![Liste des personnalités politiques en prison](images/album/IMGBN94828une (1).jpg)
Affaires purement politiques comme le disent les avocats et les observateurs ou véritable complot contre l’État et tentative d’assassinat du président de la République ? Business News fait le point.
Si la première affaire de complot contre l’État, plus connue sous le nom de « l’affaire des 25 », impliquant des personnalités politiques, n’a connu aucun mandat de dépôt, ni même de garde à vue, il n’en est pas de même pour la seconde qui a démarré le 11 février 2023.
En dépit de l’extrême gravité des chefs d’accusation et de l’identité des suspects, le parquet a choisi le silence pour unique communication aussi bien dans la première affaire que la seconde.
Après le choc des premières arrestations et l’attente, jusqu’à quinze jours, que les dossiers soient devant le juge d’instruction et entre les mains des avocats, force est de reconnaitre qu’il n’existe pas d’éléments tangibles et de véritables preuves d’un complot contre l’État. Les PV et les avocats parlent de simples réunions d’ordre politique. On ne trouve pas non plus de trace sur un quelconque projet d’assassinat du président de la République. À ce jour, le seul et l’unique à parler de ce projet est le président lui-même.
À défaut de version officielle des autorités et de présentation de preuves tangibles, les médias n’ont plus que les versions des faits énoncées par les avocats de la défense et les fuites de PV sur les réseaux sociaux. En tout, il y a près d’une cinquantaine de personnes visées par des enquêtes sur des affaires de complot contre l’État dont, au moins onze, sont sous les verrous.
Ali Larayedh : Dirigeant du parti islamiste Ennahdha, ancien chef du gouvernement, ancien premier ministre, il est impliqué dans l'affaire dite des réseaux d'embrigadement. Il n'aurait pas mis suffisamment de moyens pour empêcher les Tunisiens de rejoindre les réseaux terroristes en Syrie et en Irak. Il est détenu depuis le 19 décembre 2022.
Khayam Turki : Lobbyiste, homme politique, ancien d’Ettakatol et président de l’association politique « Joussour » (passerelles), on lui reproche notamment d’avoir organisé à son domicile des réunions entre différentes personnalités politiques et avec des ambassadeurs étrangers. Il aurait également eu plusieurs communications téléphoniques avec des diplomates. Il est détenu depuis le 11 février.
Kamel Letaïef : Lobbyiste, homme politique et chef d’entreprise, on lui reproche d’avoir eu des entretiens avec des ambassadeurs étrangers et d’avoir proposé à des diplomates le nom de Mustapha Kamel Nabli pour la présidence du gouvernement en cas de changement de régime. Il est détenu depuis le 11 février.
Abdelhamid Jlassi : Ancien membre dirigeant du parti islamiste Ennahdha, il aurait eu des rencontres avec des étrangers originaires de pays puissants à qui il aurait demandé de cesser tout soutien au régime actuel. Il est détenu depuis le 11 février.
Noureddine Boutar : Journaliste et directeur de Mosaïque FM, la radio la plus écoutée du pays et connue pour sa ligne éditoriale hostile au régime, on lui reproche d’avoir orienté la ligne éditoriale de sa radio dans l’objectif de fragiliser le régime. Outre l’affaire de complot contre l’État, il est cité dans une affaire d’enrichissement illicite et de blanchiment d’argent, mais sans aucune preuve tangible dans le dossier pour étayer ces accusations. Il est détenu depuis le 13 février.
Noureddine Bhiri : Avocat, député, chef du bloc du parti islamiste Ennahdha au parlement et ancien ministre de la Justice, il lui est reproché d’avoir prononcé un speech hostile au régime lors d’une manifestation. Il est détenu depuis le 13 février.
Lazhar Akremi : Avocat, activiste politique et ancien secrétaire d’État à l’Intérieur, il lui est reproché d’avoir des contacts suspects avec des personnes citées dans l’affaire de complot contre l’État avec qui il aurait été question de soutiens étrangers pour faire tomber le régime. Il est détenu depuis le 13 février.
Ridha Belhaj : Avocat, ancien dirigeant du parti centriste Nidaa, ancien président du parti Tounes Awalan, ancien secrétaire d’Etat, ancien chef de cabinet de l’ancien président Béji Caïd Essebsi, il lui est reproché d’avoir eu des contacts avec une diplomate étrangère. Il est détenu depuis le 24 février.
Issam Chebbi : Huissier notaire, président du parti de gauche Jomhouri, ancien député, il lui est reproché d’avoir eu des contacts avec une diplomate étrangère. Il est détenu depuis le 22 février.
Chaïma Issa : Activiste au sein du Front de Salut, il lui est reproché d’avoir eu des contacts avec une diplomate étrangère. Elle est détenue depuis le 22 février et elle est l’unique femme arrêtée, pour le moment, dans l’affaire du complot contre l’État.
Jaouhar Ben Mbarek : Enseignant universitaire, politicien et dirigeant au Front de Salut, il lui est reproché d’avoir eu des contacts avec une diplomate étrangère. Il est détenu depuis le 22 février.
Ghazi Chaouachi : Avocat, député, ancien ministre et ancien président du parti centriste Attayar, il lui est reproché d’avoir eu des contacts avec une diplomate étrangère. Il est détenu depuis le 24 février.
Walid Jalled : ancien député et dirigeant au parti Nidaa Tounes, il est suspecté d'être impliqué dans une affaire de blanchiment d'argent. Il est détenu depuis le 14 février.
La liste ci-dessus n’est pas exhaustive et est appelée à s’allonger au vu du nombre de suspects dans cette deuxième affaire de complot contre l’État, non encore auditionnés par la police (brigade antiterroriste) et par le juge d’instruction. La liste officielle comprend 17 noms, mais elle n’est pas exhaustive vu que certains (comme Lazhar Akremi et Noureddine Bhiri) sont accusés des mêmes chefs d’accusation, mais ils sont cités dans une affaire distincte.
Concernant la première affaire de complot contre l’État, déclenchée le 25 novembre dernier (plus connue sous l’affaire Balti), on trouve 25 personnes dont de nombreuses personnalités politiques, médiatiques et même artistiques. Toutes sont en état de liberté, malgré la gravité des chefs d’accusation.
Dans cette liste, on trouve notamment :
Maya Ksouri : Avocate et chroniqueuse.
Fadhel Abdelkefi : Chef d’entreprises, ancien ministre et président du parti de droite Afek Tounes
Hakim Ben Hamouda : Économiste, haut cadre dans des institutions financières internationales et ancien ministre.
Nadia Akacha : Ancienne cheffe de cabinet du président Kaïs Saïed.
Mofdi Mseddi : Ancien secrétaire d’État et conseiller à la communication sous plusieurs gouvernements.
Saoussen Maâlej : Comédienne.
Chahrazed Akacha : Journaliste et directrice de journal, réputée pour son opposition au régime.
Malek Baccari : Journaliste et présentatrice télé.
Raouf Ben Hédi
Et il devient par la connivence de ghanouchi chef de gouvernement et bou galb, tout comme abdellatif Mekki (inculte) qui a été propulsé par ghanouchi carrément comme ministre de ...de la santé mine de rien.
Quand ghanouchi le magouilleur promet une arnaque il la réalise. El kalb âabeth kima habb surtout par régionalisme et haine aux instruits et cultivés.
Tous pareils les autres kalbine âa eddinya.
En Thaïlande, la diffusion de fausses nouvelles est considérée comme un délit et est passible de peines de prison allant de 2 à 5 ans. Si les fausses informations concernent la famille royale, la peine peut même aller jusqu'à 15 ans.
Devrait-elle être introduite ici aussi ?
Ce serait également très souhaitable pour la Tunisie. Mais il faudrait alors emprisonner toute la justice, la politique et les médias dominants.
Les peines encourues sont variables en fonction des pays concernés.
Dans la liste, Il y a des Nahdhaouïs et les autres. Les premiers ont mis le pays à plat pour ne pas dire l'ont meurtri, les autres ont cherché à vivre au crochet des premiers et voilà le résultat.
Parcequ'il a arrêté les islamo-gauchistes, que je dénonçait depuis des années moi même?
Parcequ'il a lancé un pavé dans la marre contre les africains en Tunisie? ça vous chatouille le cul ça? ça fait sortir tout ce que vous avez de bête et méchant en vous? Savez vous que le racisme est latent dans tout être humain? Kaies Saied l'a compris et a jeté exprès de l'huile sur le feu afin d'exciter la foule ; ça marche!
Et bien sachez que le retour de la manivelle contre notre pays sera terrible, TERRIBLE : la Tunisie, déjà dramatiquement rabaissée avec Ennahdha pendant 10 ans, a pris un coup de poing mortel avec Kaies Saied, sensé rectifier et laisser la démocratie et la justice se poursuivre sans accaparer tous les pouvoirs ; la Tunisie est presque BANI du concert des Nation et ISOLEE ; nous sommes devenus un Etat PARIA à éviter à tout prix ; le seul point positif c'est que l'Europe ne nous laissera pas tomber, vu qu'on est dans le très proche voisinage de l'Italie et de la France, géographiquement.
Enfin, sachez que Kaies Saied n'en a RIEN à foutre de vous ; ce qu'il veut c'est le POUVOIR rien que le POUVOIR quitte à vous emmener vous et vos enfants en ENFER avec lui.
Quand je très surpris de lire ce texte "heureusement minoritaires ,de vraies têtes à claques adorateurs des dictateurs ,esclaves des vauriens et canailles qui doivent être jugés et destitués de leurs nationalités"
Car ce langage on l'a entendu des takfiristes depuis 2012 et c'est ce langage quI a donné l'ordre d'assassinat des martyrs Belaid et Brahmi allah yarhamhom
Cette minorité représente 3 millions de tunisiens qui dit oui à la nouvelle constitution
Les autres que vous prétendez qu'ils majoritaire n'ont récolté que 900 millie voix lors des législatives 2019
De plus tous es sondages indiquent que les partisans du président représentent plus de 52% des tunisiens
Alors ne défendez pas l'indéfendable pour cacher les vérités qui sont claires et nettes comme le jour
Un policier m'arrête et me dit :
- Je vous arrête pour état d'ébriété manifeste sur la voie publique.
-Monsieur, je n'ai pas bu une seule goutte d'alcool. Fêtes moi souffler dans l'éthylotest, c'est la procédure.
- la procédure n'est pas faite pour se soustraire au châtiment. Elle est faite pour garantir un procès équitable. Allez au poste.
Le juge m'a condamné à 100 coups de fouet avec obligation de dire, à chaque coup de fouet, pardon Mollah kais premier le juste.
Et c'est ainsi qu'on rendait justice dans l'émirat de Tunistan.
Au sujet des attaques violentes proférées envers le symbole du pays qui s'apparente à la Tunisie.
La meute s'acharne, en escamotant, en déformant ses discours.
Avec cette nouvelle version d'opposition, vous apportez de l'eau aux moulins,de cette fraction de déboussolées ,qui s'opposent pour s'opposer, en quête de reconquérir leurs privilèges, et leurs acquis illicites.
Je vous invite à revoir votre copie, c'est affligeant d'entreprendre des arguments destructeurs envers son propre pays !
'?a relève de la trahison, et l'inconcevable et l'ingratitude de ce que le pays vous a offert.
Soyez libre El ouaf ouaf. L'esprit critique ne tue pas.
Dans quel langue l'inculte il va falloir t'expliquer que ceux qui ne pense pas comme toi ne sont pas des criminels, rien qu'à ton texte on devine le plouc rageux qui accuse tout le monde d'être la cause de nos malheurs alors que c'est sont inconsistances et ceux de ses semblables qui fait de ce pays un bled à bougnoule.
adorateurs des dictateurs ,esclaves des vauriens et canailles qui doivent être jugés et destitués de leurs nationalités .
J'épère que les dossiers sont solides pour que ce beau monde soit à l'abri du soleil pour longtemp et que la liste soit 10 fois plus longue
https://www.youtube.com/watch?v=vh1oeo7WKJo
Et c'est exactement pareil pour le martyr Feu Mohamed Brahmi rahimahou Allah rahmaten wassiâ wa askanahou finana el ferdawssi.
Ces deux martyrs sus-cités et ceux qui ont connu le même sortbde la part de ces obscurantistes qui n'arrêtent pas de se moquer du peuple tunisien, et qui pensent avec cette violence et ce terrorisme qu'ils vont devenir presto des milliardaires comme ce fut le cas de nahdha qui supposent, faussement bien sûr, que ledit peuple tunisien est dupé et dépassé par les événements.
Je rejoins, à mille pour cent, les propos de @Patriote.
Il n'y aura aucun avenir pour la Tunisie, tant que les traitres, les vendus et autres agents perturbateurs, n'auront pas rejoint la TAULE.
C'est le tarif adéquat pour les enfoirés qui ont priorisé leur enrichissement personnel, avant l'épanouissement de la société civile qu'ils ont malmené dans tous les sens du terme.
- La suite des traitres ennakba
mekki harouni etc..
- le vieux chebbi et sa bande chaouachi etc..
- les syndicalistes opportunistes qui terrorisent nos enfants écoliers et lycéens leur tête le bandit yakoubi
- les responsables des medias qui diffusent de fausses informations
- les journalistes qui attaquent les responsables au pouvoir et qui incitent à la haine
Ensuite la troisieme liste composé des têtes ganouchi tabboubi et le reste
La liste des traîtres à la nation arrêtés et emprisonnés.
PULTO DES RIPOUX et on attend la suite
Au bout de quelques années ces arrestations ne font réagir personne a part leurs amis et avocats. Devinez pourquoi ?
Quant à la liste en question, il vous faut de la patience pour les mises à jour à venir, elle est loin d'être définitive.
Je sais et tu sais cher RBH que Boutar n'est pas politicien
Les criminels suivront.
Le tunisien commence à lever la tête.
La Justice commence à gagner la confiance des tunisiens.
De nombreux corrompus, de nombreux criminels et de nombreux contrebandiers sont encore en liberté. Je souhaite qu'ils finiront par prendre le chemin de la Mornaguia.
Guannouchi a beau acheter pratiquement TOUS LES JOURNALISTES, mais cela restera toujours insuffisant pour enterrer la vérité.
Journalistes propagandistes du MAL, réveillez-vous, The Game is Over.