Le Mouvement du 25 juillet pour soutenir le peuple tunisien a appelé à participer à la manifestation du 6 février 2022 pour la dissolution du Conseil supérieur de la magistrature (CSM).
Durant une conférence de presse tenue le 5 février 2022, le mouvement a appelé l’ensemble des forces et des organisations nationales à s’unir afin de purifier la justice tunisienne, divulguer la réalité autour de l’appareil secret d’Ennahdha et des assassinats de Chokri Belaïd, de Mohamed Brahmi et de Lotfi Nagdh.
Le mouvement a, également, appelé à la dissolution du mouvement Ennahdha et de l’ensemble des associations soutenant le terrorisme et liées à ce parti. Le mouvement du 25 juillet a appelé la présidence de la République à intervenir pour protéger les blogueurs victimes de fausses accusations.
La même source a réaffirmé son soutien au gouvernement Bouden et aux mesures annoncées par le président de la République relatives à l’état d’exception. Il a annoncé, durant cette conférence de presse, qu’il s’attendait à d’autres mesures audacieuses et courageuses.
« La justice se trouve en situation de blocage. Les magistrats n’ont pas montré leur intention de réformer… Le CSM doit être dissous… Des magistrats corrompus ont dissimulé et dérobé des dossiers… Il y a aussi une ingérence et des mouvements suspects de la part de clandestins venant d’autres pays africains… Ils travaillent au sein de la Télévision Nationale et bénéficient de l’appui d’associations douteuses… Le pouvoir en place doit les poursuivre en justice... Des médias financés par l'étranger œuvrent contre les intérêts de l'Etat », a ajouté le coordinateur national du mouvement, Mohamed Nizar Tezni.
Mohamed Nizar Tezni a, également, expliqué que le Mouvement du 25 juillet 2021 pour soutenir le peuple tunisien était une nouvelle structure politique se présentant comme un troisième choix face à l’islam politique et aux partis politiques d’avant le 25 juillet.
S.G
Dans les faits, cela risque d'en faire des victimes, et il me paraît plus avisé de tout déployer pour juger tous les responsables de la gabegie, du terrorisme, afin de mettre à plat toute la panoplie de leurs méfaits et couperait l'herbe sous le pied de tous les "démocrates" qui viendraient à leur secours pour nous faire la leçon.
Et, puisqu'il est avéré que la magistrature est leur alliée, en finir avec le CSM, et nettoyer cette institution est moins coûteux.
Les magistrats qui refuseraient de faire leur job, il serait alors opportun de les exclure.
Toutes les protestations déjà prévisibles ne penseraient pas lourd, compte tenu du précédent effectué par Bhiri au nom de Ennahdha, lorsqu'il n'avait pas hésité à le faire.
Que renaisse encore un parti ou une officine quelconque après l'opération "mains propres", n'est pas inattendu.
Ils n'auront plus les moyens de leur puissance actuelle.
Les élections à venir, si les partisans de cette option mobilisent, feront le reste.
En tout cas, c'est le seul procédé pacifique et disponible.
Ennahdha est un cadavre qui bouge encore, la couper de ses agents c'est l'achever.
La vie en Tunisie n'a jamais été aussi chère, aussi incertaine, aussi divisée, aussi pauvre, aussi mendiante, aussi humiliée, aussi envahie par des multiples influences étrangères et surtout, en un tel dilemme d'une telle faillite sur tous les plans.
Malgré tout, au lieu de s'excuser auprès du peuple tunisien, ces "berrouh, beddèmm" de "Guèfla etsir", nous sont de retour par leur baratin de leur "3ème république bananière", comme si la Tunisie était une jungle sans peuple et sans institutions républicaines, que les indigènes se lynchent entre eux, suivant la force des flèches de leur Gourou-Manitou.
Après, lorsqu'ils seront rattrapés par leurs crimes et par leur trahisons et qu'ils seront appelés à comparaître devant la Justice tunisienne pour haute trahison contre l'Etat tunisien, ils vont nous verser leurs larmes de crocodiles, comme quoi, rien n'était de leur propre faute. A l'image de ce qu'ils firent après Bourguiba, puis après Ben Ali.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Malheureusement, tant qu'il y aura des musulmans tunisiens - et ils sont majoritaires à 99% - Ennahdha ne s'en ira pas. Qu'il s'appelle Ennahdha ou Ammar Bezouir (même quand celui-ci a un balai à la tête du parti !), un électeur pieux choisit les pieux (Ostor A5akè Thaliman aou Mathlouman !) : voyez le comportement des électeurs catholiques lors des élections dans de nombreux pays européens.. ou les Juifs réligieux en Israël..
Alors même pas besoin d'avoir un cerveau pour deviner qu'avec des élections LIBRES dans les pays musulmans, le pouvoir serait immédiatement transféré du côté des partis islamiques et pour des siècles !
art. 1 : pays musulman de religion, arabe de langue.
cet article ne peut ètre abrogé .
échec et mat aux laquais de la France islamophobe zammourisée.
Monsieur le Lecteur , avec des gens de votre posture , on va reconduire à l'infini la médiocrité et le snobisme
Il existe dans ce pays des voies alternatives que seul de vrais patriotes loin de cette classe politique pourrie et de ces traîtres de la Nakbah pour construire sur de nouvelles bases et purger ces furoncles qui nous parlent de droits de l'homme mais ne pense en fait qu'a garder leur privilèges !