments judiciaires à des fins politiques. La défense affirme qu’aucune infraction n’a été établie contre leur client, rappelant qu’en tant que ministre de l’Intérieur, Larayedh avait durci les mesures pour freiner les départs vers les zones de conflit. Elle dénonce un procès politique, bâti sur des considérations erronées plutôt que sur des preuves juridiques solides.
Pour avoir tous les détails sur cette affaire, consulter notre article : Ce qu’il y a à savoir dans l’affaire d’envoi de Tunisiens en Syrie et en Irak
M.B.Z
Vive la Tunisie débarrassée totalement de ses traitres et ses rebus.
Gloire à la NATION.
Au bagne, et à jamais, la racaille !
Ils croyaient (les bagla-liha) être devenus des Dieux, ces pitoyables imposteurs traitres.
Le sort en a décidé autrement.
Kaissoune, le peuple te sera éternellement reconnaissant !
Tu nous avais fait le serment que les destructeurs de notre fragile Tunisie, paieraient le prix fort.
Tu as honoré ton engagement.
Bénis sois-tu !
MERCI