
Le secrétaire général adjoint de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Hfaiedh Hfaiedh a indiqué, mercredi 1er février 2023, dans une déclaration à l’agence Tap, que l’UGTT a décidé de tenir une commission administrative nationale vendredi 3 février 2023, pour examiner les derniers développements de la situation syndicale.
Hfaiedh Hfaiedh précise que la réunion sera consacrée à l'étude des réponses face aux atteintes visant l'organisation syndicale, mais qu’elle portera aussi pour examiner les libertés générales et le droit syndical notamment après l'arrestation du secrétaire général du syndicat de la société Tunisie Autoroutes, Anis Kaabi. Le responsable syndical considère, en effet, que l'arrestation du secrétaire général du syndicat de Tunisie Autoroutes s'inscrit dans le cadre de la poursuite des atteintes aux libertés générales et au droit syndical.
Rappelons que les agents des péages de Tunisie Autoroutes observent une grève de trois jours sur l’ensemble du territoire tunisien à compter de dimanche 12 février 2023. Des sit-in de protestation seraient, également, organisés avant la grève.
S.H
Alors c'est quoi la grève?
ROBOCOP vous attend au premier tournant!
Ils ont détruit le pays par les grèves sauvages, les blocages de travail, les arrêts de production surtout le Phosphate et le pétrole
Ils ong mis à genoux CPG et GCT par la créations des sociétés de jardinage qui distribuent de l argent à des grns sui ne travaillent pas
Ils ont terrorisés nos enfants scolarisés en primaire et secondaire par des grèves absurdes répétitives
Ils savent que les caisses de etat sont vide et ils osen exiger des augmentations
Le comble est arrivé en s'insimisant dans les affaires de l' état et prendre les prérogatives de l'executif pour changer le régime et les institutions de l état
Cette bande estiment qu ils sont au dessus de la loi avec ll'atteinte à la sûreté de l'état
Le président Kaïs Saïed, s'y connaît très bien avec les escroqueries de l'UGTT. Il va lui signer des décrets pour l'annuler définitivement de sur la scène politique de la Tunisie.
Le miracle divin, c'est que tous ceux qui ont creusé sous les pieds de ceux d'Ennahdha, sont payés cash, non pas par Rached Ghannouchi, mais par le président Kaïs Saïed en personne.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Vous voulez une levée subite des subventions et fermer votre gueule sans pouvoir contester quoi que ce soit
L'état d'urgence n'a pas à être instauré...regardez ce qui se passe sur le côté économique cela vaudrait mieux ...car nous sommes dans la mouise jusqu'au cou ...