
Les prisonniers politiques dans l’affaire dite de complot contre la sûreté de l'État, ont décidé de mettre fin à leur grève de la faim, en réponse aux appels qui leur ont été lancés de la part de plusieurs personnalités nationales politiques et droit de l’hommiste ainsi que de la part d'organisations, d’associations et de leur comité de défense. C'est ce qu'a annoncé leur comité de défense, jeudi 12 octobre 2023, dans un communiqué. Des appels qui interviennent après la dégradation de l’état de santé du dirigeant du Front de salut national, Jaouhar Ben Mbarek, le premier à avoir commencé ce mouvement de contestation il y a deux semaines.
Le même document estime que les prisonniers politiques ont réussi leur manœuvre, ayant attiré l’attention sur l’injustice qu’ils subissent ainsi que sur la lenteur du système judiciaire dans le traitement du dossier, malgré les huit mois écoulés et pendant lesquels la plupart des détenus n'ayant pas été entendus.
Le 26 septembre 2023, Jaouhar Ben Mbarek avait annoncé qu’il avait entamé une grève de la faim ouverte, pour protester contre ce qu’il qualifie de mascarade judiciaire. Il a été rejoint dans son mouvement de protestation en premier lieu par les détenus politiques dans l’affaire dite de complot contre la sûreté de l'État puis par plusieurs personnalités publiques tunisiennes pour exprimer leur solidarité avec eux.
I.N.
Ils n'arrivent toujours pas à voir que les gens ne leurs donnent aucune crédibilité tellement ils ont débité des mensonges et des contradictions ?
hahaha, hahahaha, hahahaha, ils ne représentent même pas le centre de la fosse à purin à deux pâtés de maisons du lieu de leur résidence.
Pauvres bougres, rien sous le froc.
Leurs suppôts galou, alertez la navy, alertez les papous, le FRONTEX, l'ONU, l'UNESCO, hémeroides sans frontières, etc...
Bilan de ce coup de cette médiocre opération de marketing : A ce jour, on ne vit personne se pointer.
Ils n'ont pas même cette volonté, ni le courage qui l'accompagne.
Gens sans vertu.
Nous savons tous, (pas grand monde), que l'éthique des médias ne fut jamais légion.