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COP 27 - Les changements climatiques, dernier souci de Kaïs Saïed
08/11/2022 | 14:42
4 min
COP 27 - Les changements climatiques, dernier souci de Kaïs Saïed

 

Le changement climatique est indéniablement le défi du siècle. Les rapports des organisations internationales sont alarmants et dénotent de l’urgence de la situation de par l’impact des variations de températures, de la sécheresse et des émissions de gaz sur la sécurité alimentaire et environnementale à l’échelle planétaire. Cependant, pour le pouvoir en place en Tunisie – pays signataire de l’Accord de Paris de 2015 – , cela n’est qu’accessoire.  

 

La délégation tunisienne à la COP27 illustre l’intérêt que porte le chef de l’État au dossier. Alors que ses homologues d’autres pays – le président algérien, Abdelmajid Tebboune, entre autres – se sont précipité à Charm el-Cheikh où se déroule la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, Kaïs Saïed n’a même pas tenté de s’afficher en bon élève. Il a préféré rester dans son palais pour discuter des ratages des JCC, de ses opposants et des complotistes, et a envoyé sa cheffe de gouvernement Najla Bouden, accompagnée du ministre de l'Économie et de la Planification, Samir Saïed, de la ministre de l'Industrie, des Mines et de l'Énergie, Neila Gonji, et de la ministre de l'Environnement, Leila Chikhaoui. 

 

De la participation tunisienne à cette conférence durant laquelle le débat portera, essentiellement, sur le financement de la lutte contre le réchauffement climatique dans les pays en développement, nous n’avons vu que le bref échange entre Mme Bouden et le président israélien et quelques photos de rencontres bilatérales plutôt décontractées publiées par la présidence du gouvernement. Les tenants et aboutissants des tables rondes auxquelles prend part Mme Bouden nous seront communiqués plus tard ou pas. Peu importe, de toute façon, les mesures à prendre qui se dégageront de ces rencontres resteront probablement des paroles en l’air car, avouons-le, la volonté politique n’y est pas et les moyens manquent.  

 

Face à des problématiques qui menacent la sécurité alimentaire et environnementale d’un pays jonché d’ordures et qui souffre de stress hydrique, sans parler des émissions de gaz à effet de serre et les projets d’énergies renouvelables qui titubent, le ministère de l’Environnement ne dispose que d’un budget minuscule – en plus de huit autres ministères le département n’a que 5,42% du budget de l’État. 

 

Le département de Leila Chikhaoui se contente, bien évidemment, des moyens du bord. Rudimentaires est, d’ailleurs, le moins qu’on puisse dire de ses projets. Alors que les déchets sont responsables de 6,5% des émissions de CO2 en Tunisie (chiffres du ministère de l’Environnement datant de 2012), le département pense encore à l’enfouissement. Il prévoit sur 2022 un budget de 22,5 millions de dinars pour l’ensemble des projets de gestion des déchets dont l’enfouissement et la création de décharges contrôlées. Entre temps, pour résoudre la crise environnementale à Sfax ensevelie sous les poubelles, c’est à la chaux et à coups d’insecticides et de désodorisants que le ministère allège les souffrances des habitants.   

 

Pour ce qui est des projets environnementaux et de développement durable, le ministère prévoit sur 2022 un budget de 4,9 millions de dinars pour, entre autres, appuyer l’effort national dans le cadre de l’exécution des recommandations de l’Accord de Paris. Les projets d’énergies renouvelables n’existent, eux, que dans les discours. Le pays où il fait beau 365 jours par ans et que la part des énergies est de 57% dans les émissions de CO2 (2012), demeure un consommateur passif de photovoltaïque.  

 

La présidence de la République n’a, elle, d’yeux que pour les législatives anticipées – qui coûteront des milliards de dinars pour finir en queue de poisson – et une hypothétique lutte contre la corruption. Que le pays soit très vulnérable au changement climatique – en raison de l'augmentation des températures et de l'aridité, de la diminution des précipitations et de l'élévation du niveau de la mer – n’est qu’en bas de la liste des priorités du locataire de Carthage. Selon le dernier rapport de Green Peace, toute l'Afrique du Nord, notamment le Maroc, l'Algérie, la Tunisie et l'Égypte, font face à de graves épisodes de chaleur et de sécheresse extrêmes en plus de la diminution des précipitations moyennes. Cette combinaison devrait accroître la pression sur les productions agricoles dans une grande partie de la région, en particulier dans les pays qui dépendent fortement de l'agriculture pluviale, notamment la Tunisie. Selon les projections climatiques de l’Institut national de la météorologie, la Tunisie devrait connaître une hausse des températures entre 1°C et 1,8°C à l’horizon 2050, et entre 2°C et 3°C à la fin du siècle, et une diminution des précipitations annuelles aux horizons 2050 de 5% à 10%.

 

Green Peace affirme, dans ce sens, que la hausse des températures impacterait les productions agricoles davantage et pousserait le pays à importer plus pour subvenir à ses besoins alimentaires. De quoi alourdir les caisses vides de l’État. Rien qu’en blé dur, la Tunisie a dépensé en 2022, 408.181.967 de dollars pour l’achat de 984.155 tonnes, selon l’Office des céréales. Le total des importations de céréales en 2022 était, lui, de 897.033.715 de dollars. Avec l’envolée des prix, cela risque d’empirer.


 

Nadya Jennene

08/11/2022 | 14:42
4 min
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Commentaires
Carthage Libre
Y'a quelqu'un? Chuis là!
a posté le 09-11-2022 à 12:50
Et chuis pas là!

Bon, y'en a marre, je retourne à ma Palestine chérie et je m'envole vers ma "planète".

Ommi qatli "da3wet char" pour ce pays ; on a que ce qu'on mérite avec ce cataplasme. Ma7laha fina.
BOUSS KHOUK
bn !
a posté le 08-11-2022 à 23:02
vous êtes tout même un peu beaucoup vicieux !! VOS JEUX DE MOTS afin de casser du KAIES SAIED ce n'est pas bien fait et pas assez travailler , c'est juste limite car c'est FLAGRANT TOUTS FEUX ALLUMES et ça CLIGNOTENT DE partout , vos lecteurs ferment un oeil et en laissent l'autre à moitié ouvert un peu moins s'ils ne portent pas des lunettes de soleil , à la vue d'un de vos articles parlent du président KS == BARRA BARK == bn ! vous devriez être neutre comme touts journalistes professionels
Loozap
Respect
a posté le 08-11-2022 à 21:32
Il doit normalement s'en soucier czr c'est un problème important
Patriote
@grendizer
a posté le 08-11-2022 à 20:36
KS avant bien un objectif et ila bien reussi à l'atteindre
Ilz réussi à debArras sera la tunisie de la gangrène Cancéreuse des khouanjias
Il a reussi à soboter leur plan diobolique de créer un émirat salafiste en tunisie avce l'aide df temime et ardogan
Tout le reste n'a pas de priorité et pourtant il a réussi à bloquer leur plan de perturbations d Affamer le peuple et en encourageant les manifestations
Il a reussi à débloquer le dossier FMI et le résultat l'ouverture des vannes dew autres bailleurs de fonds USA UE FOND ARABE BAD .....
Merci KS d'avoir sauver KS tunisie de la merde


Djodjo
Il n'a rien sauvé du tout
a posté le à 08:28
on y est déjà dans la merde et les ikhouenes d'où t'as vu qu'ils sont neutralisés ?
SED
Fumeur et écologie !?
a posté le 08-11-2022 à 20:13
Le médecin au fumeur : "Je suis vraiment désolé, mais nous devons vous couper la jambe". - "Dieu merci, j'ai cru que vous alliez m'interdire de fumer".

Personnellement, je n'ai rien contre le fait que quelqu'un fume. A condition qu'il n'expire pas !
Gardons un minimum d'honnêteté!
Martin Seel, la nature comme ressource esthétique!
a posté le 08-11-2022 à 20:10
La conscience environnementale semble être présente chez la plupart des gens. C'est ce qui ressort d'un sondage réalisé en 2016. Par contre les résultats de la recherche sociale empirique montrent que les attitudes et les comportements n'ont qu'une corrélation minime.

Selon une étude menée dans les années 2010 sur l'écart entre le comportement environnemental et la conscience environnementale, le résultat est clair: tant les adultes que les jeunes limitent leur comportement environnemental à des aspects secondaires. Ce comportement a été conceptualisé en utilisant le terme "low cost": Les attitudes environnementales influencent le plus le comportement dans les situations à faible coût, dans la mesure où les individus font valoir leur morale et leur vision de l'environnement dans des situations qui n'exigent pas de changements radicaux de comportement, qui n'entraînent pas d'inconvénients majeurs et qui ne demandent pas d'efforts supplémentaires particuliers.

Que faire afin de corréler attitudes et comportements? Une réponse possible, on la trouve dans le livre de Martin Seel, la nature comme ressource esthétique:

La nature est, selon Seel est un élément d'une bonne vie et c'est pourquoi il est éthiquement nécessaire de la préserver en tant que ressource esthétique.
-->
Cette justification éthique liée à l'esthétique signifie que la nature pourrait être préservée pour le bien de la vie des êtres humains et pas seulement pour rendre service à la nature.

Ainsi, les considérations esthétiques devraient jouer un rôle important dans la question de la protection de la nature. En effet, les expériences esthétiques sont capables de provoquer un changement d'état constant chez un individu et peuvent conduire à un changement du comportement de celui qui vit l'expérience.

La nature comme ressource esthétique signifie, entre autres,
- le détachement du sujet de l'implication directe dans la vie sociale et le retrait dans la nature
- la pratique esthétique pour elle-même
- le moment réflexif de l'expérience esthétique
- la prise de conscience de son propre rapport à la nature

L'esthétique consiste entre autres en une réflexion sur la subjectivité des choses. En apparaissant, en faisant sentir leur présence, tant les oeuvres que les objets esthétiques comme la nature ou les jardins créent quelque chose qui n'est pas facilement visible en dehors de l'apparition. L'apparition n'est pas l'apparence. Cette dernière est déterminable, mais l'apparition reste indéterminable. Alors que les apparitions identifient l'objet, l'apparition, selon Seel, se réfère à l'interaction ou au jeu des apparitions (Seel, 2000, p. 15-24). L'objet esthétique ne s'épuise pas dans ses apparitions sensorielles, et l'attention portée à la simple apparition n'ajoute rien à son "être ". De plus, l'apparition révèle quelque chose dans l'objet qui n'est pas facilement accessible. Percevoir la particularité dans le contexte de l'apparition rend plus conscient de l'existence d'un objet. La particularité esthétique dans l'apparition distingue un objet d'autres objets esthétiques. L'objet esthétique n'est perceptible que dans la présence processuelle de son apparition, indépendamment des déterminations scientifiques ou autres.

Si, en principe, toutes les oeuvres d'art sont des objets esthétiques, ces derniers ne sont pas tous des oeuvres d'art, et l'objet naturel n'est pas toujours un objet de perception esthétique. L'objet esthétique permet une forme authentique de perception, qui concerne le processus d'apparition de cet objet. Cette perception "privilégiée" dans l'apparition est un enrichissement de toutes les perceptions humaines.

L'apparition n'est pas seulement un élément constitutif de toutes les formes de production et de perception esthétiques, mais en principe, tout ce qui est perceptible par les sens peut apparaître esthétiquement. L'attention portée à la présence d'un objet ne serait pas la même sans que l'on prenne en même temps conscience de sa propre présence. Pendant l'observation du jeu des apparences, une conscience se développe, qui génère une présence d'ici et maintenant, dans laquelle l'observateur/l'observatrice fait l'expérience de sa propre expérience.

Bien entendu, la pratique esthétique, au sens de l'expérience esthétique et des théories qui la thématisent, semble ouvrir un monde d'activités extraordinaires. Elle pourrait, selon Seel, proposer d'autres voies que celles de la seule connaissance ou de l'action. La pratique esthétique représente une possibilité authentique pour les personnes d'expérimenter leur monde de manière inhabituelle. Selon Seel, la reconnaissance de l'importance de la perception esthétique offre, par le biais de l'attitude esthétique, une forme possible de liberté (par l'intensification des sens et la distanciation par rapport aux activités ordinaires) (cf. Seel, 1996, p. 11-35). Selon Seel, il serait toutefois impossible de compter ou de calculer les avantages d'une attitude esthétique.
Il faudrait tout de même prendre en compte la distinction entre "apparence" et "paraître". La destruction de l'environnement n'empêche pas toujours la belle "apparence" esthétique de la nature, même si elle est partiellement détruite. Cela signifierait que l'attention exclusive portée à l'apparence dans le cadre de la nature pourrait d'abord dissimuler la destruction de la nature.
Gardons un minimum d'honnêteté!
Think global, act local!
a posté le à 07:29
La conscience environnementale est aussi présente chez les Tunisiens, il faut seulement minimiser l'écart entre la conscience environnementale et le comportement environnemental. --> ceci est possible en considérant "la nature comme ressource esthétique"
-->
On entreprend quelque chose avec et dans la nature ou l'environnement, ce qui procure un sentiment de bien-être. "Se sentir bien dans des environnements est une question esthétique" (Böhme, 1995, p. 23). Ce qui implique un dépassement de la dichotomie classique sujet-objet : On fait quelque chose avec et au sein de la nature, tout en partageant une atmosphère commune (avec la nature). Dans une perception esthétique, nous faisons simultanément l'expérience de nous-mêmes et de l'environnement et sommes encouragés à une interaction multiple : entre la sensualité et la réflexion, l'émotion et la raison, le conscient et l'inconscient, la communication verbale et non verbale. --> On ne pourrait pas changer notre comportement environnemental si nous continuons à considérer la nature et l'environnement comme une chose qui est ce qu'elle et seulement en tant que source de nutrition et d'énergie (cf. Böhme, 1995, p. 15).

La conscience environnementale et le comportement correspondant se forment à l'école et ceci en faisant quelque chose avec et au sein de la nature, tout en partageant une atmosphère commune (avec la nature) dans une perception esthétique,

Bonne journée

PS: Je redonne la citation suivante en original: "Alors que les apparitions identifient l'objet, l'apparition, selon Seel, se réfère à l'interaction ou au jeu des apparitions (Seel, 2000, p. 15-24)" --> en original: "Während die Erscheinungen das Objekt identifizieren, bezieht sich das Erscheinen gemä'? Seel auf die Interaktion oder das Spiel der Erscheinungen" (Seel, 2000, S. 15-24)
-->
il faut se mettre dans l'esprit de l'auteur (se mettre dans le contexte du livre) afin de comprendre cette citation.
GZ
@Gardons un minimum de lucidité
a posté le à 02:56
Bonjour.
Ne prenez pas ceci en mauvaise part. Vous élevez le débat à des niveaux insoupçonnés par le commun des Tunisiens. L'esthétique, ici, on s'en soucie comme d'une guigne. Constructions anarchiques sans goût, sans le respect d'aucun plan local d'urbanisme d'ailleurs inexistant; ça rentre, ça sort; ça dépasse; c'est en retrait. Je fais ce que je veux. Tout est à vau l'eau. Villes sans charme, bourgades sans atours, citoyens indisciplinés, à croire que c'est la foire à l'enlaidissement.
Je me souviens d'un slogan "il suffit de peu de choses pour rendre la France propre". Pays qui pourtant, à y bien regarder n'est pas sale. Il en faudrait beaucoup, beaucoup pour rendre la Tunisie simplement vivable.
Esthétiquement agréable à l'oeil
est une autre paire de manches.
Bien à vous.
Gardons un minimum d'honnêteté!
@GZ
a posté le à 12:35
Merci pour votre Feedback,

en moyenne 800 personnes lisent un article d'opinion de Business news tn (Business News tn nous donne les moyens sans le savoir afin de déduire cette donnée / ce nombre approximative / approximatif)

En moyenne 30 commentateurs commentent un article d'opinion de Business news tn dont généralement 25 sont négatifs sans aucune argumentation de leur position et 5 sont positifs et constructifs.

J'écris mes commentaires car j'ai un message à transmettre aux commentateurs positifs / constructifs et à tous ceux qui lisent les commentaires et les articles d'opinion sans laisser de traces (sans laisser de commentaires). Puis, j'espère que les décideurs politiques pourraient s'inspirer de mes commentaires.

Je reviens à votre Feedback, l'écart entre la conscience environnementale et le comportement environnemental n'est pas seulement typique pour la Tunisie --> tous les pays ont ce problème. Je donne l'exemple des européens qui croient qu'en faisant le tri des déchet sans minimiser l'utilisation de la voiture, des vacances par avions plutôt que de prendre le train, et sans renoncer au ski de masse qui a ruiné les Alpes ils pourraient sauver l'environnement.
-->
Ce comportement a été conceptualisé en utilisant le terme "low cost": Les attitudes environnementales influencent en particulier le comportement dans les situations à faible coût, dans la mesure où les individus font valoir leur (pseudo-) morale et leur vision de l'environnement dans des situations qui n'exigent pas de changements radicaux de comportement, qui n'entraînent pas d'inconvénients majeurs et qui ne demandent pas d'efforts supplémentaires particuliers. --> c'est de l'hypocrisie...

-->
La conscience environnementale est aussi présente chez les Tunisiens, il faut seulement minimiser l'écart entre la conscience environnementale et le comportement environnemental. --> ceci est possible en faisant l'expérience de "la nature comme ressource esthétique"

Le problème des citadins est évident, Ils ont perdu tout contact avec
la nature et il est temps de remédier à cette situation --> exemple: Paris se végétalise de plus en plus et fait agrandir ses zones vertes. De même il est temps de végétaliser Tunis et toutes nos autres grandes villes petit à petit dans le but d'intégrer la nature comme élément de confort urbain et afin de vivre des moments esthétiques avec et dans la nature en pleine ville, devant chez soi.

De la Tunisie dite la verte, il ne reste que l'adjectif.

Bonne journée
Crow85
des MILLIARDS de dinars vous dîtes?
a posté le 08-11-2022 à 20:04
"des élections qui coûteront des "milliards de dinars"
c ça votre journalisme comme le président vous ne faites pas la différence entre millions et milliards, vous ne valez pas mieux.
allez prendre quelques leçons de calcul, ça vous apprendra à dire moins d'inepties
versus
COP 327, an 2322
a posté le 08-11-2022 à 18:23
C'est sûr que suer en 2322 est plus important que de ne pas vivre de misère et de faim en 2022. Après avoir prédit l'apocalypse nucléaire dans les prochains jours, ils reviennent avec la COP, puis ce sera à nouveau covid qui pointera son nez, régner par la peur. De quelles organisations internationales parle t'on?
A4
Question pour robocop:
a posté le 08-11-2022 à 17:49
La température s'exprime en
1) kilogramme
2) degré Celsius
3) dinar
Réponse 1, 2 ou 3 ?
MH
@A4 bonjour
a posté le à 08:55
Blague à part.
J'aurais aimé que l'on lui pose la question autrement avec les 3 choix suivants:
1- degré Celsius
2- Farenheit
3- degré Kelvin
Saura t-il répondre?
Fares
@MH Il ne saura pas
a posté le à 17:11
Kaisollah ne saura pas répondre à votre question parcequ'il n'utilise ni le système métrique, ni le système impérial, mais plutôt le système kaisallahique.

Dans ce système, tout se fait au feeling. Donc une température est soit:

1- A77.
2- Tichwi
3- Yammimti

'?a ressemble un peu à la logique floue définie par Lotfi Zadeh, rien d'étonnant provenant d'un "président" pas très clair.
Fares
Réponse de Kaisollah
a posté le à 00:24
Réponse de Kaisollah: 1, 2 et 3.

Le lâche de Carthage ne peut jamais s'engager, même lorsqu'il s'agit d'une question à choix multiples.

Réponse de Bouden: Machallah machallah.

Pauvre pays.
NM
@A4
a posté le à 19:42
mais enfin A4, vous êtes entrain de vous ridiculisez et de ruiner votre image de poète. Arrêtez s.v.p. d'écrire des conneries, votre niveau est ainsi trop trop bas.

vous avez un talent linguistique que vous êtes entrain de ruiner avec des imbécilités. Puis ce que vous écrivez n'est pas amusant, c'est plutôt un signe d'un manque d'intelligence.

il y en a marre de tous ces commentaires nuls et à la con.




Fares
@NM Vous venez de quelle planète ?
a posté le à 16:55
Le sens de l'humour est ancré dans les tunisiens. Il ne reste à ce pauvre peuple que les blagues après la marasme imposé par Ghannouchi et Kaisollah.

Vous voulez aussi leur confisquer ça?

Vous n'êtes pas obligé de lire tous les commentaires, triste personnage. En plus, les blagues sont un moyen très efficaces pour passer ses idées, peut être même le moyen le plus efficace car accessible à tout le monde.
A4
@NM
a posté le à 21:46
Désolé de vous décevoir et merci pour votre rappel à l'ordre.
J'ai essayé de faire une blague du même genre que celle de la fameuse "ommek sannéfa" ...
Djodjo
A4 celui qui n'aime pas votre humour, c'est son problème.
a posté le à 08:31
Ben moi j'ai trouvé ça pertinent et drôle, franchement continuez, je prends plaisir à vous lire.
Djodjo
@kais, peu d'idées et beaucoup d'ego
a posté le 08-11-2022 à 17:26
Bof, un bon dictateur du siècle dernier, il se fout de tout sauf de sa personne, y'a rien de bon à en tirer d'un personnage aussi creux.
BORHAN
BIZARRE...!
a posté le 08-11-2022 à 17:00
Excepté ses voyages en Algérie, en France et en Egypte (pour des raisons stratégique s (!!!), Saied ne participe jamais aux rencontres et concerts internationaux.
Pourtant, y participer c'est se faire reconnaître, imposer sa diplomatie et attirer les investisseurs.
Quant au problèmes de l'environnement, du climat ,... Saied n'a ni les épaules ni les idées pour être entendu surtout que la Tunisie n'a rien à envier aux autres nations puisqu'elle est devenue la plus grande déchetterie et la poubelle de l'Europe.
A titre d'exemple, entre Ottawa et Tunis il y'a au moins un siècle de décalage et de retard en matière de l'environnement.
Dire que la Tunisie s'appelait autrefois : " LA VERTE " !
Djodjo
@borhan
a posté le à 17:40
Bah il voyage pas comme souvent avec les paranoïaques, il s'imagine qu'en sont absence un autre lui pique la place.

Après on a pas besoin de l'Europe pour être une poubelle, suffit de voir les tunisiens et leurs sacs plastiques jetés n'importe où. Ici l'idée de l'écologie n'est partagée par très peu de personnes, faut dire qu'on a déjà du mal à exister.
A4
Pauvre planète !
a posté le 08-11-2022 à 16:06
DAME NATURE
Ecrit par A4 - Tunis, le 07 Septembre 2021

Gaspillez encore et encore
Faites ce qui vous passe par la tête
Ne pensez qu'à votre confort
Brûlez tout sur cette planète

Moi je ne peux me laisser faire
Subir vos folies et caprices
Vous voir transformer en enfer
Montagnes, pleines et oasis

Pour un degré ou même moins
J'irai assécher vos rivières
Je n'oublierai aucun recoin
Et vaines seront vos prières

Pour un seul degré, pas des masses
Je laisserai exploser ma rage
Je ferai fondre neige et glace
Pour dévaster toutes vos plages

Pour un petit degré encore
Et tout sera détérioré
Je battrai tous mes records
Pour incendier bois et forêts

Un degré de plus dans mes mers
Et il n'y aura plus d'accalmie
Mes vagues envahiront vos terres
Mes marées seront tsunamis

Un degré dans mes océans
Et odieuse sera ma réplique
Faune et flore deviendront néant
Vous ne pêcherez que du plastique

Un degré et c'est déjà trop
Trop de dégâts, de désespoirs
Vos barrages seront des flaques d'eau
Et votre ciel enduit de noir

Pour un petit degré de plus
Je ne ferai plus qu'à ma tête
Je déchaînerai mes virus
Pour envahir toute la planète
grendizer
comment
a posté le 08-11-2022 à 15:27
Pourquoi se casser la tête les Tunisiens ont élu un president qui n'avait ( et n'aura jamais ) de programme , pas de vision , deteste les partis politique ....... sa seule vision pour le pays et identique à celle du défunt kaddafi : commités régionale par tout , la maison à son habitant , les richesses pour le peuple et le peuple pour les richesses, ............il suffit de lire le livre vert et tout sera élucidé.
Alors la COP 27 ou même la COP 32569874125 il s'enfout