
Depuis Monastir, le président de la République, Kaïs Saïed a répondu aux organisations qui ont lancé une initiative de sauvetage et qui comptent appeler à un dialogue national. Le chef de l'État a ainsi clairement refusé de prendre part à cette initiative lancée par l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), la Ligue tunisienne des droits de l'Homme (LTDH), l’Ordre national des avocats de Tunisie (Onat) et le Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES).
Il a indiqué que cela n'était plus nécessaire et que le véritable dialogue national se déroulera au sein du nouveau parlement sous l'hémicycle du Bardo.
Le président de la LTDH, Bassem Trifi avait indiqué, le 4 avril 2023, que l’initiative de sauvetage lancée en collaboration avec l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), l’Ordre national des avocats de Tunisie (Onat) et le Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), est en phase d’achèvement et que son contenu a déjà été finalisé.
Il avait précisé que l’annonce officielle du contenu de l’initiative et sa révélation au public aura lieu au courant de la semaine prochaine et que les organisations souhaitaient la soumettre au président de la République. UGTT, LTDH, Onat et FTDES ont eu aujourd'hui leur réponse.
Dans un autre contexte, le président de la République, Kaïs Saïed a indiqué que certains individus arrêtés dans le cadre de l’affaire de complot contre la sûreté de l’État étaient accusés de meurtre, de spéculation ou de blanchiment d’argent. Il a critiqué le recours à l’expression « prisonnier politique ».
S’exprimant à l’occasion de la commémoration du décès de l’ancien président Habib Bourguiba, Kaïs Saïed a affirmé que ces détenus avaient du sang sur leurs mains. Il a nié le recours à des arrestations en raison des opinions ou des idées de ces personnes. « A-t-on arrêté une personne pour ses idées ? On parle de droits de l’Homme… Ils parlent comme bon leur semble et on évoque par la suite des restrictions sur les libertés », a-t-il ajouté.
Kaïs Saïed a assuré que des mafias avaient infiltré l’État et complotaient pour détruire la Tunisie de l’intérieur. Il a évoqué des souhaits de certains au sujet de l’arrestation d’autres. Il a assuré que tout le monde était au courant de la culpabilité des personnes visées par ces appels.
S.G
Le passif négatif des dirigeants de ce syndicat, sur l'économie et la politique du pays , est tellement lourd qu'on ne doit plus leur faire confiance .
Le président Kaïs Saïed les a pris pour de petits enfants qui jouent à la récréation. Il leur a laissé tout leur temps, pour les circoncire tous les quatre, par un seul coup de ciseau.
Que nous reste-t-il donc en dehors de leur chanter la fameuse chanson des circoncisions : «wè hallilou, wè kabbirou takbiraaaa, sallou aâlè Mohamedèn kathiraaaa!!!