
Le leader de Machrouû Tounes Mohsen Marzouk a publié un statut ce mardi 16 mars 2021 pour revenir sur les évènements enregistrés à l’aéroport Tunis – Carthage, hier indiquant que « les députés du bras politique du terrorisme étaient en flagrant délit mais malheureusement l’Etat était mis à nu ».
« C’était quoi l’objectif de la fade visite rendue par le chef du gouvernement à l’aéroport et de son discours timide et hésitant ? Il aurait suffi de dépêcher un officier et une voiture de police pour arrêter les agresseurs des forces de sécurité et les conduire en garde à vue en attendant leur traduction devant la justice. La procédure ordinaire adoptée avec tout citoyen lambda en cas d’arrestation. Ainsi, on rend justice aux sécuritaires et à la justice en appliquant la loi aux hors la loi. Cependant ces gens-là sont au-dessus de tous. Ils préservent l’équilibre parlementaire du gouvernement dans son conflit politique. Le prix à payer étant d’accepter de bafouiller l’Etat et sa sureté. D’un autre côté, l’aéroport, de par son lien avec la sécurité nationale, est également, sous la supervision du président de la République. De ce fait, nous attendons de lui des actions et non des discours », indique en substance Mohsen Marzouk.
Rappelons que le député Al Karama Seïf Eddine Makhlouf et d’autres députés de son bloc, sont intervenus hier en faveur d’une dame fichée S17 pour lui permettre de passer les frontières.
Toutefois, les forces de sécurité et les syndicats sécuritaires les ont évacués de force de l’aéroport Tunis- Carthage.
Plus tard dans la soirée le chef du gouvernement, Hichem Mechichi s’est rendu sur les lieux pour prendre connaissance de la situation. Il a fait part de sa solidarité avec les agents sécuritaires, précisant que ces derniers vont porter plainte contre les députés Al Karama.
S.H
Un futur repris de justice
a posté le 15-03-2021 à 20:14
Markhouf veut nous la jouer à la Zog-l'ami ?
Plus on les laisse faire et plus ils feront dans le plat !
Il prétend être "avocat" et il ne sait pas que le fait "d'agresser physiquement ou verbalement un agent de l'Etat(*) dans l'exercice de ses fonctions" peut lui valoir d'être arrêté en flagrant délit de "voies de fait contre agent assermenté" ?
Les agents de sécurité auraient dû l'arrêter sur le champ et l'embarquer, direction le commissariat le plus proche. . . et même le menotter, pour prévenir toute "agression physique violente" !
dhah'koulou t'méd aala toulou !
MPP.
(*) Un agent de l'Etat est "le représentant de l'Etat". L'agresser c'est agresser l'Etat. Pas moins !
avec les voyous il n'y a pas d'immunité qui compte ni de plainte à dèposer,il aurait fallu les arrêter et traduire devant le juge d'instruction en état d'arrestation. c'est la voie honorable pour l'état.
deux poids deux mesures quand on les laisse partir sans aucune autre mesure alors que la loi prévoit clairement leurs arrestations sur place en état de flagrant délit.
En effet, selon les dispositions de la loi en vigueur, les représentants de l'ordre auraient dû les conduire immédiatement manu militari au poste de police, et les présenter en déféré à un juge d'instruction pour une mise en examen certaine, vu le caractère manifeste et dangereux de ces actes de grand banditisme qui pourraient même relever d'un terrorisme insidieux visant à agresser les agents de police des frontières et la sûreté de l'Etat...
C'est ainsi que les vrais gouvernements et les vraies démocraties allemande, française, américaine, britannique, à titre d'exemple, traitent ce type d'affaires graves, en application du Code pénal sur les crimes et délits contre la nation, l'Etat et la paix publique, car il s'agit bien là d'atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation et du peuple tunisien.
Le choix est à qui de droit de faire le nécessaire aujourd'hui même, sinon le peuple est dans la rue pour faire le nécessaire par la force du bras !
Ai-je bien compris ?
Une jeune militante LGBTQ se rend à un commissariat déposer plainte pour harcèlement . Elle se retrouve en garde à vue puis condamnée prétendument pour outrage , à une peine de six mois ferme . Des jeunes manifestent pour crier leur désespoir . Ils sont poursuivis , pourchassés jusque chez eux bien après les faits , par centaines , mis en détention provisoire depuis des semaines sans motif valable autre que d'avoir exercé leur droit à manifester. Ne parlons pas des fumeurs . Police et justice d'une prodigalité infinie distribuant les peines par décennies .
Une police toujours prompte à bastonner et embastiller , qui montre un zèle et une alacrité particuliers sans raison valable . Mais que des mal élevés sans titre ni raison , auteurs de voie de fait , soutiens d'une personne suspecte viennent défier une autorité publique dans l'exercice d'un pouvoir régalien , cracher sur le passeport tunisien propriété de l'Etat , là curieusement il n'y a plus personne .
Police aux abonnés absents , pendant et après les faits .
Comprenne qui pourra .
@ S. H. " bafouiller l'Etat ..."
Homophobie approximative .
" Bafouer " , eût été plus approprié.
Bien à vous .
V'là du propre, mais restons toutefois charitables, n'insistons pas et abstenons-nous de fouiller plus avant dans la blessure malpropre de l'usage d'un terme impropre qui risque de mettre à mal l'amour propre de l'incorrect dont on a bafoué à cru et aussi judicieusement que faire se peu les joues fessières, après avoir souffleté les joues faciales de l'auteur de cet impardonnable impair !
MPP.
Correcteur a lui même commis un impair . Homophobie en lieu et place d'homophonie . Pourtant il croit s'être relu .
Ses " joues facialo-fessières' "
en tremblent encore .
Pour " événement " ,vous avez raison et lui pas totalement tort . Un jour il y reviendra .
Bien à vous