Le procès de l’avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani, a eu lieu, vendredi 5 juillet 2024. Elle comparaissait dans l’une des cinq affaires la visant et celle-ci concernait sa déclaration sur l’immigration irrégulière et son commentaire sarcastique “Heyla leblad”.
Des membres de la famille de Sonia Dahmani confirment, samedi 6 juillet 2024, qu’elle a été condamnée à un an de prison ferme. Elle avait été traduite conformément aux dispositions de l'article 24 du décret 54.
Pour rappel, les forces de l’ordre ont pris d’assaut, le 11 mai 2024, les locaux de la Maison de l'avocat de Tunis où s’était réfugiée l'avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani après avoir fait l'objet d'un mandat d'amener. Les policiers se sont introduits à l’intérieur des locaux de l’Ordre des avocats afin d’embarquer Sonia Dahmani.
I.L
Bessif ethebouha heyla
Rien que voir l'anarchie partout! Les poubelles non ramassé, l'eau qui n'arrive pas après 22h,.......
Un avocat n'a pas le droit de donner son avis
Imaginez que un jour KS décide de quitter la vie politique et ils monte un dossier pour sa femme ou ses enfants, allez vous être avec ou contre?
Moi absolument contre peu importe le futur régime! L'injustice est toléré que par el moutama3chine! Jamais par les personnes libres!
- Benito Mussolini -
'?'
- Benito Mussolini -
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On peut ne pas être d'accord pour ses chroniques ou déclarations et il y a pour cela des règles mais de là à l'enfermer pour si peu ?
Même Ben Ali n'aurait pas osé !
Ecrit par A4 - Tunis, le 30 Septembre 2013
Quand soudain tourne le vent
Les canards sauvages s'envolent
Volent en vé le chef devant
En priant le dieu Eole
D'être avec les survivants
Après cette course folle
Contre marée, contre vent
Contre mer et ses atolls
Ils ne peuvent même en bavant
L'?il rivé sur la boussole
Que traîner le fainéant
Dont les ailes sont un peu molles
Qui plane péniblement
En pitoyable guignol
Quand soudain c'est la tempête
Nuages bas, sans lumière
Sans vol plané des mouettes
Où tous les chants doivent se taire
Quand se cachent même les roussettes
En remontant l'estuaire
Tous les vers et anguillettes
Filent à l'intérieur des terres
Quand cette foule inquiète
Fuit le déluge, sa galère
Elle se bloque à la goulette
Face aux gros maquereaux qui errent
Ne pensant qu'à faire la fête
Dans le lit de la rivière
Quand sonne l'heure du voyage
Et qu'il faut tout emporter
Faire très vite tous ses bagages
Prendre ses antiquités
Préparer un attelage
De quatre bêtes bien montées
Avec rênes et cordages
Pour grande vélocité
N'oubliez pas cet adage
Qui dit en toute clarté:
"On a beau crier de rage
Frapper fort et fouetter
C'est la bête sans courage
Qui impose ses ratés !"
Quand soudain sans crier gare
Nous vint la "révolution"
On s'est dit en vieux ringard
Elle est là la solution
Oubliant que c'est un art
Qui demande formation
Et que jamais les ignares
Ne pratiquent l'évolution
Regardons dans le miroir
Perdons vite nos illusions
Ce n'est pas avec ces tares
Qu'on franchit le Rubicon
En pataugeant dans le noir
A la vitesse des plus cons !!!
dit à la Tunisienne: je kiffe en vous lisant!
1 an de prison pour s'exprimer........!
C ' etait sa derniere declaration a la tele .
Liberte pour Sonia Dahmani .
L'époque anarchique post-2011 est révolue.
Il y a des règles et il faut, désormais, les respecter
La fin de la récré a été sifflée depuis le 25 juillet béni
Mieux vaut rester maitre des paroles que l'on n'a pas encore prononcées, que de devenir esclave de celles qu'on a dites !!!!