Les agents des péages de Tunisie Autoroutes observent une grève de trois jours sur l’ensemble du territoire tunisien à compter de dimanche 12 février 2023. C’est ce qu’a annoncé le secrétaire général adjoint du Syndicat des agents de Société Tunisie Autoroutes, Chokri Jarrar, mercredi 1er février 2023.
Dans une déclaration à Mosaïque FM, il a précisé que des sit-in de protestation seraient, également, organisés avant la grève.
La grève prévue le 12 février serait la deuxième que les agents de Tunisie Autoroutes observent en moins d’un mois. Une première grève a, rappelons-le, été organisée les 30 et 31 janvier 2023.
Cette décision intervient au lendemain de l’arrestation du secrétaire général du syndicat des agents de Tunisie Autoroutes, Anis Kaâbi. Celui-ci a été interpellé dans la soirée de mardi après une visite inopinée du président de la République à la caserne de la Garde nationale d’El Aouina.
Face à de hauts responsables sécuritaires, le chef de l’État a évoqué la grève des agents des péages de Tunisie Autoroutes et a affirmé « que ceux qui barrent les routes ne peuvent rester dans l’impunité ».
Anis Kaâbi a été placé en détention et sa garde à vue prolongée, selon Chokri Jarrar.
N.J.
L'état doit appliquer FERMEMENT les articles du code de travail afférant à la réquisition:
ARTICLE 389 du code de travail:
Lorsque la réquisition concerne une entreprise ou l'ensemble du personnel d'une entreprise,la notification peut avoir lieu par voie d'affichage dans l'entreprise concernée ou par les moyens d'information.
ARTICLE 390 du Code de Travail: Quiconque n'aura pas déféré aux mesures de réquisition sera passible d'un emprisonnement d'un mois à un an ET d'une amende de 100 à 500 dinars.
L'état doit préparer le plan B en cas de gréve portant préjudice aux citoyens ou à l'état: appel des retraités ou aux militaire pour maintenir le fonctionnement normal des entreprises publiques.
Un pays de bougnoules qui n'a appris qu'à faire grève depuis l'avènement de la révolution des orties.
Un peuple de paresseux et de fainéants, amateurs inconditionnels du tout cuit et des figues de barbaries épluchés.
Kalou le printemps arabe. éttfouh aalihom. Ils nous ont enfoncé dans la merde jusqu'à la pointe des cheveux et se sont barrés à fond la caisse, quand ils s'étaient rendus compte de la tartufferie des enfoirés de la maudite terka.
Bélléhi, citez-moi un pays du quart monde émergent, qui dispose de variétés de syndicats de bons à rien aussi destructeurs que les nôtres.