Le président du conseil de la Choura d’Ennahdha, Abdelkarim Harouni est revenu, ce vendredi 10 janvier 2020, sur la décision du Conseil, hier jeudi, de voter pour le gouvernement de Habib Jamli lors de la plénière d’aujourd’hui.
Intervenant par téléphone sur les ondes d’Express FM, M. Harouni a réitéré qu’Ennahdha soutiendra ce gouvernement pour débloquer la situation au service de la Tunisie.
Il a, également, précisé que le parti islamiste était « optimiste » quant au vote de confiance prévu aujourd’hui et le passage du gouvernement.
Toutefois, il a appelé le chef du gouvernement désigné à multiplier les concertations avec les différents blocs parlementaires pour assurer l’appui d’une ceinture politique à son gouvernement.
« Il y a plusieurs blocs parlementaires prêts à voter le gouvernement pour l’intérêt du pays. Il existe certains différends au sein de ces blocs mais nous souhaitons que par le biais du dialogue entre les élus, ils primeront l’intérêt de la Tunisie et approuveront le gouvernement. Il n’y a pas de motifs conséquents qui poussent à sacrifier un gouvernement en cette période critique avec ces dangers régionaux à cause des calculs politiques et des désaccords partiels », précise Abdelkarim Harouni.
Interrogé sur les allégations concernant certains noms proposés au gouvernement, l’invité de Wassim Ben Larbi a affirmé que Habib Jamli est appelé à « défendre sa liste, interagir positivement avec les remarques et ne pas s’obstiner » ajoutant que c’était dans son intérêt et de celui du pays de « corriger l’erreur ».
B.L
Ce harouni: originaire Dans le Coran, Aaron (en arabe: haroun - ce nom dérive du syro-palestinien) est un personnage paradoxal, étant toujours secondaire par rapport à Moïse mais profitant de son importance. Il est cité pour la première fois lors de l'épisode du Buisson Ardent, comme dans le livre de l'Exode26. La mission d'Aaron fut d'aider son frère Moïse à la conversion de Pharaon mais celui-ci reste discret, Moïse ayant toujours le premier rôle. Si dans le texte biblique, Aaron participe aux prodiges faits par Moïse, dans le Coran, c'est ce dernier qui agit.
Aaron réapparaît lors de la montée de Moïse au Sinaï, lorsque celui-ci lui confie son autorité. Il ne réussit alors pas à dissuader son peuple d'adorer le veau d'or. Pour le Coran, celui qui a construit le veau d'or s'appelle As-Sâmiriy. Moïse le punit alors en l'attrapant "par la tête et par la barbe", avant de demander pardon à Dieu. Aaron aurait expliqué son attitude par la volonté de ne pas diviser la communauté. La tradition musulmane plus tardive, ayant tendance à considérer que les prophètes ne peuvent fauter, a tenté d'excuser Aaron et le fait qu'il ait laissé s'accomplir l'idolâtrie.
Les tunisiens ne peuvent pas accepter les fautes de Aaron et ne vont pas l'excuser.
Ces grandes gueules comme les canons ils ne donnent pas de beure
