Illustration parfaite des effets délétères d'un discours populiste, haineux, clivant, simpliste.
Prenez une vulgaire barbouze, donnez lui un brassard, confiez-lui la mission de réguler la circulation. Vous la verrez se prendre pour un maréchal d'empire.
Un dicton bien tunisien le dit parfaitement. Les queues se prennent parfois pour des têtes pensantes. Même sans le sou.
Pauvre pays !

Il est temps d'assumer, le laxisme, le laisser aller, l'affolante et incontrôlable exode rural qui avait déferlé sur les grandes villes, lors de la brouette party.
On croit toujours que le rôle de l'état se limite à encaisser, uniquement, les impôts et autres formes de taxes.
Il régule aussi, et surtout, la prolifération des bouseux, des g3arr venus de, je ne sais où, de l'anarchie, du gangstérisme, du banditisme etc...,sauf qu'avec l'arrivée des affamés au pouvoir, ils avaient grand ouvert les vannes du populisme en ne sanctionnant les contrevenants.
Cet événement n'est qu'un début, comparé à ce qui nous attend.
Jamais le civisme et les moeurs qui vont avec, n'ont été aussi malmenés que ces dix dernières années.
Quand on voit qui menait la danse durant ce laps de temps, il n'y a aucun étonnement à formuler.
Rabi youstérna, inch'Allah.

les Africains et les Européens nous renvoient facilement les tunisiens sans papier !

Vive Kalsounallah Al3athim..

C'est entièrement de leur droit de renvoyer tous les Tunisiens sans papiers, s'ils le souhaitent. Et puis, après tout, pourquoi devraient-ils les garder

Même nos enfants nés à l'étranger sont traités par une conduite haineuse et jaloux par les autorités et je sais de quoi je parle! Et c'est pour ça que nous aussi, on a de la haine envers le pouvoir de notre pays! Mon fils est rentré en vacances en Tunisie et pour la première fois a voulu rentré en voiture, pour être indépendant de la notre! Il a passé au moins trois frontière, aucun pepin, en arrivant à Tunis, le gala commence! Comment tu a cette voiture, je dois dire, Mon fils est né à l'étranger, donc il a fait ses étude et ces diplômes et a réussi sa vie. il est cadre dans une société et il est autorisé de prendre la voiture où Il veut. Retournons à la douane, mon fils à montré tout ses papier est l'enregistrement de sa voiture et tout , et tout ses bagages était fouillés et la valisette sur la voiture , bon ça c'est normal, tout va bien il n'a rien d'illégal, mais bon, l'agent tournait autour du peau, mon fils l'a pris par un sang froid, il disait puisque j'ai rien contre la loi ,il attendait dans sa voiture , le temps qu'il faut! Mais il a juré qu'il ne donne pas un sous hors la loi "rachoi" ! Bon vu que mon fils n'a pas des réaction violentes ou impolie, pour finir , il a pris la route wel7amdou lellah! Maintenant la deuxième histoire: moi et mon mari , nous étions déjà en Tunisie, quand mon fils est arrivé, après deux jours on est partie faire nos cartes d'identité, On a présenté les papiers nécessaires ! Pour mon fils, on lui a dit il faut le nom du père dans l'extrait, ok il l'ont eu, on a pris nos reçus, revenez dans dix jours ,après 12 jours , j'étais avec mon fils, moi j'ai reçu ma carte d'identité, mon fils, non, pourquoi, Ah parce qu'il est né à l'Etranger, elle prend du temps! Ok, les vacances sont finis, nous sommes rentrés ! Au mois de février, mon mari est rentré en Tunisie Un jour il est passé chez la police pour récupérer la carte de mon fils, non, il faudrait le nom de la maman! Mahzala ! Un jeune qui est contant pour rentrer dans son pays et avec le passeport vert alors qu'il a le passeport européen et il le laisse à côté, on lui dégoûte, ses vacances! Voilà cette histoire, m'a resté sur le coeur et maintenant c'est l'occasion de la raconter! Nous autres qui vivaient à L'Etranger, nous ne sommes plus des Tunisiens et des Tunisiennes !?!

Depuis 2015, le ministère du Transport a mis à la disposition des citoyens tunisiens et des touristes, un numéro vert gratuit 1876 ou d'appeler le service de communication 71 905 026, pour réclamer aux autorités n'importe quel abus du côté des chauffeurs de Taxi. Il leur permet aussi de porter plainte en personne au 17 rue Bahreïn, Mont Plaisir à Tunis la Capitale.
Je parie mille parts contre une seule du côté de notre chère «la Nôtre Améni Hb», qu'elle n'a pris ni le numéro des plaques minéralogiques de la voiture, ni le numéro identifiant le taxi. Sinon, elle ne serait pas venue sur sa page face book ou «ouèjih bouk», pour attiser cette haine artificielle contre nos frères les Subsahariens, au lieu d'apaiser ce faux discours xénophobe, dont elle sait en tant que notre propre fille Noire tunisienne, qu'avec de telles histoires fomentées à la manière des contes mythologiques d'Ommèk Sissi, elle lèse à son pays la Tunisie et à son peuple tunisien. Qu'elle appartienne aux autres, c'est son droit. Mais qu'elle attise le feu en Tunisie par ses mensonges, là, ce n'est plus son droit.
Combien de fois, je me suis arrêté pour glisser un billet de 10 ou de 20 dinars à nos frères les Subsahariens en Tunisie, par sentiment d'appartenance à leur dilemme socioéconomique et Dieu sait, que je ne suis pas le seul à le faire parmi les Tunisiens. Pourquoi donc, il y a ceux qui voudraient virer un «vrai problème» sécuritaire pour l'ensemble du pays, du moment que personne en Tunisie ne pourra identifier nos hôtes frères subsahariens ni par l'identité, ni par le domicile, ni même par la nationalité. A chaque mal jusqu'aux pires crimes que commettent quelques malfaiteurs subsahariens en Tunisie, les lésés de n'importe quelle couleur de peau, n'ont de seul repère pour «identifier leurs agresseurs subsahariens», que la couleur de peau «noir africaine». C'est peu. C'est trop peu et c'est impossible d'identifier l'agresseur même par la police tunisienne, surtout qu'ils vivent clandestinement en groupes d'intimités tribales, par subdivisions d'une grande ville de Tunisie à une autre.
De quoi nos frères et soeurs subsahariens, ont-ils peur de régulariser leurs papiers, afin que les autorités tunisiennes puissent les identifier au sein de la population tunisienne, par le nom et par l'adresse, non pas par la couleur de la peau?
Cessons s'il vous plaît de faire monter l'eau vers la colline de la logique humaine. On parle de légalité, non pas de «racisme».
La bienvenue. Toute la bienvenue à nos frères et soeurs les Africains subsahariens et autres. Mais néanmoins, personne n'a le droit de changer la légalité de la loi qui impose la régularisation des papiers de tout étranger entré en Tunisie, en «racisme», alors qu'ils voient de leurs propres yeux, ce qui en était avec Nabil Karoui et son frère qui avaient vécu clandestinement en Algérie ou le dernier cas de l'Algérienne Amira Bouraoui, détenue en Tunisie pour le même cas. Je ne pense pas qu'il s'agit-là de «Subsahariens»!!!
Allah yostir Tounes.

peut être qu'il est lui même policier chauffeur de taxi pour arrondir les fins de mois

Le citoyen applique la loi ah non...


Machi nahrag...