
Le gendre du président du mouvement Ennahdha et ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, a considéré que les auteurs du coup d’Etat du 25-Juillet pointaient du doigt des éléments que même leurs opposants n’auraient pas évoqué.
Dans une publication Facebook du 25 avril 2022, Rafik Abdessalem a réagi à la publication de l’ancienne cheffe du cabinet du président de la République, Nadia Akacha, dans laquelle elle fait allusion au ministre de l’Intérieur Taoufik Charfeddine l’accusant de trahison et de manque de patriotisme.
Rafik Abdessalem a repris les propos de Nadia Akacha affirmant que le pays passait par une crise sans précédent. Il a considéré que la prise de position de Nadia Akacha indiquait la fin du coup d’Etat.
« Ce témoignage historique montre que les organisateurs de ce coup d’Etat ne sont autres que des amateurs dépourvus de vision et n’ayant pas élaboré un projet autre que se saisir du pouvoir. Ils ont créé une crise de leurs propres mains et en usant des services de renseignements étrangers », a-t-il écrit.
L’ancien ministre a estimé que Nadia Akacha n’avait pas pris - ou avait omis de prendre - en considération l’impact d’un coup d’Etat et les conflits internes qu’il engendrait. Il a considéré que les auteurs d’un coup d’Etat avaient tendance à entamer une guerre interne pour détourner le coup d’Etat, chacun à son avantage.
« Dieu soit loué, la réalité du coup d’Etat ait été dévoilée à travers ce que les putschistes disent à propos d’eux-mêmes et non-pas sur les autres. Comme le dit le proverbe : si les voleurs se querellent, le bien volé apparaîtra. C’est ce que nous sommes en train de voir actuellement », a-t-il ajouté.
S.G
KIMMA FIL MSSATA ! ya nharik ya khamij .
Pauvre bouchlaka, il fait des cauchemars tous les soirs et rêve de la fin de KS et d'un retour au pays.
Hélas le bougre, n'est pas prêt à revenir car il sait ce qu'il l'attend.
De son refuge en Angleterre ou à Quatar, il attise le feu, fait des déclarations bidons et pense qu'il va toucher l'opinion publique.
Hlili, hlini na, haou el bhim ja.
Le courage consiste à rester en Tunisie et s'exprimer en Tunisie