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Les plus grandes chaînes d’information continue, africaines, arabes et internationales, ne parlent que de la Tunisie ces derniers jours et elles en parlent en mal. Au menu, les propos considérés comme racistes du président de la République. Outre cette très mauvaise publicité, il y a la suspension du partenariat de la Banque mondiale avec le pays, les campagnes de boycott des produits tunisiens et la stigmatisation des ressortissants tunisiens dans plusieurs villes africaines. Sans aucun doute, le communiqué de la présidence de la République du 21 février va coûter au pays plusieurs milliards de dollars.
L’Afrique c’est l’avenir, c’est là où l’on devrait enregistrer le taux de croissance le plus élevé dans les années à venir. C’est là aussi où les Chinois et les Russes disputent l’hégémonie avec les États-Unis et les anciennes puissances coloniales européennes.
Conscient du potentiel du continent noir et de son africanité, le Maroc a toujours eu une politique audacieuse avec les pays subsahariens et a encouragé ses entreprises à s’y implanter. Pour leur faciliter la tâche et créer les jonctions nécessaires, il a poussé Attijariwafa Bank et la Royal Air Maroc à accompagner ces entreprises là où elles sont.
Avant le Maroc, la Libye de Mouammar Kadhafi a longtemps rêvé des États-Unis d’Afrique. Elle a même créé une compagnie nommée Afriqyah pour desservir les plus grandes capitales depuis Tripoli.
La Tunisie a été moins timide, mais depuis Bourguiba elle a préservé de bonnes relations avec un certain nombre de pays africains (notamment francophones) en jouant la carte gagnant-gagnant. Souvent, présidents et chefs de gouvernement ont effectué des visites de travail et d’amitié pour pousser à la coopération Sud-Sud. La dernière en date est celle de l’ancien chef du gouvernement Youssef Chahed en 2017. Business News a alors intitulé son reportage de la tournée : « Youssef Chahed est parti chercher l’argent où il se trouve ».
Le travail des politiques a consisté à établir les jonctions, mais aussi à pousser nos industriels et nos exportateurs à regarder vers le sud. Pour les aider, le Cepex (organisme de l’Etat destiné à encourager les exportations) a mis des millions de dollars sur la table. Idem du côté de Tunisair qui a créé des lignes directes avec quelques capitales ouest-africaines. Les ambassades ont été sensibilisées à la chose économique et les visas d’entrée en Tunisie ont été supprimés pour la majorité des pays africains.
Cette politique africaine de la Tunisie et ce lobbying, quoique modeste comparé à celui du Maroc et de la Libye, ont eu leurs bienfaits et ont permis à la Tunisie de devenir la destination de milliers d’étudiants africains qui, une fois devenus cadres dans leurs pays, se sont transformés en bons ambassadeurs de la Tunisie. Cette politique a permis aussi à la Tunisie de devenir la destination de plusieurs patients africains venus se soigner dans les cliniques tunisiennes, moins chères et aussi efficaces que leurs homologues européennes.
Aussi, on note l’arrivée en 2001 de la Banque africaine de développement qui a établi provisoirement son siège à Tunis au vu de la crise politique et sécuritaire de l’époque à Abidjan.
En chiffres, la balance commerciale est excédentaire avec l’Afrique, ce qui est rare. En 2021, on a enregistré 1,35 milliard de dinars d’exportations contre 206 millions d’importations. C’est très modeste, mais une balance excédentaire, c’est quelque chose de très rare vu qu’on est déficitaires presque partout dans le monde.
Avec l’arrivée de Kaïs Saïed, cette dynamique s’est arrêtée net ! Depuis son accession au pouvoir, en 2019, le président de la République n’a effectué aucune visite au sud du Sahara et n’a jamais cité l’Afrique dans ses discours.
Après son putsch de juillet 2021, il n’a de cesse de parler de milliards dérobés au peuple et de politique nouvelle, mais bien qu’il ait les pleins pouvoirs (du jamais vu dans l’Histoire du pays), il n’a pris aucune mesure pour encourager les acteurs tunisiens à aller chercher les milliards là où ils se trouvent et là où Chinois et Russes se disputent un marché naturel de la Tunisie.
Mais non seulement Kaïs Saïed n’a pas de politique africaine, mais il s’est mis une balle dans le pied le 21 février 2023 lors d’un conseil de sécurité nationale en décidant de « mesures urgentes pour traiter le phénomène de l’afflux d’un grand nombre de migrants irréguliers subsahariens en Tunisie ». Pire, il a carrément eu une phrase considérée comme raciste en indiquant qu’il y a « un plan criminel préparé depuis le début de ce siècle pour métamorphoser la composition démographique de la Tunisie (…)
Certaines parties ont reçu de grandes sommes d’argent après 2011, pour l’établissement des immigrants irréguliers subsahariens en Tunisie, assurant que l'objectif non annoncé des vagues successives de la migration clandestine étant de considérer la Tunisie comme un État africain n’ayant aucune appartenance arabe et islamique ».
C’est le tollé aussi bien en Tunisie que dans le monde et particulièrement en Afrique. Les médias, les partis et les ONG en Tunisie ont dénoncé la sortie présidentielle dès le premier jour. Une manifestation contre le racisme est organisée dans la foulée à Tunis.
Le président du Tunisia Africa Business Council (TABC), Anis Jaziri, alerte sur le danger de tels propos. Avant lui, l’ancien ministre des Affaires étrangères Ahmed Ounaïes qui a rappelé cette évidence que nous avons besoin de partenaires pour avancer.
Plutôt que de se rétracter, Kaïs Saïed a enfoncé le clou et a réitéré ses propos le 22 février.
Le 23 février, il s’étonne de la polémique et assure qu’il maintient ses positions de principes et qu’il ira de l’avant sans aucun retour en arrière. Pour lui, s’il y a une polémique, c’est qu’il y a des gens qui n’excellent que dans le mensonge derrière.
Le 24 février, l’ambassadeur de Tunisie au Congo se justifie en disant que la ville de Sfax est envahie de migrants équipés de machettes et prêts à tuer. Il parle également de viols et d’assassinats d’enfants. Un véritable tissu de mensonges dénoncé, aussitôt par la presse tunisienne. Son ministre des Affaires étrangères, Nabil Ammar, monte au créneau et crie au complot. Personne ne le croit, bien entendu.
Entre racisme et mensonges, c’en est devenu trop. Les Africains réagissent et, derrière, les Européens et les Américains.
Dès le 25 février, l’Union africaine appelle la Tunisie à s'abstenir de tout discours haineux à caractère raciste. Elle n’est pas la seule, on ne compte plus les articles de presse et les communiqués d’ONG dénonçant les propos de Kaïs Saïed et faisant le triste et compréhensible amalgame entre la Tunisie et son président.
Sur terrain, et alors que la police tunisienne fait une véritable chasse aux Noirs, des pays africains organisent des vols de rapatriement de leurs ressortissants.
Ici et là, on appelle au boycott des produits tunisiens. La filiale sénégalaise de la marque tunisienne Jadida met en place une communication de crise pour indiquer que ses produits sont 100% sénégalais. Lors de la demi-finale de la Coupe d’Afrique (U20) face à la Tunisie, lundi 6 mars, des joueurs de l’équipe du Sénégal ont fait un geste lourd de sens après le troisième but de la partie encaissé par les Tunisiens. Deux joueurs ont effet montré leur peau pour rappeler leur fierté d’être noirs. Il y a même eu quelques incidents ciblant notre diaspora.
Après les médias africains, c’est au tour des médias internationaux de dénoncer les propos du président Kaïs Saïed. Euronews, CNews, France 24, Euronews, Al Jazeera, tous s’y mettent. Pas seulement, les États-Unis affirment leur préoccupation de ses propos sur la migration et la Banque mondiale suspend son partenariat avec la Tunisie.
Loin de s’excuser, dimanche 5 mars, Kaïs Saïed décide une série de mesures dites en faveur des Subsahariens. De la poudre aux yeux, critiquent ses opposants, puisqu’il s’agit essentiellement de mesures administratives qui ne corrigent, en rien, les préjudices causés à l’encontre des milliers de Noirs vivant en Tunisie.
Alors que son gouvernement a toujours tenu les médias à distance, le ministre des Affaires étrangères Nabil Ammar organise une conférence de presse pour crier au complot d’on ne sait quels conspirationnistes et dire qu’il est ridicule de dire que la Tunisie est raciste. Une conférence de presse de laquelle il a écarté les médias qui peuvent lui poser des questions dérangeantes, tel Business News.
À vrai dire, le ridicule dont parle M. Ammar ne frappe que ses propos et ceux de son président. Il ne peut pas décemment prétendre le ridicule des réactions unanimes du monde entier et parler de complot, alors que les propos présidentiels étaient des plus clairs ! Il ne peut pas nier les rafles de sa police et les propos racistes de milliers de Tunisiens sur les réseaux sociaux.
Avec son déni, Nabil Ammar prend le monde entier pour des idiots, alors que le b.a.-ba de la politique, de la diplomatie et de la décence exige de plates excuses !
Le préjudice causé par les propos présidentiels devrait se chiffrer en milliards de dinars. L’image ternie par le président devrait coller à la peau de la Tunisie et des Tunisiens pendant des années, voire des décennies.
Kaïs Saïed a toujours crié haut et fort qu’il allait chercher les milliards de milliards dérobés par les voleurs. Avec sa « politique » africaine, il a fait perdre des milliards de milliards aux honnêtes Tunisiens.
Raouf Ben Hédi
Erdogan avait négocié avec l'Europe, plusieurs milliards d'euros pour stopper les vagues massives de migration opérées à partir des côtes de son pays.
Ainsi, il a pu gérer les débordements de migrants, tout en ayant fait simultanément, une fructueuse opération "commerciale".
KS, le patriote et l'intègre devrait faire de même. Sa très rigide honnêteté nous fait parfois mal, et même très mal.
Si nous nous sommes retrouvés avec une surpopulation affolante d'africains, c'est à cause du laxisme des gouvernants post 2011 qui encaissèrent des très grosses sommes pour garder les migrants chez nous, et de la surveillance accrue de nos cotes, depuis l'arrivée de KS.
Pourtant, je me souviens que les civils tunisiens avaient très bien accueilli les malheureux africains, tout au début de l'hiver arabe. Il est curieux que personne ne parle de cette période.
KS n'a qu'à lever les barrages et laisser l'ensemble des dizaines de milliers migrants potentiels, partir vers l'Europe.
Vous verrez que là, il est fort probable, qu'ils se raviseront sur leur comportement dévalorisant et honteux, qu'ils ne cessent d'afficher à notre égard, ces derniers temps
Je ne vais pas être long : je dirai simplement que après la destruction de la Tunisie par Ennahdha, Kaies Saied a apporté un coup FATAL à notre économie et relations internationales (il a commencé par nous flouter avec le Maroc, grande première sirène d'alarme...et on vous a prévenu!). Pire. Il a porté ATTEINTE à la SECURITE des citoyens tunisiens à l'étranger.
L"Amrmée et la police et les chancelleries étrangères qui l'ont mis au pouvoir, après avoir mis Ennahdha en 2011 (d'abord via des campagnes de réseaux sociaux en 2019 pour influencer les gens, ensuite par un véritable Coup d'Etat en 2021) devraient se RAVISER, comprendre leur TRES graves erreur et RECTIFIER le tir avant qu'il ne commettent L'IRREPARABLE.
Et je rassure les sécuritaires et chancelleries : si vous croyez qu'il est encore "soutenu" par le Peuple tunisien, c'est que vous vous trmpez LOURDEMENT : les quelques "commentaires" de jeunes idiots et idiotes par ci, par là en sa faveur ne sont que de la poudre aux yeux, car 90% de la population tunisienne le VOMI et c'est pire depuis 2 semaines ; ne croyez SURTOUT PAS des "sondages" truqués en sa faveur qui ne reflètent que le mensonge et le clientélisme de certains "hommes d'affaires" prêts à vendre leur cul pour avoir les faveurs du Pouvoir.
Il est temps de tourner la triste et noire page de Kaies Saied.
Fallait-il ouvrir nos frontières à à tout va et laisser les subsahariens rentrer sans aucune vérification ? fallait-il noyer notre pays par cette horde d'émigration subsaharienne et fermer nos gueules ?
Je veux comprendre, aidez-moi yarhamkom Allah
Nous sommes en droit de dire tout haut, vaille que vaille, nous ne sommes pas des hypocrites, le président Kais Saied est un honnête Homme, mais les hyènes n'en veulent pas de lui, il leur a cassé la baraque, et ce n'est pas fini, ri rira le premier qui ri rira le dernier !
Une campane orchestrée par les félons, les traitres, coute que coute, ils veulent revenir au pouvoir, ce qui les intéresse.
Ils ont créé une tempête contre leur propre pays, en collaborant, avec les ennemis extérieurs.
Kais Saied, a le droit de ne pas accepter, toute la misère de l'Afrique, et de surcroit le pays traverse une crise exiguë, par la gestion catastrophique des obscurantistes, ceux-là mêmes
qui se sont remplis les poches en une décennie, devenus des milliardaires, pendant que le peuple agonise par le manque même des produits de première nécessité.
Monsieur, nos frères les Africains en situation régulière, ils sont les biens venus, quanta ceux, qui crée des grabuges et à fortiori des clandestins, qu'ils quittent le territoire.
Sonia et Mr "gardons un maximum de malhonnêteté "serait une seule et même personne !!!
C'est le fameux matheux qui nous suggérait de vivre en circuit fermé.
Avec un pot de patates des lapins, et nos excréments comme compost pour les patates !!!
Je ne peux qu'en rire !!!
Les soutiens du facho, ont un point commun...la paranoïa !!!
Maintenant, je suis très content et trop heureux, qu'avec la politique de l'apolitique Kaïs Saïed, la Tunisie est vaccinée pour au moins les 50 prochaines années après Kaïs Saïed. Plus personne ne se sentira plus dans l'impunité. Même ceux qui commettent maintenant ces injustices d'abus de pouvoir, par ces arrestations arbitraires contre les opposants politiques de Kaïs Saïed, ils seront les premiers à inaugurer les cellules de leurs injustices. Personne n'échappera plus à ses crimes et à ses dépassements en Tunisie. Le président Kaïs Saïed va partir, mais il laissera un cauchemar à tous ceux qui voudraient y revenir à l'idée de l'impunité en Tunisie. Nous les Tunisiens de l'étranger, nous l'avons aussi bien compris. Nous nous sommes réveillés et nous déposons des plaintes en Allemagne et ailleurs, contre tout abus de pouvoir en Tunisie, contre des frais de dépôt en justice entre 35,- et 70,- euros ou 100,- à 230,- dinars tunisiens.
Donc, il ne faut pas ne parler que des fautes et des catastrophes que nous crée le président Kaïs Saïed par sa politique d'apolitique. Mais il faut aussi parler de cette nouvelle réalité de l'abolition éternelle de l'impunité en Tunisie. Il viendra le jour où les Tunisiens ne trouveront plus de candidats ni pour la présidence de la République, ni des candidats pour la présidence des municipalités, ni même des candidats pour les élections législatives. Maintenant, ils ont tous appris qu'il n'y aura plus d'impunité par immunité parlementaire ni par immunité pour les juges, ni par immunité pour les avocats, ni par immunité pour le président de la république ou pour ses ministres. Ni même par immunité pour les immigrés qui ne veulent pas régulariser leurs papiers. La Tunisie de l'après Kaïs Saïed, ne sera jamais plus comme celle de l'avant Kaïs Saïed.
Un phénomène de la Divinité, qu'il faut reconnaître et évoquer en forme de réalité bénigne pour la Tunisie.
Allah yostir Tounes.
Une campane orchestrée par les felons les traitres , coute que coute ils veulent revenir a
Je cite: "[....] Une belle porte de sortie pour le climatosceptique [Malpass, le patron de la Banque mondiale] qui prend sa posture de défenseur des droits de l'homme et des minorités subsahariennes soi-disant en grand danger en Tunisie ! [...] Toutefois, une question persiste et elle est légitime : Que gagne Malpass ? D'abord, de la popularité. La position en faveur des minorités au lendemain du mouvement Black Lives Matter est toujours positivement reçue. [...] Malpass a réussi à redorer son blason sur le dos de la Tunisie."
voir le lien:
https://www.tunisienumerique.com/malpass-se-rachete-il-une-conscience-sur-le-dos-de-la-tunisie/
La banque mondiale est injuste envers la Tunisie, les Tunisiens et notre Président de la république.
Oui, Le FMI et la Banque mondiale sont entrain d'humilier la Tunisie, les Tunisiens et notre Président de la République injustement. Oui la faute est aux cons qui nous ont gouvernés durant la dernière décennie et nous ont mis dans cette situation de mendicité.
Je vous aime Mr. Kais Said,
Comme un frère et comme un père
pour votre intelligence et pour votre courage,
vous nous avez libérés des profiteurs et des corrompus,
que Dieu vous protège Mr. Kais Said et protège notre Tunisie et ses frontières
Oui je soutiens la politique internationale de Mr. Kais Said, Oui la Tunisie doit dire haut et fort que nos frontières ne sont pas ouvertes pour la migration clandestine. Il faut que ceux qui voudraient venir clandestinement en Tunisie apprennent d'avance qu'ils ne sont pas les bienvenus.
Et plus nos journaux et la presse internationale font trop de bruit concernant la migration clandestine vers la Tunisie, plus notre pays en profite: Ainsi les migrants clandestins seront mieux avertis
Je vous aime Mr. Kais Said,
Comme un frère et comme un père
pour votre intelligence et pour votre courage,
vous nous avez libérés des profiteurs et des corrompus,
que Dieu vous protège Mr. Kais Said et protège notre Tunisie et ses frontières
Comme un frère et comme un père
pour votre intelligence et pour votre COURAGE,
vous nous avez libérés des profiteurs et des corrompus,
que DIEU vous protège Mr. Kais Said et protège notre Tunisie et ses frontières "
Je suis absolument du même avis que vous.
Les bougnoules Tunisiens sont des rkhass. Ils se vendent au plus offrant.
Ils sont sans foi ni loi.
A voir leurs réactions de ces derniers temps, ils ont l'air d'avoir complètement oublié les vrais responsables qui nous ont plongé dans la misère NOIRE actuelle couplée à une humiliation permanente.
éttfouh 3alihom, ces ouléde el hram.
Donc de pays AFRICAINS !!!
Son président était obligé de prendre une position, pour défendre les noirs ,vu le malaise qui a été créé par notre apprentis sorcier !!!
Dans toutes les institutions il y'a plusieurs "races " .
Il était tout à fait normal que ce monsieur prenne position envers ses collègues AFRICAINS !!!
Il faut être débile profond, pour chercher des poux ,sur la tête d'un chauve !!!
Normalement j'ignore les feedbacks et les commentaires qui traitent les autres de débile. Je prend position cette-fois-ci, afin que vous n'entraîniez pas les lecteurs passifs de Business News TN en erreur.
D'après l'article de Tunisie numérique:
Au temps de Mr. Trump, qui a proposé Mr. Malpass à la tête de la banque mondiale , ce dernier était un climatosceptique car Mr. Trump était et est climatosceptique. Le comportement jadis de Mr. Malpass (en tant que climatosceptique) était-ce par conviction ou par opportunisme?
Aujourd'hui durant le règne de Mr.Joe Biden et au lendemain du mouvement Black Lives Matter, "Mr. Malpass a réussi à redorer son blason sur le dos de la Tunisie." Le comportement actuel de Mr. Malpass (en sacrifiant la Tunisie et les Tunisiens) est-il par conviction ou par opportunisme?
voir le lien:
https://www.tunisienumerique.com/malpass-se-rachete-il-une-conscience-sur-le-dos-de-la-tunisie/
@nazou de la chameliere: l'intelligence causale et cognitive vous manquent afin de faire une analyse intelligente de l'information sur le web. Ce sont les compétences médiatiques qui vous manquent.
Bonne journée, quand-même
PS: Posséder des compétences médiatiques signifie être en mesure de faire un usage à bon escient et surtout responsable des médias. Pour cela, il est nécessaire de savoir comment s'informer et se divertir par les médias selon ses besoins, mais aussi d'être capable de remettre en question ces mêmes médias ainsi que sa propre con- sommation. '? l'ère d'Internet, les compétences médiatiques englobent non seulement les connaissances techniques sur l'utilisation des médias numériques, mais encore le fait de savoir communiquer ses données personnelles avec prudence, examiner les informations d'un '?il critique, respecter les règles de bienséance également sur Internet ou encore se distancer régulièrement des distractions des médias numériques (voir sur le web la définition de "compétences médiatiques")
Américains, français, chinois, russes Turques se déchire pour gagner des marchés en Afrique par contre nous on a qui les insite à nous détester!
Ailleurs, il y a sans doute des médias serviles, à votre convenance.
J'ai l'impression qu'ils vont venir remplacer les subsahariens en Tunisie dans les petits boulots que les tunisiens eux-mêmes refusent de faire.
Et dire qu'il se dit homme de droit....
Comme l'a écrit un des contributeurs, Kaisollah Zammour s'en fout du sort des tunisiens et de leur sécurité alimentaire tant que la sienne est garantie. Négligence criminelle d'un peuple en détresse et incitation à la haine raciale, ce n'est pas beau tout ça.
La faute originelle revient à la stupidité de "l'électeur moyen" qui nous a donné ennahdha et ses *** en 2011, puis robocop et ses conneries en 2019.
Inutile de crier misère aujourd'hui...
Que signifie 10 % d'inflation ? Combien de pouvoir d'achat l'argent a-t-il perdu en dix ans ?
Perte de pouvoir d'achat avec l'inflation
De 1000 dinars, on passe en 10 ans à
2% d'inflation --> 820 = -180 DT
5% d'inflation --> 610 = -390 DT
10% d'inflation --> 385 = -615 DT
20% d'inflation --> 162 = -838 DT.
Augmentation des prix dans 10 ans signifie
Un produit de 1000 dinars aujourd'hui coûtera dans 10 ans avec
2% d'inflation--> 1220 DT
5% d'inflation--> 1630 DT
10% d'inflation --> 2600 DT
20% d'inflation --> 6200 DT
Dans dix ans, 1000 DT n'auront donc plus qu'un pouvoir d'achat de 385 DT, avec toutes les conséquences que cela implique. Si l'inflation augmente en conséquence, le pouvoir d'achat fondra encore davantage. Et une baisse de la hausse des prix ne semble guère en vue.
Comment et pourquoi? la réponse est sur le lien suivant:
https://www.tunisienumerique.com/malpass-se-rachete-il-une-conscience-sur-le-dos-de-la-tunisie/
Bonne journée
Seule une rétractation en bonne et due forme du palais de Carthage pourrait atténuer les effets négatifs du discours aux relents racistes de Kaïs Saied et enregistrés dans le monde entier.
Même la Banque mondiale, qui a élevé l'anti-racisme au rang de principe de son action, s'y est mise pour grogner publiquement contre ce qui arrive de détestable aux immigrés subsahariens sur le sol tunisien.
M. @Ancien Elu de la république française,je respecte vos points de vue et vous pouvez aussi accepter mes points de vue !
Une excuse de votre part serait juste et recommandée.

