Douze années de prison. C’est la sentence qui a été prononcée aujourd’hui contre le candidat à la présidentielle Ayachi Zammel. Le concurrent de Kaïs Saïed vient aussi d’être interdit de vote. L’acharnement que le pouvoir emploie contre le candidat numéro 1 est difficile à justifier et à comprendre.
Depuis qu’il a été propulsé dans la liste très select du trio présidentiable, il est rapidement passé de persona ignota à persona non grata. Lui, dont le public ignorait presque tout il y a quelques semaines, est rapidement devenu l’ennemi à abattre. Après avoir échappé à la malédiction des prisonniers politiques et des candidatures invalidées par l’Isie, il s’est fait accuser de falsification de parrainages. En quelques semaines, il a eu le temps de se familiariser avec les tribunaux, les juges et les avocats. Il a été trimballé de tribunal en tribunal et parcouru le pays dans le but de s’expliquer sur les raisons qui font que certains citoyens l’accusent d’avoir falsifié leurs parrainages.
Si cet acharnement aura permis, aux yeux de certains, de rendre Ayachi Zammel, plus sympathique et plus présidentiable, cet élan de solidarité ne lui servira sans doute à rien. Il est plus seul que jamais. Il est non seulement derrière les barreaux pour un bon bout de temps, mais les règles du jeu ont été modifiées exprès afin de barrer la route à toute possibilité de recours.
Il s’agit évidemment d’une condamnation faite en première instance, qui pourrait (éventuellement) être allégée en appel, mais à peine quelques jours de la présidentielle, les jeux sont déjà faits et plus aucun doute (espoir) n’est permis.
Si la présidentielle est prévue dimanche, dans les rues, rien ne présage d’une quelconque campagne électorale. Aussi inutile soit-elle. Point de slogans, de programmes, de flyers multicolores distribués dans les boites aux lettres, hormis quelques exceptions isolées. Les élections locales de l’année dernière, aux enjeux moins importants pour le pays, avaient pourtant plus de panache. L’intérêt pour les élections a quitté le navire en même temps que la pluralité et la confiance en un scrutin libre et démocratique.
En attendant, les Tunisiens continuent de vivre le plus normalement du monde. Ils triment, tous les jours, dans les transports, qu’ils soient employés de bureau, travailleurs agricoles…ou migrants clandestins. Certains d’entre eux continuent même de mourir en prenant le large.
A Djerba, hier matin, une embarcation transportant une soixantaine de migrants clandestins a fait naufrage. Quinze victimes pour l’instant, dont des enfants. Il est toujours très choquant de repêcher les cadavres de jeunes enfants dont la vie n’a presque pas encore commencé. Des enfants emmenés par les parents dans l’espoir de leur offrir un avenir meilleur. Un avenir auquel eux n’avaient pas eu droit. Que fuyaient-ils ? Que cherchaient-ils à atteindre ? Quels espoirs avaient-ils d’atteindre leur eldorado ?
Un véritable drame national qui renseigne sur le désespoir que vivent certains Tunisiens dont le seul espoir demeure loin de leur pays. Face à ce drame, le pouvoir reste hermétique à la souffrance humaine et aux raisons ayant engendré et nourri ce désespoir au fil des années. Face à la solitude de ces citoyens, préférant mourir que de rester, lui préfère continuer d’accuser au lieu de se remettre en question. Point de condoléances aux familles endeuillées, mais des suspicions, des accusations de complot et une approche toujours aussi sécuritaire.
Face au désarroi et à l’incompréhension, le président ne présente pas de condoléances aux familles, mais convoque son ministre de l’Intérieur pour parler d’« incident étrange », d’ « appartements meublés » et de forces sécuritaires qui œuvrent à éradiquer la délinquance. Encore une fois, le pouvoir n’a rien compris.
Jamais une campagne électorale n’aura été aussi triste… Paix aux âmes des victimes…et aux urnes citoyens !
Autant le dire tout haut , le President n'a rien compris.
Pendant que l' on condamne de manière révoltante et inique un jeune leader brillant et prometteur à 12 ans de prison dans le cadre d'un déni de justice sordide...... Le pays coule de toute part:
l'administration est bloquée, les services publics de base s'effondrent : éducation, santé, transport, sécurité, justice....
L'économie est asphyxiée par l'encours de la dette publique, les investissements se réduisent comme peau de chagrin
les dépenses publiques de base sont inexistantes et les véritables indicateurs macroéconomiques sont systématiquement faussés : le taux d'inflation réel, le pouvoir d'achat des ménages et le taux de chômage sont par exemple bidouillés de manière obscène
la corruption et le népotisme du régime se développent à une vitesse fulgurante, les complicités de l'Etat profond au niveau du trafic de stupéfiants de migrants de l'économie informelle reprennent de plus belle sans que le président agisse, alors qu'il sait parfaitement quelles composantes de cet état profond sont à la man'?uvre dans la propagation du crime organisé.
Nos ennemis de l'extérieur observent avec satisfaction la destruction du pays par ce régime fasciste et clownesque à la fois : un pays arabe de plus en cours d'anéantissement.
Oubliez les élections, il vous l'a déjà annoncé, le plus important c'est respecter le calendrier. le climat démocratique, tout ça, c'est un discours de "traitres". Il est incurable, focalisé sur son pouvoir, sans se soucier du pays.
Pauvre Zammel, énième victime de ce pouvoir ***
L ombre du désert'?'
Synopsis :
En 2024, la Tunisie est en proie à une crise politique sans précédent. Le président en place est confronté à une opposition croissante de la part de factions militaires et politiques . Au c'?ur de cette tourmente, un groupe de personnages principaux se retrouve impliqué dans un complot visant à renverser le gouvernement.
Personnages principaux :
Colonel Karim Ben Youssef - Un officier de l'armée tunisienne, loyal au président, mais tiraillé entre son devoir et les pressions de ses supérieurs corrompus.
Leïla Haddad - Une journaliste d'investigation déterminée à révéler la vérité sur les man'?uvres politiques et militaires en cours.
Amir Al-Mansouri - Un ancien agent des services secrets tunisiens, maintenant mercenaire, recruté par une faction rebelle pour orchestrer le coup d'?tat.
Sophie Dubois - Une analyste de la DGSE (services de renseignement français), envoyée en Tunisie pour surveiller la situation et protéger les intérêts français.
Hassan Bouazizi - Un jeune activiste et hacker, utilisant ses compétences pour soutenir le mouvement de résistance .
Intrigue :
Alors que les tensions montent, des rumeurs de coup d'?tat se propagent. Le président reçoit des informations sur un complot imminent, mais ne sait pas en qui il peut avoir confiance. Le colonel Ben Youssef, fidèle au président, découvre que certains de ses supérieurs sont impliqués dans le complot. Il doit naviguer entre loyauté et trahison pour protéger le président.
Leïla Haddad, en quête de vérité, découvre des preuves accablantes de la corruption au sein du gouvernement et de l'armée. Ses investigations la mettent en danger, mais elle est déterminée à exposer la conspiration.
Amir Al-Mansouri, recruté par les rebelles, planifie minutieusement le coup d'?tat. Cependant, il commence à douter de ses alliés et de leurs véritables intentions.
Sophie Dubois, en mission pour la DGSE, doit évaluer la situation et décider si la France doit intervenir. Elle forme une alliance improbable avec Leïla et Ben Youssef pour contrer le coup d'?tat.
Hassan Bouazizi, utilisant ses talents de hacker, aide au renversement du regime couvre des informations cruciales sur les plans des rebelles et aide à coordonner le complot
Cette intrigue pourrait comporter environ cinq personnages principaux, chacun ayant un rôle crucial dans le déroulement de l'histoire .
Pour qu Amir Al-Mansouri réussisse son coup d'?tat, il aurait besoin d'une force bien organisée et suffisamment nombreuse pour prendre le contrôle des points stratégiques du pays. Voici une estimation et un plan possible :
Nombre d'hommes nécessaires :
Forces principales : Environ 500 à 1 000 soldats bien entraînés pour prendre le contrôle des principales installations gouvernementales, militaires et des médias.
Unités spéciales : Une équipe de 50 à 100 commandos pour des missions spécifiques comme la capture de hauts responsables et la sécurisation des infrastructures critiques.
Support logistique : Environ 200 à 300 personnes pour gérer la logistique, les communications et le soutien médical.
Plan d'action :
Infiltration et préparation :
Recrutement : Amir recrute des soldats mécontents et des mercenaires expérimentés.
Renseignements : Utilisation des compétences de hacking de Hassan Bouazizi pour obtenir des informations sur les mouvements des forces loyales au président.
Coordination : Sophie Dubois, en tant qu'analyste de la DGSE, pourrait fournir des renseignements cruciaux sur les forces en présence et les points faibles.
Phase initiale :
Attaque simultanée : Les forces principales attaquent simultanément les principales installations gouvernementales et militaires pour créer la confusion et paralyser la réponse des forces loyales.
Capture des médias : Prendre le contrôle des stations de télévision et de radio pour diffuser des messages de propagande et contrôler l'information.
Neutralisation des opposants :
Cibles prioritaires : Les unités spéciales capturent ou neutralisent les hauts responsables gouvernementaux et militaires loyaux au président.
Sécurisation des infrastructures : Les commandos sécurisent les infrastructures critiques comme les centrales électriques et les réseaux de communication.
Consolidation du pouvoir :
Déclaration publique : Amir Al-Mansouri fait une déclaration publique pour annoncer la prise de pouvoir et justifier le coup d'?tat.
Maintien de l'ordre : Les forces principales patrouillent dans les rues pour maintenir l'ordre et prévenir toute tentative de contre-attaque.
Stabilisation :
Négociations : Amir entame des négociations avec les factions politiques et militaires restantes pour consolider son pouvoir.
Réformes : Mise en place de réformes pour gagner le soutien de la population et des acteurs internationaux
Autrefois citée en exemple dans le monde arabe
IL N'Y AURA AUCUN RETOUR EN ARRIERE, LES FILLES !!!
Il faut que vous vous mettiez definitivement cela dans vos boites de conserves crâniennes.