Le ministère de l’Industrie vient de publier, sur sa page Facebook, un communiqué de la la Société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg), annonçant la reprise, à 99%, du fonctionnement du système électrique après le black-out de quelques heures, qui a plongé hier plusieurs régions du pays dans le noir.
La Steg a précisé que la coupure survenue dans la nuit de mardi à mercredi, de 1 heure jusqu’à 5 heures du matin est le résultat d’une panne technique et qu’aucune « explosion » n’a eu lieu au niveau des centrales électriques.
On rappellera que la Tunisie n’a pas de ministre de l’Industrie depuis le limogeage de Neïla Gongi, le 4 mai dernier. C’est le ministre de l’Intérieur, Kamel Feki, qui s’est d’ailleurs déplacé à la centrale de Radès dans la nuit au moment de la panne.
On notera qu’à l’heure de l’écriture de ces lignes, plusieurs quartiers de la capitale et certaines régions du pays restent sans électricité. Le directeur de la Steg Mounir Ghabry a souligné, dans une déclaration donnée à Jihen Miled, dans l’émission Sbeh Enness sur Mosaïque FM, que les agents de la société œuvrent à régler le problème.
M.B.Z
Les pleurnichards ne s'alarment pas sur la coupure du courant, ils veulent seulement exprimer leur haine envers un Président et un Gouvernement, qui avancent, certes lentement, mais sûrement, pour sauver le pays des Faiseurs du Mal.
De mon expérience personnelle, j'étais au Canada l'hiver dernier. Nous avons vécu trois jours successifs de coupure de courant, en plein froid hivernal. Les gens ont pris cela avec le sourire, et ils se sont débrouillés comme ils peuvent pour se réchauffer.
Prenez de la hauteur et arrêtez votre cirque pleurnichards. On n'arrête pas la Tunisie avec des têtes de malheur comme les votre.
On ne peut pas "appuyer sur un bouton" et tout redémarrer d'un coup. La surcharge au rétablissement du courant serait telle que ça pèterait immédiatement ailleurs.