Tout est à rebâtir, tout est à reconstruire, tout est à remodeler, tout est à restructurer, en bref, tout est à refaire.

La bougnoulisation de la place, instaurée par les grouda de la maudite terka a atteint son paroxysme
Ce n'est que la partie immergée de l'iceberg. Le pire reste à venir.
L'éjection en masse des incompétents, de la racaille et des faux diplômes embauchés durant la période des khriji et du Marzoukiki, va logiquement générer une petite période de grâce, à l'ordre et la discipline régnant au sein de nos institutions.
Ca permettra aux autorités de voir un peu plus clair dans la mélasse héritée des gardiens d'étables et d'écuries.
Il y a trop d'incompétents et de glandeurs au sein de ces dernières.
Même si on divisait par deux, les effectifs de la municipalité, de la STEG, de la SONEDE, de la SNCFT, de la CTN, de Tunisair, de la STAM et de bien d'autres administrations, il y aura encore un sureffectif.
Ce qu'il manque vraiment à ces boites, c'est la compétence, le savoir-faire, l'honnêteté et l'éradication de la fainéantise et de l'absentéisme chronique.
Il faudrait équiper tous les véhicules (toute la flotte, BUS, voitures, engins de chantier, etc..) de l'administration de tracker GPS et d'un enregistreur numérique du matricule du conducteur. Les données (parcours et identité du conducteur) devront être conservées une année au minimum.
La moindre tentative de débranchement activera une alarme au sein d'une entité de l'Etat qui dépendra uniquement du premier ministre.

Quant aux glandeurs pullulant au sein de toutes ces institutions, fraudeurs inclus, le renvoi définitif sera appliqué systématiquement dès la première faute.
Commençons déjà par cela.
Un audit sera entrepris, six mois après l'application de ce dispositif.
Plus aucune pitié envers tous les salopards qui contribuèrent au sabordage de la NATION.

Sonede, Steg, des sociétés nationales, elles fonctionnent exactement comme fonctionne l'Etat dont elles dépendent, mal, très mal et si un jour ce pseudo Etat dégage complètement, à l'issue de véritables élections présidentielles et législatives, ce que nous souhaitons vivement, ces deux sociétés nationales, quasi mafieuses, suivront logiquement et passeront aux mains d'investisseurs privés exclusivement tunisiens. N'en déplaise à KS et à l'UGTT, lesquels tracent une ligne rouge quant à la privatisation des sociétés nationales, le premier sur la base abscons de " souveraineté", la seconde pour sa crainte de voir, en cas de privatisation, le nombre de ses adhérents chuter, sachant que le nombre important des syndiqués UGTT de la fonction publique constitue pour la centrale syndicale un important levier de pression sur l'Etat... Dans ce sens, l'état délabré de la SNCFT, de Tunisair, de la CPG...également des sociétés nationales délabrées et qui coutent aux contribuable plus qu'elles ne lui profitent, sont dans la même figure que la Sonede et la Steg.
Mais alors, quid de la nécessité urgente pour l'Etat d'établir un système de concurrence sain entre les entreprises tunisiennes et ce en privatisant les sociétés nationales bancales, à condition que ce même Etat joue son rôle de contrôle permanent, financier, de productivité, de création d'emplois justifiée, pleinement... C'est d'ailleurs l'un des " conseils" du FMI délivrés à KS.
KS, dans sa furie oratoire et son inculture financière et économique évidente, dans sa volonté de maintenir les sociétés nationales dans le giron mité de son Etat fantôme, rappelle à certains égards les stratégies économiques, industrielles de l'Etat soviétique...sans les résultats observés. Pourtant KS n'est pas communiste à ce que l'on sache, il serait juste, selon certains, un dictateur totalitaire et peu ou prou un islamiste...

Mais normal...