La puissante centrale syndicale UGTT (Union générale tunisienne du travail) est sous le feu des proches du président de la République, ces dernières semaines. Ça a pris une nouvelle tournure hier, jeudi 9 juin, lors de deux conférences de presse concomitantes.
La première a été organisée par un groupuscule inconnu se nommant : « Mouvement du 25-Juillet » et s’autoproclamant « défenseur de la souveraineté du peuple ». Ce groupe soutient le régime de Kaïs Saïed et s’apparente clairement à un parti, même s’il s’en défend.
Lors de la conférence de presse, Ahmed Rakrouki (qui n’a pas précisé son poste dans ce mouvement) a déclaré que le secrétaire général de l’UGTT est « dépourvu de toute légitimité après le jugement de première instance en sa défaveur ».
Son appel à la grève générale du secteur public, le 16 juin, est donc nul et non avenu selon la loi, d’après lui. Il estime que l’UGTT a dévié de son chemin, a failli à sa mission et utilise ses affiliés comme chair à canon.
Dans le même sillage, quelques jours auparavant, le constitutionnaliste Rabeh Khraïfi, un des plus grands propagandistes de Kaïs Saïed, invite le président à « limer les ongles » de l’UGTT et ce en cessant le versement des cotisations que l’Etat prélève sur les salaires des fonctionnaires, en exigeant le règlement d’une dette au profit de la CNSS, en mettant fin aux mises à disposition des fonctionnaires et en frappant de nullité toutes les décisions du dernier congrès de l’UGTT.
Ce même discours guerrier est repris en chœur par les défenseurs de Kaïs Saïed depuis plusieurs jours.
La seconde conférence de presse du jeudi 9 juin a été organisée par les magistrats en grève depuis lundi dernier. Le président de l’Association des magistrats tunisiens, Anas Hmaïdi, a accusé la ministre de la Justice de s’ingérer dans l’affaire du congrès de l’UGTT et d’essayer d’influencer le cours de la justice.
« La ministre a appelé la première présidente de la Cour d’appel afin de lui demander d’attribuer l’affaire à une chambre précise... La première présidente de la Cour d’appel a refusé cette ingérence (…) elle a été révoquée juste après », a indiqué le magistrat.
Au vu des témoignages et des déclarations hostiles des uns et des autres et au vu de la campagne anti-UGTT observée sur les réseaux sociaux par les caciques du régime, il est clair que la centrale syndicale est dans le viseur du président de la République.
« Nous sommes dans la ligne de mire du pouvoir », a confirmé Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT, jeudi 9 juin.
La raison ? Elle est connue par tout le monde. La centrale syndicale a refusé d’être un faire-valoir du projet de Kaïs Saïed de pondre une constitution à sa guise et de valider le programme économique qu’a envoyé le gouvernement au FMI. Un programme établi en solo sans concertation aucune ni avec l’UGTT, ni les partis, ni la société civile.
Depuis son putsch du 25 juillet, le président Kaïs Saïed s’est accaparé les pleins pouvoirs et veut diriger la Tunisie à sa guise, selon son bon vouloir. Il exige que l’ensemble des corps de l’Etat et des corps intermédiaires y adhèrent, sous peine de sanctions.
C’est le sort réservé à l’Instance de lutte contre la corruption, à plusieurs hauts cadres de l’État et au conseil supérieur de la magistrature. Cette politique oppressive n’ayant pas donné tous les résultats escomptés, le président a révoqué la semaine dernière 57 magistrats en les accablant de différentes accusations infâmantes. Il se trouve qu’une partie de ces 57 magistrats a juste refusé d’enfreindre la loi et de servir le président dans ses objectifs politiques.
Le traitement est cependant différent avec les organisations professionnelles qui ne sont pas sous sa hiérarchie.
Peu importe, Kaïs Saïed a joué de l’intimidation et ça a marché avec la centrale patronale Utica qui s’est aplatie devant lui.
Avec l’Union des agriculteurs, Utap, et au vu de la résistance de son président, l’islamiste Abdelmajid Ezzar, le président a misé sur la traîtrise de son entourage. Un véritable putsch a été réalisé en son sein et Noureddine Ben Ayed s’est autoproclamé président. Avec la bénédiction du palais qui l’a rapidement invité au simulacre du dialogue national dont la finalité est de pondre, en quelques jours, une nouvelle constitution pour une nouvelle République.
Avec les avocats, il a fait miroiter une carotte à son bâtonnier et ça a également marché. Brahim Bouderbala figure au premier plan du dialogue et parmi les personnalités préférées du président. Peu importe s’il a tourné le dos à des décennies de militantisme du corps des avocats.
Idem pour l’Union nationale des femmes tunisiennes et sa présidente Radhia Jerbi.
La seule organisation nationale à résister à l’hégémonie de Kaïs Saïed, c’est l’UGTT. Elle est restée fidèle à ses traditions ancestrales de résistance au pouvoir despotique, dès lors que ce dernier cherche des intérêts personnels au détriment du pays.
Dans un premier temps, l’UGTT a bien cautionné le putsch du 25-Juillet, qui a chassé les islamistes du pouvoir. Il était alors question de sauver le pays et de mettre en place un programme pour corriger la trajectoire de la démocratie.
Or, au fil des mois, il s’est avéré que Kaïs Saïed ne cherche qu’à asseoir son pouvoir personnel et décide tout seul, sans concertation aucune avec les forces vives du pays. Le président ne reconnait ni les médias, ni les partis, ni les organisations nationales, il ne parle qu’aux béni-oui-oui.
Face à cette fuite en avant du président, l’UGTT a fini par dire non et a annoncé son refus de participer au dialogue national. Hors de question d’être complice dans ce mensonge de rédaction d’une nouvelle constitution. C’est un secret de Polichinelle que de dire que la constitution a déjà été rédigée par le président et que ce dialogue national est juste fait pour amuser la galerie et tromper les observateurs internationaux.
Ce refus a été mal accepté par le pouvoir qui a cherché, dès lors, à casser l’insolent secrétaire général Noureddine Taboubi.
Pour cela, il a tenté l’annulation du dernier congrès controversé de l’UGTT. Tentative échouée après le refus de la magistrate chargée du dossier. Il fait miroiter maintenant cette question de versement des cotisations des fonctionnaires et de la dette de la CNSS. Dette effacée sous la présidence de Mehdi Jomâa en 2014, soit dit en passant.
Kaïs Saïed, et ses militants, estiment à terme pouvoir gagner le bras de fer.
Il ne faut cependant jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Plusieurs s’y sont essayés auparavant et ils se sont cassé les dents. Kaïs Saïed n’a pas 1% de Margareth Thatcher pour pouvoir vaincre la puissante centrale syndicale. Les présidents Habib Bourguiba et Zine El Abidine Ben Ali en savent quelque chose. L’ex puissance coloniale s’est également essayée, allant jusqu’à l’assassinat du leader Farhat Hached, sans pouvoir mettre à genou l’UGTT.
Bon à rappeler, le 14-Janvier n’aurait jamais eu lieu sans l’appui de l’UGTT.
Le président défunt Béji Caïd Essebsi a bien retenu les leçons de l’Histoire et s’est toujours débrouillé pour avoir l’UGTT à ses côtés. « Est fou celui qui attaque l’UGTT », nous a-t-il déclaré un jour en réunion informelle avec les journalistes.
Ce que Kaïs Saïed et ses aficionados ignorent, c’est la capacité de nuisance de la centrale syndicale.
Si le pouvoir veut lui assécher ses ressources, avec cette question de retenue des cotisations, l’UGTT a le pouvoir de faire bloquer le pays en moins de 48 heures et d’assécher ses sources de revenus.
Si elle a décrété une grève d’un jour de la fonction publique, afin de réclamer des augmentations de salaire, elle a le pouvoir de prolonger à l’infini cette grève. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui vont dire non. Rien que la grève du transport est capable de bloquer le pays.
Sans aller à ces solutions extrêmes, qui peuvent nuire aux intérêts de la population, il lui suffit de demander aux fonctionnaires des impôts d’observer une grève, pour que l’État ne trouve plus de quoi payer ses charges.
Elle a également la possibilité d’utiliser ses amis à l’Utica qui s’opposent à la politique d’avilissement et de l’autruche observée par son bureau exécutif. Si l’Etat refuse d’opérer les retenues sur salaire au profit de l’UGTT, l’Utica peut également refuser d’opérer les retenues sur salaires au profit de l’Etat, puisque ce sont les patrons qui paient les impôts sur le revenu de leurs employés. Que l’UGTT aille chercher toute seule ses cotisations et que l’Etat aille chercher tout seul ses impôts.
Le fait est que l’UGTT a plusieurs cordes à son arc et est prête à affronter le régime de Kaïs Saïed.
Si Kaïs Saïed veut la guerre, l’UGTT a les moyens humains et matériels de la mener.
Or ni Noureddine Taboubi, ni l’UGTT ne veulent la guerre. Ils n’ont de cesse de dire, depuis le 25 juillet, qu’ils ne cherchent qu’à être associés aux décisions stratégiques pour le sauvetage du pays. L’UGTT refuse d’être un faire-valoir et de cautionner des décisions qui ne sont pas siennes.
En un mot, ce que demande l’UGTT, tout comme les partis, la société civile et les médias, c’est un dialogue avec les forces vives du pays. La Tunisie n’est pas et ne peut pas être une ferme où le président décide et les autres valident.
Raouf Ben Hédi
Et puis, qui entreprirent de lui faire la peau en cherchant à débaucher et créer un syndicat bidon.
Quel est le fou ?
Il y en a qui ont la mémoire sélective.
Il n'est que de lire les affirmations élogieuses des groupies islamistes depuis que la Centrale a choisi, Taboubi seul ou avec quelques uns, d'adopter une position peu conciliante envers le Chef de l'Etat.
Hier, L'UGTT était l'ennemi. La voilà louée.
Et dure qu'on veut prétendre qu'ils pensent.
Ce que cette centrale craint, que les accords imposés ou supposé dicté par le FMI lui couperait les vivres dans l'avenir.
Pour assenir l'économie il est tout a fait normal de privatiser certaines entreprises publiques quoi qu'il en coûte.
L'UGTT et Taboubi doit comprendre que la situation du pays est catastrophique à tout point de vue.
Nous nous sommes plus dans les années cinquante c'était une autre lutte et une autre conception de la vie.
Non nous ne sommes pas fou, la donne a changé et L'UGTT doit se soumettre aux conditions du réel.
Aucun syndicat au monde ne dicte ces prérogatives au gouvernement de quel bord que se soit.
A chacun ces devoirs.
Les hommes d'aujourd'hui sont des opportunistes qui soit syndicalistes ou politiciens sont tous des menteurs. Il suffit voir ou entendre les commentaires pour justifier les prochains
Grève. Je ne peux que dire lamentable, lamentable et lamentable.
PS: je ne suis nullement un partisan du Président, je suis de l'ancienne garde!
Point, sa mission se limite à cette activité.
Elle devrait et doit être APOLITIQUE.
EN AUCUN CAS SE M'?LER DE LA POLITIQUE.
La politique est réservé aux politiciens, ne pas confondre politique et être chargé de mission.
Dans les pays démocrates, et civilisés, '?uvrent en respectant les lois, les chartes.
En Tunisie quelques leaders syndicaux ont aidé les politiciens à se défaire de l'occupation.
Par la suite l'amalgame s'est perpétué, sous Bourguiba, et Ben Ali.
Donc le moment est venu pour éclaircir ce dilemme.
La grande Muette à la Caserne
La Centrale syndicale dans ses locaux, où s'exerce le rôle syndicale.
TABOUBI il faut choisir entre le syndicat ou bien la politique.
Tu confonds ces deux fonctions !
Point, sa mission se limite à cette activité.
Elle devrait et doit être APOLITIQUE.
EN AUCUN CAS SE M'?LER DE LA POLITIQUE.
La politique est réservé aux politiciens, ne pas confondre politique et être chargé de mission.
Dans les pays démocrates, et civilisés, '?uvrent en respectant les lois, les chartes.
En Tunisie quelques leaders syndicaux ont aidé les politiciens à se défaire de l'occupation.
Par la suite l'amalgame s'est perpétué, sous Bourguiba, et Ben Ali.
Donc le moment est venu pour éclaircir ce dilemme.
La grande Muette à la Caserne
La Centrale syndicale dans ses locaux, où s'exerce le rôle syndicale.
TABOUBI il faut choisir entre le syndicat ou bien la politique.
Tu confonds ces deux fonctions !
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Le tribunal de première instance de La Paz a décidé d'une « condamnation » d'une « peine de dix ans » d'emprisonnement, à purger dans une prison pour femmes de La Paz, trois mois après le début du procès et quinze mois après le placement en détention provisoire de l'ancienne cheffe de l'Etat de droite. Les anciens chefs des forces armées, Williams Kaliman, et de la police, Yuri Calderon, tous deux en fuite, ont écopé de la même peine.
Mme Añez, âgée de 54 ans, a été condamnée pour avoir accédé à la présidence de manière anticonstitutionnelle
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Les dictateurs se croient être à l'abri jusqu'au moment ils se trouvent fi galbha ou en exil.
wilfahim yifhim.
https://www.lemonde.fr/international/article/2022/06/11/bolivie-l-ex-presidente-par-interim-jeanine-anez-condamnee-a-dix-ans-de-prison-pour-l-organisation-d-un-coup-d-etat_6129793_3210.html
sont imputables directement a Mr Saed et sa clique de débiles névrosés
Ce qu'est en train de planifier cette clique est criminel et n'a rien a voir avec une opération de sécurisation de l'espace public
Mais on l'avait pourtant prédit dès cette date et on nous a traités de tous les maux surtout par des propos régionalistes contre les gens du nord de La Tunisie plus patriotes et plus nationalistes qui ne veulent que du bien pour La Tunisie et ne cherchent pas à escroquer l'?tat d'une part et obtenir ridiculement des compensations fantoches qu'ils n'y ont même pas pensé en 1956 lorsqu'il y a eu colonolisation réelle et non pas comme maintenant une colonisation interne, matérialisée par plusieurs manigances qu'il est inutile de citer leur liste.
Et vlati pas ,qu'on prend sur la gueule, neuf mille annnns de plus !!!
Je viens de prendre un de ces coup de vieux !!!
Que même mon miroir ne me reconnaît pas !!! :))))))))))
(Modérateur ça n'est pas grave s'il m'insulte, faut bien qu'il se défoule)
Voici un bref aperçu des ciliations "industrielles" qui ont marqués le nord afrique et précisément la Tunisie :
L'ère Acheuléen de 1 760 000 à 150 000 ans avant JC (Sites d'El Mekta et Redeyef, dans les environs de Gafsa, Sidi Zine, dans les environs du Kef)
L'ère Moustérien de 350 000 à 50 000 ans AV JC Caractérisé par les industries lithiques. (sites de Aïn Metherchem (Kairouan), Sidi Mansour (Gafsa), Bizerte, Fériana, Gabès, et El Guettar
L'ère Atérien de 145 000 à 30 000 ans (sites de Bizerte, du cap Bon, de Hergla, de Monastir, de Gabès, de Gafsa et de Redeyef.)
L'ère Ibéromaurusien de 25 000 à 10 000 ans AV JC caractérisé par l'industrie ibéromaurusienne au Maghreb dans la dernière phase du Paléolithique supérieur. (Sites de Tabarka, Nefza et Ouchtata)
L'ère Capsien de 10 000 à 6000 ans Av JC
La civilisation Capsienne remonte à 9800 ans et s'étend sur l 'ouest de la Tunisie jusqu'au nord-ouest de l'Algérie actuelle. Le nom de la ville de Gafsa découle de Capsa origine de cette civilisation. Cette civilisation a marqué le passage de l'ère de la civilisation paléolithique tardive aux premières phases du Néolithique.
Source Wikipedia et Encyclopédie Universalis
( J'en suis certain ma petite vielle chamelière de Nazou qu'avec un peu d'effort vous arriverez à comprendre ces faits historiques et l'apport de ce grand pays à la civilisation universelle)
Sur ce pauvre vieille Chamelière je te laisse baigner dans ta pisse de chameau
Mais je ne suis pas contrariante !
Puis un si "grand " pays ,qui fini aussi mal ,c'est une question d'appréciation !
ou d'optique ou d'une grande illusion !
Mais si vous tenez tant que ça ,a retourner a l'âge de pierre !
Je préfère rester avec Tabboubi !!!!
D'ailleurs aucune femme ne vous suivra !
Nous passer de lave linge et de lave-vaisselle ,il faut être complètement cinglée !!!
:))))))
Oui c'est un grand pays détruit par ce fameux couple batard Islamo-anarchiste mandaté par un occident criminel, haineux, traitre et hypocrite.
C'est un grand pays (à ce qu'il vous déplaise) qui renaitra de ses cendres loin de ce couple batard, des traitres et des abrutis
C'est un grand pays dont l'histoire contemporaine remonte a plus de 3000 ans qui a connu la première République dans le monde la première démocratie, la premiere constitution, le premier parlement avec chambre bicamérale.
Je suis Citoyen de ce grand pays fier de ces origines Amazigh, Carthaginoise, Romaine, Arabo-musulmane.
Oui Je suis d'origine Arabe, UN IDRISSI CHERIF descendant direct de l'Imam Ali, venu en Tunisie depuis plus de 1000 ans avec un livre à la main et non pas comme vos alleux à dos de chameaux armés de sabres et de cailloux pour voler, violer et tuer.
Je suis Idrissi mais le sang Amazigh coule dans mes veines de part mon grand ancêtre Idriss El Akbar marié à une princesse amazigh.
Allez ; Haya sayeb Salah ; I waste so much time with you, je vous laisse comme vous dites entre de bonnes mains avec votre boucher de Tabboubi, il raffole de la viande de chamelle bien cuite et bien arrosée.
Mes salutations pour Habel Charlatan l'éffeminé.
Les rappels historiques succincts que vous avez cités dans votre commentaire manquent de précisions. En 1978 le conflit entre l'ugtt et le gouvernement n'était ni plus ni moins qu'un énième épisode de la lutte de succession que se livraient à l'époque des factions au sein du PSD. Et feu Habib Achour a pris part à cette lutte intestine et a entraîné l'ugtt dans cette fronde pour abattre feu Hedi Nouira. Le 26 janvier 1978 n'avait rien de syndical car le 24 janvier 1978 le gouvernement avait accepté toutes les revendications salariales de l'ugtt et malgré cela la centrale syndicale a maintenu l'appel à la grève générale. Dès lors les masques sont tombés et le conflit était devenu politique et non syndical.
Malheureusement l'histoire de l'ugtt est émaillée de déviations de la centrale de sa MISSION SYNDICALE.
J'ai longtemps répété que ces pseudos syndicalistes qui se pretendent etre les héritiers de Hached ne sont en réalité que de vulgaires fils de Moufida (de Sami Fehri) En effet si Hached a sacrifié sa vie pour lutter contre la colonisation, ces malheureux batards luttent pour la reinstauration de la colonisation par l'endettement dangereux de l'Etat pour satisfaire leurs désirs farfelus, la privation de l'Etat de ses recettes fiscales de ses terres domaniales, et de ses revenus miniers.
Ce corporatisme mafieux est malheureusement la porte de nos malheurs par la quelle penetre un occident traitre, haineux, malade pour détruire une Tunisiequi a plus de DOUZE MILLE ANS DE CIVILISATION..
NON pour un pays qui accuse des années lumières de retard, la grève ne doit pas ETRE UN DROIT CONSTITUTIONNEL. C'est l'alibi utilisé par ces batard pour justifier l'arrêt de travail du corps médical en rejetant le principe de non-assistance de personne en danger pour hiérarchie de loi.
C'est cette même hiérarchie des textes qui autorise les forces de l'ordre a faire la grève, et les magistrats a bloquer les intérêts du contribuable pendant plus d'un mois pour obtenir d'un etat faible des salaires NON ADAPTES AUX CAPAACITES DU PAYS.
Cette fameuse constitution de 2014 écrite et approuvée par BHL est truffée de MINE POUR CONSACRER LE CHAOS EN TUNISIE.
La nouvelle constitution DOIT CONSACRER la continuité du travail de l'Etat à travers ses fonctionnaires qui sont au service du contribuable ET NON LE CONTRAIRE.
Ainsi le droit à la grève doit être banni de la fonction publique
Le droit syndicale doit être interdit pour certains ministères comme l'intérieur, les affaires étrangères, la justice, la santé, l'éducation'?'
IL REVIENT AU VRAI CONTRIBUABLE (QUI PAYE SES IMPOTS) D'ARRETER L'HEGEMONIE D'UNE ADMINISTATION VOYOU CORROMPUE A LA MOELLE qui impose ses règles grâce à l'UGTT
Selon les informations officielles, Israël est sur le point de connaître la prochaine vague de Corona. Le déclencheur serait la variante omicron BA.5. Et, ô miracle, les quatre vaccins précédents ne sont guère efficaces contre elle. Il en faudrait un cinquième, qui offrirait une protection particulière.
On entend souvent la phrase "Mais nous pensions que c'était fini" ces jours-ci en Israël. Le nombre d'infections à Corona est en forte hausse, beaucoup de choses indiquent le début d'une sixième vague, déclenchée par le sous-variant BA.5 d'Omikron. Pikannt : Israël a été considéré dès le début comme le champion du monde de la vaccination. Mais le taux de vaccination élevé n'a probablement eu aucun effet. Pourtant, les officiels ne cessent de répéter que les évolutions sont soi-disant plus légères après une vaccination.
L'arrivée prochaine d'une cinquième piqûre en Israël dépendra surtout de la situation dans les hôpitaux. Les responsables du ministère de la Santé espèrent encore que la nouvelle variante est certes très contagieuse, mais qu'elle n'entraîne pas un nombre élevé d'évolutions complexes. Si les jours à venir ne confirment pas cet espoir, les personnes âgées et immunodéprimées seront probablement appelées à faire des rappels. En Israël, ces groupes ont déjà pu recevoir quatre vaccins, la dernière vague de vaccination ayant eu lieu en janvier - il y a donc cinq mois. L'effet protecteur de ce rappel pourrait donc déjà être fortement réduit. En plus des personnes âgées, les parents sont également appelés à faire vacciner leurs enfants avec un rappel s'ils n'ont reçu que deux doses de vaccin.
Pour le jubilé, il y aura un Corona Super - Booster - Shot avec un vaccin vert - climatique - bio. Celui-ci est exempt de CO2 et neutre du point de vue du genre.
2- l'ugtt n'a pas de casseroles
3- l'ugtt n'a pas besoin de revoir son positionnement vis à vis de la vie politique et de repenser son respect aux instances de l'Etat
4- que la presse est libre et indépendante de l'argent des lobbies politiques
Typiquement tunisien: T3allim Lè7jèmè Fi Rous Litémè !
Moi, "si".
Alors, svp, ne parlez que de ce dont vous etes certain.
Yezzi mel klouf ...
Les effets de la crise économique et sociale vont être terribles et ne pourront être évités
Aucun des deux bords ne prend mesure de la gravite de la situation
Mais là, il est tombé sur un os. Certes cette centrale est devenue comme le cailloux dans la chaussure, mais il y'a des limites à ne pas dépasser, aujourd'hui le président K.S à plus d'un tour dans sa tête, et je pense que nous allons demain sans trop tardé au clache et Taboubi sera derrière les barreaux, et d'autres part fini les versements de cotisations de l'ensemble des fonctionnaires de l'état.
Ce jour-là sera la faillite de cette centrale à jamais.
Voilà où se Taboubi veut conduire le sort de cette institution en se prenant pour Jules César.
En effet , La lutte contre la corruption n'est qu'un slogan scandé haut et fort par les hommes politiques de tout bord , par la société civile , les syndicats et autres corporations . la preuve , c'est que quand le pouvoir actuel a pris ce problème au sérieux et a commencé le nettoyage des institutions les plus touchées , tout le monde s'est levé pour crier au scandale et traiter le président de tout les noms . Jamais , on a connu un tel consensus en Tunisie ça va des islamistes à l'ugtt , des RCDistes aux communistes , des journalistes aux avocats etc .....
Tous ces gens veulent continuer à regarder ailleurs ou à fermer les yeux à croire qu'ils y trouvent leur compte
l Ugtt n est plus celle de Farhat Hached, le heros national que l ugtt instrumentalise pour se sacraliser et se permettre
tout. faire effondrer les entreprises a travers les greves, terrorister les institutions etatiques a travers ses cellules qui nous rappellent les cellules du Rcd, partout dans le secteur publique , vouloir decider de la nomination des directeurs des societes etatiques, des gouverneurs paralyser les pouvoirs de decision de l etat, partout sous la menace de greves. L ugtt n est plus celle de Farhat Hached et vouloir comme elle fait
s imposer comme parti politique qui exige la moitie du pouvoir sous couvert de syndicalisme.
c est incompatible avec une democratie.
L Ugtt est certes une organisation nationale, mais cela ne singnifie pas que les interets de ses adherents quoique tunisiens eux aussi, sont synomymes des interets de 12 millions de tunisiens et du pays. Citez moi le pays ou l etat collecte les cotisations de
ses adherents au profit
d une organisation syndicale? Citez moi un pays ou l etat paye les salaires des fonctionnaires d une organisation syndicale, avec l argent des contribuables surtout que 85% de ces contribuables ne sont membres de
l Ugtt? Le professeur en droit constitutionnel Rabeh Khraiefi se rend coupable de briser un tabou que personne n a ose debattre et mettre en question, la sacralisation du role d une organisation syndicale dans une democratie, un role obsolete..
Le changement doit etre brutal pour briser le cercle vicieux que ca plaise a ces racailles de syndicalistes ou non. Le pays ne peut etre gere par des syndicalistes, on n'a pas les finances pour ce luxe, meme les pays les plus riches ont ferme la vanne du cash. Remettez vous en question, c'est utile des fois.
Maintenant elle fait tout pour faire tomber la discussion avec le FMI
La puissante UGTT a toujours soutenu la Tunisie dans les moment difficile aujourd hui c est le contraire domage dans ce pays et depuis 2011 tout le monde veut faire la politique meme si elle n est pas de leur jurisdiction
Si Taboubi veut faire la politique esperons qu il ne se casse pas les dents
...
Pour eux, c'est "retour a la case départ"
...
Plus aucun choix possible pour eux.
Que l'ultime solution de - uniquement - défendre le droit des travailleurs Tunisiens en proie avec des patrons exploitants.
...
Plus aucune ingérence en politique.
...
Labloubi, va t'en taper un, de lablabi ... et avec de la hegma, 3adham 3arbi, harissa 3arbi, kammoun, karwiyya ou nokta besbes, zit zitoun, torchi ou tonn
...
Ensuite, raccroches et rekkah rohek :
La digestion va etre difficile ...
Episode a suivre ... (avec passion)
Reste à savoir depuis quand ce fou est fou de nahdha ?
Depuis 2 à 3 ans ce messie de malheur n'a dans son actif que la destruction, aucune amélioration même minime à signaler .Et aujourd'hui il s'attaque à UGTT parce qu'elle à osée dire non à une mascarade de dialogue national, à partir de là ses jours sont comptée, il n'en est pas conscient, bien entendu.
L'ugtt doit comprendre que nous avons changé d'époque. Nous ne sommes plus à l'époque de la lutte pour l'indépendance nationale . Par contre les rapports sociaux entre les partenaires de l'outil de production nécessite une action syndicale indépendante du politique.
Sahbani très malmené par Ben Ali , l'Ugtt n'a rien dit
les grévistes des mines de phosphates de 2008 rejetés par l'Ugtt et virés par l'Ugtt dans une réunion à l'hôtel Amilcar ( Hôtel déjà privatisé ). L 'assurance Ittihad propriété de l'Ugtt privatisée...etc
J'avais un ami militant de gauche, un vrai communiste.
Il était toujours suivi par la police de Ben Ali même pour aller chier.
Chaque fin d'après midi, il s'assoit sur la terrasse d'un café.
Comme d'habitude, il commande son café allongé mais gare à celui qui s'assoit à sa table même sans lui adresser la parole.
Ce pauvre citoyen est convoqué le lendemain et il a intérêt à collaborer.
Mon ami, lassé d'être constamment pisté par toute une meute de flics, il a eu une idée géniale.
Un jour, il se ramène avec son chien et se mettent tous les deux à la même table (seulement deux chaises !)
L'ami commende deux cafés, l'un pour lui, l'autre pour son adorable chien en prenant soins de ramener un verre de chez lui.
Tous les clients présents observent avec amusement une scène osée et impensable.
L'ami sirote son café sans oublier de faire de même pour son fidèle compagnon.
Le comble de cette histoire, tout au long de ce spectacle inouï, les complices dialogues, l'un avec les paroles, l'autre par les gestes et les aboiements.
Je vous laisse imaginer un peu l'ambiance dans ce café.
Après ces moments inoubliables pour nos deux compères,
mon astucieux et courage ami, avant de quitter les lieux, il s'adresse à son intelligent chien :
Je te préviens, tu l'a cherché, tant pis pour toi,...
Demain à la première heure, tu sera convoqué par les poulets.
Je t'encourage de dire la vérité, rien que la vérité.
Sinon, tu risque d'être interné dans une cellule "grizi" pour une durée indéterminée.
Je n'oublierai jamais cette histoire véridique.
Et croyez-moi, c'était la belle époque.
C'était une belle époque où le tunisien avait vraiment les couilles, il aspirait à la liberté et à la dignité avec conviction et courage.
Hélas,...
C'est que la majorité des Tunisiens soutiennent le président.... Enfin il paraît....
Voyons où tous ça va nous mener...
Je ris d'avance.... Le 25 juillet le fait peur....
En '?uvrant ainsi et en envoyant Taboubi voir ailleurs, l'UGTT préservera toute son indispensable utilité, sa dignité et restera respectée, dans la lignée de l'état d'esprit du prix Nobel qu'elle a reçu, du temps de Abassi, pour avoir su "tempérer les choses" à une période cruciale.
Car, tout comme les magistrats qui voudraient défendre les intérêts et magouilles des plus pourris d'entre eux, et qui commencent à se dévoiler aux yeux des tunisiens, l'UGTT va bientôt donner l'impression, au travers des déclarations de son secrétaire actuel, qu'elle défend des "intérêts inavouables" ou cherche à "monnayer" un appui politique au prix fort et au plus offrant aux partis qui lui tourne autour ces derniers temps et laissant planer de désastreux soupçons de "marchandages" sur le dos du syndicats autant que sur celui de l'ensemble des tunisiens.
Quant à la suppression des prélèvements des cotisations d'adhésion sur les salaires du secteur public, ce n'est que juste réflexion, car aucun texte de loi oblige l'état à le faire. Le montant de ces cotisations pourrait servir, à titre d'exemple, à soutenir la caisse de compensation, pierre d'achoppement des négociations actuelles avec le FMI, les tunisiens, dans leur ensemble et surtout les plus démunis d'entre eux, en serait les principaux bénéficiaires.
Alors, quand "nul n'est irremplaçable" à la tête de L'UGTT, c'est une citation qui a tout son sens aujourd'hui.
Grèves, manifestations, contestations... ne pourront que bloquer l'économie.
Il est bien de défendre les droits des travailleurs mais pas pour se remplir les poches et vider les caisses de l'état puisque même au seing de cet organisme, l'UGTT, la corruption bat son plein . Il faudrait rabaisser un peu le caquet à ce Taboubi
L'idée de l'auteur est d'aiguiser un peu plus l'appétit du chef de ce syndicat qui adore la lumière des projecteur et les superlatifs de certains mal intentionnés .
Le combat auquel on veut impliquer l'ugtt aujourd'hui est un combat contre l'état Tunisien et contre le peuple tout entier .
Mais de là à faire l'éloge de la maudite centrale syndicale l'UGTT qui ne cesse de casser toute tentative de développement économique du pays depuis les années 70 à coup de grèves et de sabotage et en ne semant que la culture du moindre effort et de fainéantise dans le secteur privé comme dans le secteur public (secteur en faillite totale tellement ils l'ont tété); c'est vraiment Sir RBH du journalisme de lèche bottes à deux balles !!
Bon, objectivement votre; censure ou pas censure...
Le 25 juillet sera le début du vrai cauchemar quand il aura les pleins pouvoirs.
Les Tunisiens vont pleurer leur mère.
Raisonner avec des fous, c'est présenter de la lumière à des aveugles.
En voyant les grands hommes traités de fous, les fous bhimcop s'imaginent être des grands hommes.
Chez vous à carthago et dans toutes les maisons de fous un individu qui, de bonne foi, se croit être le soleil (tu parles de soleil, je dirai l'éclipse totale).
Sachez que : Le silence est la vertu des fous et des sots et Un méchant fou n'a pas plus de cervelle qu'un caillou. (moi je dirai 1 petit pois chiche et encore!
sachez que : La communauté politique la plus libre est celle dont les lois s'appuient sur la saine raison. (Baruch Spinoza)
En Tunisie avec bhim.. On commence toujours un projet par la fin. Quand on programme un GPS on lui dit où on va, pas où on est.(C ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie?
Un projet de société se définit par la place qu'il attribue à l'homme, et par la relation qu'il établit entre l'individu et la collectivité. (avec ou sans UGTT ?)
Bhim ne sait pas que : Le projet est le brouillon de l'avenir. Parfois, il faut à l'avenir des centaines de bouillons.
Et je termine par dire au Président : Quand tes seuls projets ne résident que dans le passé et que tes seuls regrets ne naîtront que dans le futur alors analyse le présent pour comprendre tes erreurs...
Et que : Tout projet social, qui n'est pas établi sur la justice, est voué à l'échec.
Mais, sache que : Il ne faut jamais faire de projets, surtout en ce qui concerne l'avenir.
A-t-elle réagi à la révocation des 57 juges sans qu'ils soient entendus ni défendus ? N'est ce pas un droit minimal de l'Homme.
Sur le fond, l'UGTT reste la seule organisation crédible, malgré ce qu'on pourrait lui reprocher. Devant le paysage morcelé des partis politiques, c'est le seul refuge de tous ceux qui veulent être rationnels dans leur "digestion" de la situation du pays.
Je pense que toute créature ou tout organisme qui envisage s'attaquer au président en exercice de la République tunisienne, doit se mettre dans le crâne, les chiffres que je viens de rappeler. Que cette créature s'appelle Taboubi, Ghannouchi, ou que cet organisme s'appelle UGTT ou n'importe quoi d'autre, Kais Said reste, tout au long de son mandat présidentiel, une ligne ROUGE à ne pas franchir. Franchir cette ligne, c'est se faire brûler vif.
Charlatans de tout bord, vous êtes avertis.
Et maintenant, l'épreuve fatale va mettre à nu tout ce projet diabolique du clan Saied.
'?videmment, L'UGTT est la seule et l'unique épée capable de faire barrage et stopper net l'ambitieux projet personnel, narcissique et suicidaire d'un président hors la loi et hors du temps.
Disons, j'ai hâte d'assister à cette fabuleuse pièce de théâtre donc la fin sera, à mon avis, pitoyable.
En fait, je ne sais plus..qui a tué l'autre, David- Goliath ou Goliath-David !?
Les paris sont ouverts...
car l'histoire (il faut bien relire l'histoire) a prouvé que les syndicats se sont de tous temps confronté à l'état, et je dis bien l'état au sens moderne du terme (et non pas un état gangréné par des barbus terroristes) et ils ont fini par être brisés . Il suffit de se rappeler les années 70 en Tunisie l'époque où Bourguiba avait mis fin aux ambitions des dirigeants syndicaux par la force ou bien de se rappeler l'ère Margaret Thatcher en Angleterre la dame de fer qui avait mis au pas les syndicats après une violente confrontation.. Alors redescendez sur terre, et sachez que rien ne résiste à l'état seul détenteur de la violence légitime, et j'espère évidemment que l'on en arrivera pas là car ce serait du gâchis..
Utilsez les muscles de l UGTT pour le bien du pays
La politique ne vous concerne pas sinon elle va vous finir
UGTT est une grande institution ces Dirigents doivent etre du meme calibre
.
vous étiez un peu neutre et objectif . De loin je ne suis pas partisan du Président mais le 24 juillet m'a fait beaucoup de mal et j'espère ne pas le revoir
un syndicat en principe est organisme social qui dans mettre la main en collaboration avec tous les ministères des affaires sociale l'enseignement etc..
ct organisme devient lache et destructeur
Comme les nahdhouis, ils se relaient selon un sujet d'actualité et selon un emploi du temps contre KS, et son gouvernement.
l'UGTT reste un syndicat qui doit '?uvrer pour l'apaisement et non le contraire.
Actuellement, ce n'est pas le cas.
J'insiste pour rappeler que je suis apolitique et ne soutient aucun parti.
Je soutiens KS car il a mis hors d'état de nuire tous ceux qui ont saigné le pays 11 années durant.
Les précédents Présidents Marzougui et BCE n'avaient jamais levé le petit doigt contre les partis politiques qui ont gouverné, bien au contraire, ils leurs ont permis de s'installer dans la durée.
Le résultat est là.