
L’Instance administrative de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) a affirmé que la centrale syndicale ne participera pas au dialogue national dans sa forme actuelle et telle que fixée par le président de la République, Kaïs Saïed.
La centrale syndicale a expliqué que cette décision résultait de l’approche unilatérale de la part du président de la République. La décision avait été prise à l’unanimité des participants à l’Instance administrative.
L’UGTT a motivé cette décision par l’absence d’échanges et d’une approche participative. Celle-ci ne répond pas aux attentes des forces nationales cherchant à mettre en place un processus patriotique permettant de sortir de la crise.
Le secrétaire général adjoint et porte-parole de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a annoncé qu’une conférence de presse se tiendra le mercredi 25 mai 2022 portant sur la position de l’union quant à la situation politique, le projet de réformes présenté par le gouvernement au Fonds monétaire international et les revendications sociales des travailleurs.
Dans un point de presse du 23 mai 2022, Sami Tahri a officiellement annoncé que l’UGTT ne participera pas dans le dialogue national tel que formulé par le président de la République, Kaïs Saïed. Il a réaffirmé l’attachement de la centrale syndicale au dialogue et à l’adoption d’une approche participative. Il a renouvelé le refus de l’organisation de participer à tout débat parachuté et consultatif visant à approuver un projet élaboré au préalable et basé sur l’exclusion des partis politiques.
Sami Tahri a annoncé que l’UGTT considérait que le décret n°30 du 17 mai 2022 portant création de la commission nationale consultative pour une nouvelle République ne répondait pas aux attentes nationales et des forces patriotiques.
Sami Tahri a, également, souligné l’opposition de la centrale syndicale à tout retour vers la situation d’avant le 25 juillet 2021. « Nous barrerons la route à tous ceux appelant au chaos et à l’ingérence étrangères sous-prétexte de défendre la démocratie à laquelle ils ont tant porté atteinte en exploitant les institutions de l’Etat », a-t-il déclaré en lisant un communiqué officiel de l’Instance administrative de l’UGTT.
S.G

Sinon pourquoi un Tunisien, un Européen, un Asiatique, un Américain ou un cheikh devrait-il investir dans ce pays ?
Tunisie - UGTT = Tunisie moderne et florissante
Mettre un peu d'eau dans son vin, et se mettre autour d'une table pour faire le bilan de cette décennie de calvaires, arrêter cette campagne de destruction.
La rigidité de carthage et l'extrémisme des autres partis politiques, nous conduisent vers la catastrophe, où personne n'en tirerait bénéfice !
La Concorde reléguée dans les oubliettes, tôt ou tard tous vous en paieraient les d'évidentes de votre obstination, comme gouvernement, partis politiques, et même la présidence de la République.
'?A NE SAURAIT TARDER messieurs !
Ks se moque des hommes! Il croit que tout les tunisiens sont des marionnettes et des populistes /stupides
D'habitude j'ai beaucoup de réserve envers l'ugtt mais aujourd'hui ils n'ont pas trahi farhat hached le combattant des dictateurs
Rien que de voir les plateaux a la Tele et d ecouter les radios
Tous ne sont pas sur la meme longueur d onde
Il faut un General pour une periode determinre mettre de l ordre dans notre pays qui deraille
Monsieur le Président, je vous suggère ceci:
Le décret présidentiel régissant le dialogue est déjà au JORT. Crédibilité de l'Etat oblige, ce décret ne pourra être, ni révisé ni annulé. Que faire?
Les concernés par ce décret auront le choix:
- soit accepter l'invitation dans les conditions définies par le décret,
- soit décliner l'invitation.
Ceux qui cherchent à conditionner leur participation par des dictats, et ceux qui refusent, qu'ils restent chez eux. Le Président soumettra ses textes au peule, comme prévu le 25 juillet 2022, le peuple tranchera par référendum.
On peut critiquer l'UGTT mais ici l'organisation se bat pour son indépendance.
2. Les ennemis et les amis de Saied sont unanimement contre sa démarche où il veut imposer sa vision politique. Ils ne sont pas contre la vision elle-même, mais pour participer au pouvoir. Les ennemies et les amis de Saied se moquent pleinement des tunisiens et de la Tunisie, mais leur réaction animale ne permet que freiner le projet malade de Saied.
3. La démarche de Saied n'a pas touché uniquement les simples citoyens, comme étaient les cas de 1987 et 2011, mais elle a impacté largement les hommes d'affaires, qui sont capable d'initier un soulèvement à tout moment.
Ces bons signes disent que la fin du cauchemar Saied est proche, mais qu'elle seraient les alternatives? Un soulèvement conduira au retour du traitre Ghannouchi comme président, ainsi au retour du régime opportuniste et corrompu de l'avant 25/07, alors qu'un coup d'Etat mettra Saied en confinement psychiatrique, et donnera la relève à ses soutiens irresponsables et anarchistes! Le problème des politiciens de l'après 2011, et de ceux qui se présentent comme bienfaiteurs, savants, sages, ou sauveurs, est qu'ils ne sont pas assez patriotes pour comprendre que le volet développement doit avoir la même priorité que le volet politique sinon tout le monde souffrira.
La liste des fautes est longue, car les discours des dernieres dizaine d´années, souvent infructueux, n'ont plus une grande importance.
Breff: Les syndicats ne font pas leur travail depuis des décennies.
Des défis auxquels nous sommes confrontés (industrie numérique 4.0, problèmes d'endettement, pauvreté des personnes âgées, système d'assurance maladie à 4 classes, et sans parler de l'écart entre riches et pauvres qui se creuse d´avantage, environnement / climat, corona... etc.)
Les syndicats sont des dinosaures d'antan. Et finiront ainsi.
A juste titre.
Il est incontestable que les syndicats ont le droit de se protéger contre la propriété capitaliste des esclaves. Et si l'un ou l'autre syndicaliste prend le mauvais ton n'a pas d'importance. Cela devient problématique lorsque les syndicats empêchent la restructuration des entreprises en difficulté par des principes équestres. Je prends l´example actuellement de l'administration, Tunis Air ou port de Radès en Tunisie. Ceux-ci sont massivement endommagés par l'UGTT. Pour éviter des dommages importants, des emplois doivent être supprimés. Et, cela n'est pas possible en raison des indemnités de départ.
Maintenant il nous reste que la poltique de casser les os..
Donc, peu importe celui qui aura le dernier mot dans ces bagarres d'entre incompétents, ignares et autres corrompus, mais ce dont on est certain c'est que le perdant est connu d'avance je veux dire la Tunisie.
Sinon il ne participe pas
Il veut une médaille pour CV
La Tunisie il s'en fou
Aux opportunistes de L'UGTT, si vous n'avez aucun patriotisme et Saïed ne vous jettera aucun os.
Il y a beaucoup de reproches que les tunisiens pourraient faire au syndicat comme ils l'ont fait aux partis politiques qui sont en voie de disparition aujourd'hui, que cela plaise ou non, il est facile de constater que l'effacement de ces derniers est de plus en plus évident.
ce n'est pas difficile de comprendre l'article 80 de la constitution
pour trancher que c'est un putsch.
Sa destitution n'est plus qu'une question de temps maintenant....
C'est le résultat de l'entêtement de ce président qui se croyait au dessus de tout le monde
Ni nahdha ni KS...... On mérite largement quelque chose de mieux pour ce bon peuple et pays !!
Donc l'avis de taboubi on s'en.bat le goliwog.
Nessta3rreff bikoum !!!!