
Le président de la République, Kaïs Saïed, s’est entretenu, samedi 26 novembre 2022, avec la cheffe du gouvernement, Najla Bouden et la ministre de la Justice, Laïla Jaffel.
La réunion, précise un communiqué de Carthage, a abordé un certain nombre de dossiers, en particulier les recherches en cours liées à la tragédie de Zarzis où un naufrage d’une embarcation clandestine a coûté la vie à 18 migrants. Le chef de l’Etat a souligné la nécessité de parvenir à dévoiler toute la vérité, surtout après le renforcement de l'équipe chargée de l’enquête au niveau central et dans le gouvernorat de Médenine.
Kaïs Saïed a également insisté sur la nécessité de respecter la loi et le devoir de réserve, surtout de la part de ceux qui sont chargés de son application.
M.B.Z

Il était entouré de 16 gardes du corps...alors que Emanuel Macro n'en avait que 5 et Justin Trudeau n'en avait que 5...
De profil, tu saisies toute la maladie d'un homme.
Plus que de peur, j'ai eu pitié pour lui ; mais qu'est ce qu'il fout à ce poste bordel!
Enfin, je dois avouer une chose ; tout le protocole, la sécurité et le manège fait autour de lui lui fait croire qu'il est un Nabi, un Saint, un Prophète et là, là tu comprends que le pouvoir est une maladie.
Bref, sur ce que j'ai vu et compris, ce type ne quittera JAMAIS le Pouvoir.
Le pays est dirigé par des malades depuis 2011. C'est tellement navrant.
Et pourtant cela vous le savez et vous osez dévier les vérités. C'est incroyable co?e vous êtes chauvins les...
Vous espérez quoi ? Votre sale nahdha ne pour'?a jamais revenir au pouvoir donc rincez ? Madhmdhou. '?amaltou el âar.
Zezzi ili khthitou âachra seine. Ma chbâatouch yakhi.
Est-il responsable des faits ayant conduit à des manifestations de colère ?
L'Etat tunisien peut être tenu pour responsable de tout ce qui a lieu en ce pays. Mais, pas les citoyens, parce qu'ici on veut laisser croire à l'irresponsabilité collective, pour mieux croire encore en le pouvoir d'un seul.
Dieu est Un.
Le Prophète est Un.
Le Président est à leur image, doué de pouvoir sans bornes, omniscient, et présent à tous et partout.
Il y a, sans doute, des responsables. Responsabilité en chaîne, de celui qui veut forcer le destin à braver les dangers, ses proches informés ou non, solidaires de ses rêves aux passeurs et trafiquants jusqu'au flic du coin qui savait et n'en voulait rien voir.
Des morts, des deuils et des colères, voilà le résultat.
C'est ce qui convenu, depuis un certain temps, c'est de rendre Kais Saied haïssable en fixant sur sa personne toutes les récriminations, ce qui implique une croyance en un démiurge qui d'un coup, d'un seul, réglerait tous les problèmes des tunisiens qui se sont offerts aux barbus sans retenue, les ont laissés, même accompagnés pour ne pas dire aidés dans l'opération de destruction du pays.
Et, l'ouvrage attend d'être parachevé, si l'on en croit toutes les manifestations de hargne qui les épargnent faisant d'eux des anges injustement déchus.
Si les gens de Zarzis et d'ailleurs ont le projet de se sortir de leurs difficultés, ils n'ont qu'une seule voie, y travailler ensemble.
Chacun tire à hue et à dia, les yeux fixés sur l'autre, ennemi à circonvenir, coupable désigné d'avance d'être là, et cela suffit à lui en faire le procès.
Depuis 2011, chaque chef de gouvernement est d'abord l'objet de soutien massif, d'adiration, et aussi vite devenait le mauvais objet sur qui rejeter toutes nos déceptions, nos phobies, nos haines.
Kais Saied est à l'image de son peuple, un homme modeste, ordinaire, sans talent particulier.
Il ne mérite pas cet excès de verbiage et de grossièretés qui parlent davantage de leurs auteurs.
Dix ans de malheur, et un homme est élu.
Presque tout ce qui compte de personnages fortunes, de petits bourgeois friqués et les chefs, les vrais, ceux qui en ont du fric, ne veulent pas voir cesser les rapines.iks sont les alliés, comme de coutume, du pouvoir, quel que soit celui qui le tient ou l'incarne.
Mais, ils préfèrent ceux qui leur laissent le champ libre, ou font de leur programme le projet du pays.
Avec un homme quasiment pietuste, qui visiblement ne pactise pas avec les puissants, ce qui veut dire ne leur obéit pas, le compromis paraît difficile.
Alors, on joue la carte du sabotage, on diffuse de l'intox, on organise des opérations pour bloquer, manipuler, et on crie à la dictature.
C'est incroyable le nombre de gens qui ne voyaient rien venir du péril islamiste, démocrates pur jus comme chacun sait, et qui ont mené leurs affaires en toute quiétude. Parce qu'en ce temps-là, c'était à celui qui pouvait en amasser le plus.
Même les richissimes, ex-Rcd, ennemis d'hier, dont devenus les meilleurs compagnons des islamistes et ont excellé dans cet art.
Parce que les réunit l'amour du pouvoir.
Parce que seul le lucre leur importe, et les tient ensemble.
Il ne s'agit pas de psychologie.
Des forces agissent, se cialisent, se combattent, zu sein du champ social, économique, cet il en résulte un état donné de la situation qui se traduit par un pouvoir étatique incarné, bien sûr, par des hommes.
Mais, c'est vrai lorsqu'un homme agit, il est responsable de ses actions. Attendu qu'il en connaisse les motifs, et qu'il en puisse comprendre les significations.
Mais un homme n'agit jamais seul, il est agi et ce faisant, il est aussi impliqué dans des relations. Dans un contexte.
D'où l'on peut tenir que ce Président honni de certains ne peut être regardé comme l'incarnation de leurs déceptions, ni la cause de leurs malheurs.
Cette projection est classique.
https://tinyurl.com/y8jw339e
Kaisollah souffre de troubles de personnalité inutile d'essayer de lui trouver des excuses tirées par les cheveux. Plus personne ne croit à ce genre de commentaires, ni aux promesses foireuses de Kaisollah. Game over.
Ils sont nombreux, qui sont comme toi ase livrer à cet exercice.
Qui blablate ?
C'est le chameau.
Le chameau blatère; le dromadaire bosse, parfois doublement et mézigue, souvent déblatère.
Tel l'enfant, vous croyez marquer un pont.
C'est cela la grandeur.
Vue du côté.....
Et les tbandir, pour parler ton volapuk, ce n'est pas dans les habitudes.
Va jouer avec d'autres.
Avec moi, il faut argumenter.
C'est la différence.
Et puis, que je sache c'est toi qui juge les autres, petit monsieur.
Alors, tu te calmes.
What is in it for you Houcy?
Est-ce que les passeurs sont réprimandes et jugés d'abord, et ce n'est pas seulement les premiers, depuis 2011, à percevoir des commissions pécuniaires pour aider les migrants de s'enrichir.
Or, cette manigance a été indirectement autorisée durant les dix ans du massacre causé par nahdha en Tunisie en tous les domaines, puisque ces irrégularités permettent, de même, à cette mafieuse nahfha de s'enrichir, e5 dont plusieurs sont originaires de Zarzis dont leur local (ou siège) se trouve dans cette localité, fief des trafiquants qui ont sali les gens biens de cette ville qui existent tout de même mais qui, étonnement, ne réagissent pas, ou peu, face aux comportements de ces malfrats.
Mais comme dit le proverbe, "mieux vaut tard que jamais".
J'ai vraiment mal à ma Tunisie.
Et aux deux anges de Kaisollah, je dédie cette chanson: Charlie's angles par Destiny's child
https://tinyurl.com/36hrxcpb
Profitez en, rien n'est éternel et la chute risque d'être très douleureuse.
Réveillez-vous !
Honnêtement, je ne trouve pas ça très normal, mais chacun et chacune est libre de s'exprimer comme elle veux.
La tragédie de Zarzis n'est qu'un minuscule fait parmi des milliers de crimes contre notre Peuple.
Et une rencontre avec le ministre des sports c'est prévu pour quand ?
Le Président Said reçoit ses ministres, il ne les convoque pas.
Le président à sa ministre : "Madame aurait-elle l'extrême obligeance de nous honorer de sa présence pour affaire la concernant, à la date qui convient à Madame bien entendu".
Foin d'hypocrisie ! Foin d'euphemisme et de circonlonlocution !
Le président convoque. Les ministres accourent.
Dans un pays voisin à régime présidentiel toutes les semaines se tient un conseil des ministres sous l'autorité du chef de l'Etat durant lequel sont évoqués tous les sujets d'actualité, département par département. Les dossiers sont mis sur la table. Le président fait part de ses directives et tout le monde travaille ensemble, en équipe et chacun sait qui fait quoi. On ne "convoque" les ministres un par un à la queue leu leu, chacun travaillant dans son coin.
Pour revenir à Zarzis, le président ne semble pas trop s'encombrer de votre avis exprimé dans ces colonnes sous l'article relatif à la manifestation des habitants de la ville réprimée par les forces de l'ordre. Je vous rappelle que vous appeliez à ni plus ni moins que passer par le fil de l'épée les protestataires, les parents des disparus en premier. Il n'y avait pas eu suffisamment de morts comme ça.
Vous devriez souffler votre lumineuse idée au président. Vous aurez en lui une oreille attentive. A n'en point douter.
Liquidez-moi ces va-nus-pieds et qu'on n'en parle plus.
C'est si simple pardi.
Nul besoin de rappeler aux collaborateurs de BN qu'ils furent convoqués par la criminelle. Pour quel motif ?
Je vous prie ?