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Hichem Mechichi : Nos hôpitaux sont des cimetières pour les citoyens et les médecins
04/12/2020 | 18:51
1 min
Hichem Mechichi : Nos hôpitaux sont des cimetières pour les citoyens et les médecins

 

Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a déploré, vendredi 4 décembre 2020, le décès tragique du jeune médecin résident à l’hôpital de Jendouba, Badreddine Aloui et ce en marge d’une visite de courtoisie à la famille du défunt. 

 

Ce drame, survenu dans la soirée de jeudi 3 décembre, a secoué l’opinion publique. Badreddine Aloui, un médecin résident en chirurgie âgé de 26 ans, a succombé à de graves fractures et blessures après une chute de l’ascenseur de l’hôpital. La cage de l’ascenseur était vide – du fait d’une panne – au moment où le jeune médecin s’y était glissé.

 

Notant que ce drame traduisait l’ampleur de la crise à laquelle est confrontée le personnel soignant dans les hôpitaux de la Tunisie à cause de la négligence et de la mauvaise gestion dans ces établissements, le chef du gouvernement a assuré que des mesures allaient être prises sans communiquer des détails.

 

Il a avancé, dans une déclaration aux médias, que le drame de Jendouba allait, sans doute, meubler les plateaux des médias, provoquer le débat et un concours de marquage de points entre politiciens loin de la triste réalité de l’état des hôpitaux « devenus un cimetière et pour les médecins et pour les citoyens ». 

 

N.J. 

04/12/2020 | 18:51
1 min
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Commentaires
takilas
Mais c'est normal.
a posté le 05-12-2020 à 11:55
Puisque linculte et tartempion à insisté à nommer la catastrophe et incompétent le khwanji raté Abdellatif Mekki comme ministre de la santé.
On aura tout vue avec cette secte destructrice appelée nahdha venue de Londres en intrus en 2011, et qui a arnaqué le supposé rôle des illustres oulémas de la mosquée Zitouna de Tunis, et ce pour duper et piéger des électeurs en leur faisant croire qu'ils ont peur de Dieu.
N'en parlons pas des caricaturaux sms envoyés par transition, en 2011, d'un lèche-bottes de nahdha à un autre avec la mention que "l'islam est en danger et qu'il faut voter nahdha". On aura tout vue depuis 2011 jusqu'à ce jour comme incompétences et indécences causées par cette nahdha de cirque.
DHEJ
Qui sait me dire?
a posté le 05-12-2020 à 09:44
Ce FACHIL était chef de cabinet du ministère de la santé du temps duquel ministre:


Said AIDI?

Mohamed Salah Ben AMMAR?

Samira MERAI?
Tunisino
Un Kadhafi
a posté le 05-12-2020 à 07:26
HM est le deuxième Kadhafi tunisien après KS, bonjour la médiocrité!
aldo
==== DEGAGES ET FERMES TA GUEULE ====
a posté le 05-12-2020 à 05:37
vendus
Tunisien inquiet
Monsieur le Chef du Gouvernement
a posté le 05-12-2020 à 00:30
Ce qui nous manque c'est un système d'évalution rationnel avec des normes et des critères définis par des professionnels et ce, pour chaque poste.

Un passage par l'ENA pour les gestionnaires doit être obligatoire

Ce qui s'est avéré très nocif ce sont l'octroi systématique de primes de rendement et les promotions systématiques.

Si vous avez un peu de temps, regardez le programme de Mme Belkadhi de ce vendredi
Achille
Non assistance au pays de la part d'un ministre
a posté le 04-12-2020 à 22:43
Monsieur le chef du gouvernement, virez votre ministre de la santé, il a rendu visite a un hôpital d'une région du no man's land tunisien sans lui porter secours. Il a vu le khlé labas, il a vu la nomanslandisation évidente, et il a décidé, en toute connaissance des conditions dramatiques et dangeureuse de ne pas venir au secours de cet hopital sachant mon cher chef du gouvernement que le citoyen tunisien finance le ministère de la santé, a hauteur de plusieurs milliards de dinars par an par l'impot qu'il donne a l'état tunisien.

Où va se fric ?
Pour quoi le ministre de la santé s'étend rendu dans un lieu en décomposition qui tombe en morceau n'a pas vu bon d'amorcer une aide immédiate pour ce lieu de la santé, sachant qu'il est chargé d'aider dans ce genre de situation ? et d'autres qu'il ne pourrait pas forcément voir ?
Pour quoi ces ministres a l'instar de celui de la santé, chargé de gérer et de placer leurs actions, de laisser leurs empreinte, de construire et de transformer par le biais de leurs pouvoir, ne font rien !
Pour quoi on a l'impression que ce sont des ministres qui ne gèrent rien au fond, qui ne construisent rien, qui ne transforme rien, et qui n'utilise pas leurs pouvoir dans l'intêret du pays ? Sont-ils des ministres fantoches ? Est ce que ce gouvernement est une arnaque ?

Merci de nous donner plus de détailles sur les prérogatives de vos ministres chargés de ne rien gérer et merci de nous faire comprendre où va le fric du citoyen tunisien et le fric du pays engendré par mille et une source ! Car vous nous dites qu'il n'ya pas de fric, pourtant moi je vous dit qu'il y'en a du fric, et même qu'il y'en a trop, et je vous demande de nous dire a nous le peuple tunisien où il va ! nous aimerions bien le savoir monsieur le chef du gouvernement de notre pays la Tunisie.
Rachid
Argent
a posté le 04-12-2020 à 22:42
Moins d'argent pour construire des mosqués pour les imans plus dargent pour l'economie ,les hopitaux,santé les routes ,les tunisiens pauvres!
La religion freine le progrès la modernité que notre pays a besions qui abruti les plus influancable avec des partis religieux extrémistes et un parti descroc a lassemblée nationales
Guide de tourisme
Jendouba s'est leurrée...
a posté le 04-12-2020 à 22:16
...énormément de ton arrivée à la Kasbah!
Welles
Ta gueule
a posté le 04-12-2020 à 22:03
Permettez moi de vous dire monsieur le ministre : Ta gueule.
St Just!
Mettez tous ces embauches au travail!
a posté le 04-12-2020 à 21:52
M. Mechichi mettez tous ces jardiniers, ces chaouchs, ces imams.... au travail. Ne laissez qu'une hôtesse d'accueil à l'entrée des mairies, des gouvernorats etc... Pourquoi tant d'énergie dans les portes de notre enfer, qu'est devenu l'administration tunisienne.
Accordez leurs 3 ou 6 mois de formations professionnelles réelles dans des domaines utiles pour le pays.... Qu'il réparent les ascenseurs et même qu'ils les fabriquent... Dégraisser l'administration, pour que le message du citoyen devienne plus audible
St Jus!
Et nos routes aussi sont des cimétières!!!
a posté le 04-12-2020 à 21:41
M. le premier ministre semble découvrir les malheurs de la Tunisie et des tunisiens. Pourtant il en est en partie responsable : De PLF en PLF la Tunisie s'enfonce de plus en plus. Cela ne semble pas trop la classe dirigeante. l'Etat continue à augmenter certains salaires de ses serviteurs et à gaspiller l'argent en tolérant des dépenses inutiles à l'image du poste crée pour ce Ghariani.
Pendant ce temps le corps médical n'a cessé de pointer l'absence de structure et des besoins les plus élémentaires....
mansour
Une seule peur : que la colère populaire leur tombe sur la tête
a posté le 04-12-2020 à 21:09
le gouvernement Hichem Mechchi-Rached Ghannouchi et Nabil Karoui de se retrouver devant un drame accablant par leur incompétence et irresponsabilité politique et gouvernementale
Ghost
Un PM ?
a posté le 04-12-2020 à 20:33
Dans quel pays un premier ministre laisse les affaires de l'état et se déplace suite a un accident mortel dans un hôpital !! Cela montre le populisme qui est devenu la tte des hommes politiques. Ne serait il pas plu judicieux de laisser le ministre de la santé !
Avec un guignol à l'en-tête de l'état , un incompétent à la tête du gouvernement et un malfrat à la tête du parlement ! Eh bien le peuple Tunisie a tiré le tiercé perdant .
'? bon entendeur !
Ghost
Lectrice
Degagez tous
a posté le 04-12-2020 à 19:12
C'est la Tunisie toute entiere qui est un cimetiere pour ses citoyens. Et on nous parle encore d'etat civil, comme s'il y avait une chance que les choses s'ameliorent. La Tunisie c'est fini.
DHEJ
Dégage
a posté le 04-12-2020 à 19:07
Ce Fachil était Chef de Cabinet du ministre de la santé en 2014 et donc complice.

D'après Wikipédia il etait: Membre de la Commission nationale d'investigation sur la corruption et la malversation, fondée en 2011 et présidée alors par Abdelfattah Amor[5], il occupe en 2014 le poste de chef de cabinet au ministère du Transport, puis le même poste successivement aux ministères des Affaires sociales et de la Santé publique[1].

Il est ensuite directeur général de l'Agence nationale du contrôle sanitaire et environnemental des produits[1].