Moins de 24 heures après le désaveu cinglant des législatives, Kaïs Saïed donne sa propre lecture du très faible taux de participation. Dans la foulée, il limoge deux ministres pour les remplacer par un général de l’armée de l’air nommé à l’Agriculture et un adversaire déclaré de l’UGTT à l’Éducation.
Quant à la dégradation de la note souveraine par Moody’s, le président de la République fait tout simplement l’impasse.
C’est un mépris totalement assumé qu’a opposé Kaïs Saïed ce lundi 30 janvier aux Tunisiens qui ont une lecture différente de la sienne des résultats des législatives. Un mépris des Tunisiens, mais également des institutions.
Pour une raison qu’on peine à expliquer, Kaïs Saïed s’est déplacé à la Kasbah, au siège de la Primature, pour expliquer les résultats des législatives du 29 janvier et le taux de participation très bas (11,4%). Un politicien normalement constitué aurait marqué un temps d’arrêt le temps de comprendre l’abstention record des Tunisiens, mais pas Kaïs Saïed qui, au vu du lexique choisi, semble détenir la vérité absolue.
D’après lui, « le taux de participation doit être déchiffré d’une manière différente. 90% n’ont pas participé parce que le parlement ne leur dit plus rien. Il faut lire le taux d’abstention et essayer de comprendre pourquoi les Tunisiens n’ont pas voulu participer aux élections malgré le changement du mode du scrutin. C’est parce que pendant les dix dernières années, les Tunisiens ont constaté que le parlement s’est transformé en une institution qui malmène l’État. Cet abstentionnisme est, donc, la réaction naturelle à tout cela ».
Peut-on avoir une lecture des chiffres différente de la lecture présidentielle ? « Certains commenteront à leur manière, mais cela m’importe peu et ne suscite que le mépris et le dégoût. Notre profondeur populaire est bien plus ancrée que la leur. Ce qu’ils font aujourd’hui s’apparente à de la haute trahison au peuple tunisien, outre leur recours aux forces étrangères. »
En clair, soit on adhère à la lecture alambiquée du président, soit le président nous méprise et nous accuse d’être à la solde de l’étranger !
Pourtant, force est de constater que l’interprétation du président de la République est facilement démontable. C’est, à la limite, une lecture primaire digne de la terrasse d’un café populaire.
Tout d’abord, il n’y a aucune étude scientifique digne de ce nom qui a été publiée pour expliquer l’abstention de 90% du corps électoral. Il n’y a même pas eu de sondage d’opinion, les statisticiens ne peuvent se risquer à ce genre d’exercice, sous peine de tomber sous le fameux décret 54 liberticide imposé par Kaïs Saïed en septembre dernier. À défaut d’étude, à défaut de sondage, à défaut de démonstration détaillée, la lecture immédiate des résultats des législatives s’apparente davantage, donc, à une discussion de café.
Les propos présidentiels brillent ensuite par leur inexactitude. C’est faux que de dire que les Tunisiens se sont abstenus parce que le parlement ne leur dit plus rien et que celui-ci était en train de malmener l’État. Bon à rappeler au président, le parlement de 2011 a malmené l’État et provoqué l’ire des Tunisiens et, pourtant, il y a eu 68,36% de participation en 2014. Le parlement de 2014 a également brillé par ses pitreries et ceci n’a pas découragé pour autant les Tunisiens puisqu’on a enregistré un taux de 41,7% aux législatives de 2019.
Sautant du coq à l’âne, le président évoque le référendum du 25 juillet 2022 et justifie le faible taux de participation (30,5%) par le fait que ce soit un jour de congé. C’est juste une lapalissade puisque l’ensemble des élections se sont déroulées un jour de congé !
En vérité, le président refuse catégoriquement l’hypothèse de la non-adhésion totale d’une très large majorité des Tunisiens à son programme, son mode de scrutin, son exclusion des partis et sa façon de faire de la politique. L’hypothèse que les Tunisiens veulent une démocratie ordinaire à l’instar de celle observée dans les pays civilisés semble déranger Kaïs Saïed.
Même si Kaïs Saïed feint de l’ignorer, les Tunisiens savent pertinemment qu’il y a des débats houleux dans tous les parlements du monde. Des agressions verbales et physiques et un régime malmené au parlement n’a rien d’exclusif à la Tunisie. En revanche, un pays qui fonctionne sans partis, sans lobbys et sans argent politique, cela n’existe nulle part.
Deuxième activité de la journée présidentielle du lundi 30 janvier 2023, le limogeage humiliant de deux ministres. Celui de l’Éducation, Fethi Sellaouti, a été remplacé par le syndicaliste Mohamed Ali Boughdiri et celui de l’Agriculture, Mahmoud Elyes Hamza, a été remplacé par un général de l’Armée de l’air, Abdelmonem Belati.
Ce remaniement ministériel restreint interpelle pour plusieurs raisons. Tout d’abord, comment expliquer que la cheffe du gouvernement soit épargnée alors que son gouvernement n’a rien réalisé depuis près d’un an et demi ! Absolument rien ! Premier responsable des pénuries, de l’inflation et de la dégradation de la note souveraine de la Tunisie, il est bon de rappeler au président de la République que Najla Bouden n’a même pas été capable d’obtenir un crédit du FMI, ni même de présenter son dossier dans les temps. En se déplaçant lui-même à la Kasbah, comme pour l’adouber, le président oppose un mépris aux Tunisiens ! C’est un peu comme s’il leur disait, elle a beau être responsable de vos malheurs et de votre perte de pouvoir d’achat, je la confirme quand même.
Par ailleurs, en nommant Mohamed Ali Boughdiri, Kaïs Saïed oppose également un mépris à la centrale syndicale UGTT. Ce n’est un secret pour personne que M. Boughdiri est l’adversaire premier de Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT. Cherche-t-il à monter les syndicalistes les uns contre les autres, cherche-t-il une confrontation directe avec la centrale, envoie-t-il un message de toute puissance au-dessus de tout le monde ? Quelle que soit la lecture qu’on puisse faire de cette nomination, on ne lui trouve rien de positif.
Enfin, la nomination de M. Belati est à la fois intrigante et inquiétante.
Intrigante, car le monsieur a atteint l’âge de la retraite (il est né en février 1960). Dans ses différents discours, le président de la République n’a cessé de clamer haut et fort qu’il veut donner de la place aux jeunes, mais curieusement, il fait appel à un hypothétique retraité pour diriger les affaires de l’Agriculture. Autre point intrigant, la biographie de Abdelmonem Belati est honorable, certes, mais elle ne montre aucune expérience ou savoir-faire en matière agricole.
En nommant un militaire à la tête de ce département, Kaïs Saïed semble privilégier l’allégeance et la loyauté, mais aussi la fermeté. Dans les discussions de café, il est commun de dire qu’il faut nommer un militaire pour obtenir de l’ordre et mettre tout le monde au pas. Avec cette nomination, le président donne corps à ce fantasme populaire.
Cela dit, la nomination de M. Belati est inquiétante car la place de l’armée tunisienne a toujours été dans les casernes. Bien que ce ne soit pas une première, nommer un militaire dans le gouvernement est inquiétant. Les valeureux officiers tunisiens ont été formés pour servir les trois armées et non pour travailler dans le gouvernement et l’administration. Ils ont été formés pour protéger l’État et non pour le servir. Quelles que soient les compétences de M. Belati, celles-ci doivent sans aucun doute mieux servir l’armée que le gouvernement. Pour preuve, l’ancien poste extrêmement important de M. Belati au sein de l’armée en tant qu’inspecteur général des forces armées.
Ces considérations d’ordre politico-stratégique sont toutes balayées d’un trait par Kaïs Saïed, bien entendu. Il a ses idées fixes et il s’y tient ! Si on lui oppose une quelconque objection, il répond par le mépris et l’injure.
En revanche, il brille par son absence totale et son silence criard devant les vrais problèmes des Tunisiens : l’inflation, les pénuries, les grèves, les revendications syndicales, etc.
Pire, il ne dit absolument rien sur les perspectives négatives de la Tunisie, telles que pronostiquées, vendredi dernier par l’agence de notation internationale Moody’s.
Kaïs Saïed est dans son univers. Un univers tout simple qui s’apparente davantage à un café populaire du siècle dernier où il déguste son capucin qu’une Tunisie réelle du XXIe siècle.
Nizar Bahloul
Toujours aussi petits.
Cette incapacité mène ce pays aux conditions draconiennes du Club de Paris, conditions qui sont encore plus hors de portée de la compréhension et du périmètre d'action du Président et de son équipe
Preuve en est , le voyage clandestin de Mme Bouden a Paris où elle est allé brader des pans entiers de notre économie nationale a des intérêts Français et Israéliens obscurs; cette initiative secrète pourrait elle s'apparenter a de la trahison nationale ?
on n'ose l'envisager
Ainsi, lorsqu'on a décrété, ceux qui lisent se souviennent du concept de décision chez Hans Kelsen que je relevais, qu'on a raison rien ne vous arrête.
Kais Saied porte la totale responsabilité de tout, ce qui s'est fait contre son gré, contre le pays, aussi bien que ce dont on peut lui opposer et qui relève de ses décisions.
La réalité est tout autre, et pas plus conforme à la lecture qui en est faite ici de façon univoque et souvent biaisée, qu'elle ne l'est totalement au souhait de Kais Saied.
Pourtant, et compte tenu de la campagne systématique qui lui est entretenue, on peut lui reconnaître au moins le mérite d'avoir mis un terme au diktat des islamistes qui tenaient tout et que peu de gens osaient combattre.
La peur était là, quand de nos jours tout petit malin peut s'autoriser à traiter de fou le chef de l'Etat. Sans compter toutes les saletés déversées sans retenue.
Un peu de pudeur serait bienvenue.
Et en toute logique lorsqu'on se prévaut de la démocratie, on ne peut décrire les faits de façon outrancière, ni mettre au compte d'un seul homme le présent, le passé récent, les dysfonctionnements des institutions ou le manque de loyauté des juges et parfois même la complicité de certains avec une mouvance dont on peut dire sans hésiter qu'elle porte une responsabilité historique par les calamités qu'elle a causées au pays, aux citoyens, à l'économie, 'image du pays...
Pour ta gouverne le poète incompris et incompréhensible : kais n'est pour rien dans la chute de nahda, les khouanjis étaient déjà foutus quand kais fait son putsch, il les a memes sauver d'un lynchage populaire qui prenait forme.
Pour le reste, bla-bla-bla qui a pour prétention de nous expliquer la démocratie alors que son auteur est très loin.
Faut voyager un peu mon houcinou.
Comme connard, je crois que tu es d'un bon niveau, puisque tu n'as pas même le sens de l'honneur à te laisser traîner dans la fange, ton milieu naturel.
Avec les médiocres et les vulgaires, pas le choix ni de la forme ni du contenu, il faut leur parler la seule langue qu'ils comprennent, celle des bas-fonds.
Avec moi, tu es servi coco.
Et si cela ne te suffit pas, viens donc me voir, je t'en montrerai.
Petit chou, tu serais peut-être délicate, alors je te soignerai.
Circule, et par ici la sortie.
En plus d'être bête , Houcinou à l'école arrogance de ceux qui ne doute pas. Houcinou, y'a que toi qui comprend ce qu'il écrit et qui a le sentiment de « gagner » lors d'un échange parce que grossier, ça prouve le degré zéro du débatteur ( du reste, tu vois bien que t'es arguments ne prennent pas, la preuve, y'a de moins en moins de pro-médiocrité,)
En gros et pour faire gagner du temps au lecteur, l'argument de Houcinou c'est simple et simpliste : kais nous a sauver de nahda et c'est super, tout le reste (mise en faillite du pays) il ne le voit même pas.
Il a tout dis ici.
Celui qui ne pense pas comme lui le degoute.
Personne a part Saeed n'a le droit de penser quelque chose.
J'ai peur pour mon pays pris en otage par un cancre arrogant.
Aujourd'hui la Tunisie est pris en otage par les 10% les plus bêtes du pays, le résultat est la.
En 2011, le nombre de votants est 4.3 millions,et le taux de participation est 51.97.Donc le nombre d'électeurs est =4.3millions/51.97% = 8 274 000.
En 2014, le nombre de votants est 3.2 millions,et le taux de participation est 60.09%.Donc le nombre d'électeurs est =3.2millions/60.09% = 5 325 345.
Donc d'aprés ce ou cette GENIE de B.N le nombre d'électeurs a diminué entre 2011 et 2014 de 3 millions!!!
Et B.N vient aprés pour nous dire que le nombre des participants aux manifestations de NAHDHA ,le 14 Janvier est dix mille.Vraiement B.N est le site le plus neutre de la Tunisie.
1-Nahdha veut s'auto-convaincre que le faible taux de participation aux élections est un echec pour KAIS SAIED. Alors que ce taux de participation reflete la faillite du systeme parlementaire trés cher pour NAHDHA, et confirme encore une fois le refus des Tunisiens de ce systeme et leur préférence pour un systéme PRESIDENTIEL inclus dans la constitution.
2-Le faible taux de participations aux elections de l'ARP envoi le message suivant : Les Tunisiens n'ont confiance qu'au président et n'ont pas une grande confiance aux élus meme s'ils se reclament du président.
3-NAHDHA veut s'auto-convaincre que les 89% des inscrits qui n'ont pas voté sont contre KAIS SAIED et meme avec NAHDHA ,ce qui est trés naief pour les raisons suivantes:
a-Meme sans le 25 JUILLET,et meme avec le financement public ,et l'argent sale et trés sale,le taux de participation à des élections législatives ne dépasseront jamais les 25%,parce que les Tunisiens ont expérmenté au moins 3 élections législatives et ont constaté que ceux à qui ils ont donné leurs voix ,en se présentant contre NAHDHA,(CPR,takattol,jamhouri,NIDA, kalb tounes,Tahya tounes,'indépendants'...) ont fini par s'allier avec NAHDHA. Donc il vont boycotter les élections car il savent que leur vote serait sans effet.
b-Une trés grande partie des Tunisiens qui ont voté dans le passé, l'on fait pour barrer la route à NAHDHA, en votant pour NIDA ,puis pour KALB TOUNES.OR dans ces élections NAHDA et le PDL ne sont pas dans la partie, et cette grande partie des Tunisiens sait que ceux qui seront élus sont avec le 25 JUILLET et contre NAHDHA ,peu importe leurs nom, et ont jugé que leur vote ne change rien, surtout en l'absence du SEUIL.
c-Dans les passé les électeurs font trés facilement leurs choix lors du votre : liste de nahdha ou liste autre que nahdha, or dans les elections de 2022 et 2023 ,les électeurs se sont trouvés devant des personnes souvent inconnues et meme des sous-marins , et ont craint de faire un mauvais choix qu'ils regrettent aprés.et Ils ont préféré ne pas voter et laisser des électeurs plus avertis et plus connaisseurs voter à leur places (systemes des GRANDS électeurs ou de délégation de vote).
4-Naif qui pense que KAIS SAIES va donner de l'importance au faible taux de participation, car il sait qu'il n'y pas de seuil, et que ce qui compte pour l'etranger c'est la transparence des élections et non le taux de participation. En plus ce taux va conforter le président et va le rendre plus ferme, et va donner plus d'importance à l'assemblée des regions, trés cher à KAIS SAIED.
5-Dans deux ou trois jours NAHDHA et les opposants à 25 juillet vont se refroidir et s'occuperont de leurs affaires avec la JUSTICE ,et les Tunisiens s'occuperont des noms des élus à l'ARP ,l'isie s'occupe des résultats et des contraventions, le Tribunal administratif s'occupe des recours, et le TAUX DE PARTICIPATION sera vite oublié.
Enfin un appel à NAHDHA ,parachocs et alliés NE REVEZ PAS, welli yehseb wahdou youfdhollou , le PEUPLE vous a dit tant de fois il sont CONTRE LE 24 JUILLET et AVEC LE 25 JUILLET et il n'y a pas de retour en arriére. Point à la ligne.
Félicitations l'artiste, grâce à des énergumènes dans ton genre que la Tunisie va mal.
ROBOCOP (2)
Ecrit par A4 - Tunis, le 29 Septembre 2020
Une année après et Robocop radote
Entre infâmes obsessions et idées idiotes
Un an après et Robocop se déchaîne
Les yeux exorbités, nous crachant sa haine
Douze mois après et son programme a buggé
Son soft s'est planté, mécanique déglinguée
Boulons desserrés et visserie rouillée
Contacts mauvais et carte-mère bidouillée
Il s'énerve, s'obstine, s'entremêle les nerfs
Et laisse s'étaler son instinct sanguinaire
Il rêve de signer avec sa rouge plumette
Plein d'autorisations à couper des têtes
Il parle un langage bizarre et malhabile
Mêlant vieux discours et croyances débiles
On l'a pris pour la peste ou le choléra
Il s'avère les deux ... en plus du corona !!!
Paul Morand - '?uvre : La vie de Maupassant (1942)
Ne méprise ni personnes ni conditions, de crainte que leur cas ne devienne le tien.
William Penn - '?uvre : Les fruits de l'amour d'un père (1790)
Un homme politique qui dit au peuple des choses que le peuple ne peut pas comprendre se met au-dessus du peuple. C'est un homme politique qui méprise le peuple.
Jean Dutourd - '?uvre : Le fond et la forme (1965)
Ceux qui méprisent l'humanité commencent, en général, par se mépriser eux-mêmes, mais ils ne le savent pas.
Jean Dutourd - '?uvre : Le fond et la forme (1958)
Je ne hais pas mes ennemis, je me contente de les mépriser.
Victor Cherbuliez - '?uvre : Les hommes et les choses du temps présent (1883)
A mon zautiste préféré je lui dis que : Bien des gens placent leur grandeur à mépriser le peuple, c'est une grandeur bien mesquine.
Pierre-Jules Stahl - '?uvre : Les pensées et réflexions diverses (1841)
C tout pour mon zautiste préféré ?
La Tunisie est en cessation de paiement et risque fortement d'être mise sous tutelle du Club de Paris, comme l'a été le Liban, le Soudan, l'Ouganda etc....
On était un pays émergent, en pleine croissance, on devient un pays du quart monde (le tiers monde se porte mieux que nous).
A cause des politiciens que LES TUNISIENS ont élu depuis plus de 10 ans.
La démocratie n'est pas à mettre entre les mains de chameliers et d'animaux.
Et puis KS a compris que le lion est roi dans sa cage.
Il faut juste attendre et voir. Au risque de voir le pays s'enfoncer économiquement.l au point de ne plus pouvoir se relever.
Mais il faut comprendre que le taux de non votant est un point très important: 89%.
Peut-être que pour le président cela n'a pas d'effet sur sa façon de voir.
Par contre les institutions internationales, elles, le voient.
Et croyez-moi ils ne sont pas près à prêter de l'argent à la nation tunisienne.
Malgré le déni et les explications abracadabrante de KS sur l'issue du vote, les nations occidentale ne sont pas dupes.
Les seuls qui en pâtissent ce sont les tunisiens. Malheureusement.
Comme un frère et comme un père
pour votre intelligence et pour votre courage,
vous nous avez libérés des profiteurs et des corrompus,
que Dieu vous protège Mr. Kais Said et protège notre Tunisie
Kaïs Saïed c'est le président de l'immobilisme, et de la perte, il pédale dans la semoule et je reste poli . De là à vouloir le retour de Leila trabelsi au pays car les tunisiennes et tunisiens sont devenus nostalgique du passé dans lequel ils étaient.
Ne te sens pas visé, je parlais pas d etoi, bien sur!
PS : Tu sais, quand Hitler est terminé, Kaput, ce que ses "amoureux" ont fait? Ils se sont suicidé par "amour"...Ahhh l'Amour...l'Amour...Je comprendrais jamais!
Même en 2018 les Tunisiens ne voulaient pas aller voter, Je cite Business News TN: "Hafedh Caïd Essebsi appelle au vote et viole le silence électoral", voir le lien:
https://www.businessnews.com.tn/article,520,79813,1
Les Tunisiens n'ont jamais participé à des élections avec des pourcentages aussi bas, mais pourquoi ?
Et notre Kalsounallah n'a rien à voir avec cette sauce ?
7asilou Tbarkallah 3lik !
Dis, tu fais pas exprès d'être aussi abruti, hein?
Veuillez cesser de citer des liens qui nuisent à la lisibilité des commentaires.
J'ignore ce qui se passe techniquement. Toujours est-il qu'à chaque fois les fins de lignes s'en trouvent rognées rendant la compréhension aléatoire voire impossible. Vous ne le faites pas à dessein, certes, le résultat est le même.
Merci de prendre cette requête en considération.
..., C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : " Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien. " Mais l'important, c'est pas la chute. C'est l'atterrissage ! ! !
Une nouvelle branche des Forces Armées ?
et ses souffrances à la recherche des ses vivres (sucre, lait ,café, médicaments.....)que le président n'à pas voulu comprendre ,nôtre président est prisonnier de ses idées, je ne suis pas un expert en politique, mais se que vit la Tunisie est du jamais vu, Victor Hugo a bien écrit,le vrai prisonnier est le prisonnier de SON ESPRIT.
Kaies Saied, comme le dis si bien @Tunisino, avait une PORTE DE SORTIE : celle PACIFIQUE où le Peuple le rejette avec ses 11% (à vrai dire c'est 3% selon les vrais chiffres)....
Il aurait du saisir cette occasion, lui, le "ndhif", "désintérressé" par le Pouvoir, l'argent et tous les privilèges qui vont avec....
Il continue dans ses dérapages et ses élocutions inaudibles, sauf pour lui et ses quelques partisans : le DENIE de la REALITE. La gestion CHAOTIQUE d'un Etat depuis 2019 (oui oui, 2019, avec la nomination de ses 2 Premiers ministres incompétents, dont Mechichi...les gens ont oublié ça, hein).
Il continue avec ses "slogans" vides, sans contenu et irréels.
Kaies Saied, outre la gestion catastrophique de l'Etat, dans une période CHARNIERE suite aux destructions d'Ennahdha et des Khwenjias pendant 10 ans a fait PIRE : Il a RENFORCE l'Islam Politique en Tunisie. Que ce soit dans sa Constitution débile ou bien le RENFORCEMENT d'Ennahdha et des khwenjias, où AUCUN DOSSIER grave n'a abouti.
Ennahdha, grâce à Kaies Saied est redevenue "victime" et donc ENCORE plus puissante.
Maintenant que Saied n'a pas compris le DESAVEU HISTORIQUEMENT MONDIAL des tunisiennes tunisiens, et qu'il s'obstine, il devra ASSUMER. Je ne veux pas que notre pays part en couille, mais s'il ne démissionne pas DE SUITE, dans la semaine...il en paiera les conséquences et la Tunisie paiera les conséquences aussi.
Comme a dit @Tunisino : la Porte de sortie est là, sous ses yeux. Il annonce des élections présidentielles libres, sans se présenter ou présenter un de ses "chaftar" et se retire : s'il est "ndhif", il devrait le faire, car la situation du pays ne peut plus attendre.
1-MIIZ WALAW TAROU. Des chèvres même s'ils sont envolés, un proverbe arabe, deux hommes dans une prairie ont vu des grues cherchant la nourriture, le premier a insisté que se sont des chèvres ,le 2ème plus rationnel a déduit que se sont des grues, le têtu confirmé et insisté sont des chèvres, en s'approchant de l'objectif, les grues se sont envolés, le têtu insisté, même s'ils sont envolés, se sont des chèvres,nôtre président pense ainsi à propos des élections.
2ème lire à l'envers, c'était Bourguiba, paix à son âme, quand feu Med Saieh était le dernier de la liste des parlementaires, alors Bourguiba avait retourné la listes des élections, donc monsieur Saieh est devenu Premier. Nôtre président voit les élections ainsi. Dans les pays démocratiques, juste 5 minutes après l'annonce des résultats, les responsables font leurs déclarations à propos du résultat, dans nôtre pays 48h après. Donc nous les 92% nous devrions endurés pour voir la lumière et devrons souffrir en silence. QUE DIEU NOUS PROT'?GE.
Adli Mahmoud Mansour est président de la Haute Cour constitutionnelle de la République arabe d'?gypte depuis 2013. Il était vice-président de la Cour depuis 1992. Après le coup d'?tat militaire de 2013 contre le président élu Mohammed Mursi, il a été le président intérimaire du pays jusqu'au 7 juin 2014.
Il a servi de figure de proue à El3askar et Soudain, le ministre de la défense Essissi a fait son apparition en tant que "président" de l'Egypte !
Tbarkallah 3lè BenouiHilél d´Egypte et de Tunisie, ils ont la trahison dans les gènes !
Que pensent et disent les représentations diplomatiques étrangères en Tunisie ?
L'empereur crut les escrocs et fut enthousiasmé par l'idée. Il leur donna beaucoup d'argent et ils commencèrent à confectionner les robes. Ils installèrent deux métiers à tisser et firent semblant de travailler. En réalité, ils ne faisaient rien du tout.
L'empereur voulut tester l'effet des vêtements. Il envoya un ministre honnête chez les escrocs. Les escrocs racontèrent au ministre à quel point les vêtements étaient déjà géniaux. Ils montrèrent en l'air et expliquèrent les motifs sur le tissu. Le ministre ne pouvait évidemment rien voir, car les escrocs n'avaient rien cousu. Mais il garda cela pour lui. Car sinon, tout le monde saurait qu'il était stupide. Le ministre fit l'éloge des vêtements des escrocs et fit part à l'empereur de leur excellent travail.
Les escrocs ne demandèrent jamais plus d'argent et empochèrent tout. Il en fut de même pour tous les autres hommes que l'empereur envoya chez les escrocs. Lui-même ne pouvait pas voir les vêtements, mais il était trop fier pour l'avouer.
C'est ainsi que l'empereur voulut porter ses nouveaux vêtements lors d'un grand défilé. Il se débarrassa de tous ses vêtements et se fit aider par les escrocs pour enfiler ses nouveaux habits. Il se tourna devant le miroir et tout le monde fut ravi.
C'est ainsi que l'empereur se présenta finalement devant son peuple. Tous savaient à quel point les vêtements étaient spéciaux. C'est pourquoi personne n'osait dire qu'ils ne pouvaient pas voir les vêtements.
Seule une petite fille s'exclama soudain "Mais il n'a rien sur lui !". Et là, tout à coup, tout le monde commença à s'étonner. Et bientôt, tout le peuple se joignit à eux. La lumière se fit alors sur l'empereur et il comprit que les gens avaient raison. Malgré tout, il décida de tenir bon pendant tout le défilé, même sans ses nouveaux vêtements !
Et bien sûr, Kaisollah a nommé un pilote à la tête du ministère de l'agriculture pour que le secteur décolle. Rien n'est plus étonnant dans ce pays qui est dirigé à coups de jeux de mots foireux. Kaisollah doit absolument rendre son tablier. Les jeux sont fait et chaque jour qu'il passe à Carthage ne fera qu'augmenter la gronde populaire contre lui. Qu'il décolle et qu'il dégage, bien loin de la Tunisie.
L'écrasante majorité qui ont voté pour toi on compris que tu es un DAJEL, un MANIAQUE, un MENTEUR "ndhif" ; un "dhif" ne traficotte pas la Constititution, le code électoral et la justice aux ordres d'une seule personne.
Un "ndhif" ne triche pas et FALSIFIE les élections qui passent de 2% (taux réel des gens qui se sont déplacés selon tous les observateurs) de votants à 11 %., sans compté les "votes blancs")
Un "ndhif" pense à l'intérêt SUPREME du pays avant le sien.
Un "ndhif" ne met pas en place un article par décret (le 54) pour mettre les gens en prison s'ils ne sont pas d'accord avec lui.
Un "ndhif" ne laisse pas sa famille et se proches commencer à être des PREDATEURS (discrets) dans le pays avec l'affairisme.
Un "ndhif" ne laisse pas un peuple sans ressources, avec des produits de bases rares et une économie qui prend l'eau, après 10 ans de catastrophe islamiste.
Un "ndhif" dit la vérité aux gens : il dit "je ne peux pas vous apporter plus que ça, je n'ai pas de bâton magique, alors je laisse ma place à d'autres et je reste à votre service/écoute" ; c'est ça un "ndhif".
Tu es un DAJEL, pas un "ndhif" ; la MOUTARDE POUVOIR t'es sorti par les oreilles et le nez, ça se voit dès qu'on te voit.
Attention Kaies Saied! Ne joue pas avec le Diable ; tu n'es pas dans un TD à la fac pour assistant ; tu es au POUVOIR, dans la Politique et en politique au Pouvoir si on échoue et qu'on n'assume pas les conséquences...ça peut très...très...très mal tourner.
Kais Said n'était pas candidat aux législatives. En quoi donc était-il désavoué ?
Kais Said est président de la République tunisienne jusqu'à 2027, et peut être même 2032.
En réalité, les législatives n'ont jamais intéressé les tunisiens, voici les chiffres:
- législature constituante 2011
51%
- législatives 2014:
41%
Législatives 2019:
31%
-législatives 2023:
11%
Pourquoi ce désintéressement du tunisien aux législatives ?
Je suis incapable de répondre. Il faut des socialistes pour décortiquer cette tendance. Cependant, je suis convaincu que les députés clochards du Parlement de Ghannouchi ont laissé une image dégoûtante du Parlement dans l'esprit du tunisien.
Le Président a réussi sa feuille de route. Les Institutions de l'Etat sont maintenant là, alors, au travail.
Khouanjia, Zéro virgule et médias de pollution, arrêtez vos aboiements. Laissez la Tunisie continuer sa renaissance.
Je termine par une remarque:
Ceux qui aspirent prendre la place de Kais Said, devraient attendre la fin du premier mandat le 25 juillet 2027, et si le président est reconduit pour un deuxième mandat, les concurrents doivent alors attendre le 25 juillet 2032.
Alors les mecs, vous avez le temps de vous faire oublier, et de vous faire une nouvelle virginité car, aujourd'hui, vous êtes cuits aux yeux de la majorité des tunisiens.
Mr Saeed n'a aucun droit de diriger la Tunisie selon la constitution de 2022 qui lui donne des pouvoir exorbitants pour qui personne n'a jamais voté.
Dans n'importe quel pays normal, une nouvelle constitution = nouvelles élections.
Soit vous êtes malhonnête, soit vous etes idiot.
Dans quelques jours Mr Saeed, comme Mr Ghannouchi, ne pourra plus mettre les pieds dehors sans 10000 policiers pour le défendre contre le peuple.
Ca y est , il est devenu taré. Qu'il dirige la Tunisie contre son peuple alors.
IL lui a fallut moins de 2 ans pour finir comme Ben Ali.
PArcequ'il était chargé de TD à la fac ?
Il a violé ma voix
Il est encore temps que tu dégages.
je sais, je sais ya kaies saied ; tu as goûté au Pouvoir, cette chose qui rend fou (encore plus si on est déjà fou avant) et tu ne veux plus quitter ; ta vie est un rêve éveillé. Tu t'es habitué à ton "train train" quotidien de gardes du corps, table bien servie avec des langoustes, serviteurs en veux tu en voilà, une armée de béni oui oui qui baissent leur tête, et surtout ta famille et tes proches qui sont entré de plain pied dans les affaires louches.
Tu as été élu en 2019 pas pour confisuqer le Pouvoir, pas pour confisquer la Tunisie, mais pour respecter la constitution en vigueur (même si elle est celle des khwenjias klebs) et de faire quelques réformes PRAGMATIQUES pour améliorer le sort du pays.
Npn. Tu as profité des salopards d'Enahfha, ton alibi et tu as compris aussi que Abir Moussi allait être au pouvoir pour réparer sérieusement le pays...alors tu en as profité.
Maintenant, ton bilan est CATASTROPHIQUE.
Tu "limoges" par ci, tu limoges par là, mais ça changera RIEN.
Le Peuple, qui t'a mis au pouvoir après tes promesses populistes, a compris qu'il s'est encore une fois fait avoir par un autre connard.
Alors, si tu as un GRAMME d'ERJOULIA, DEGAGE.
Sinon...tu sais comment ça fini quand le peuple explose, n'est ce pas?
Réflechis, s'il te reste encore un peu de jugeote. Le temps presse. La Tunisie ne peut plus attendre ton départ.