
Le médecin et candidat indépendant à la présidentielle Dhaker Lahidheb a estimé, lundi 10 juin 2024, que l'Aïd est une opportunité de pardon et de tolérance visant à réduire les tensions
Dans un post Facebook, M. Lahidheb a s’est interrogé sur les raisons poussant à ne pas profiter de l’occasion pour annoncer une grâce présidentielle.
Cette grâce concernerait, selon le candidat à la présidentielle, tous les détenus du décret 54, de l’article 96 du Code pénal, toutes les détentions en attente de jugement, toutes les détentions pour consommation de stupéfiants sans trafic, toutes les détentions pour les pensions alimentaires en attente de règlement, pour les chèques sans provision dans l’attente de l’amendement de la loi.
"Un été chaud et difficile s’annonce déjà dans les prisons", a-t-il écrit.
I.N.


En outre , la justice doit avoir les moyens "" toutes considérations confondues "" pour l'equitabilte.
Tout ceci est à la base de la formation d'une société réussie .
Sans ces conditions et ces paramètres il ne faut pas espérer mieux et plutôt c'est la gabegie sui régnera.
Donc, nous constatons que le seul paramètre et critère discutable pour les crimes commises demeure "" cette cette concordance entre Crime et Sanctions "".Sur ce thème et sur une législation pénale qui date depuis belle lurette , il y a trop à dire ...C'est l'assemblée et le gouvernement qui doivent ravailler beaucoup sur ce sujet .
En attendant , tout restera discutable.
Mais heureusement qu'il y a des remplaçants DHAKER et MEKKI. Mais pour combien de temps. Un mois ,deux mois ?.
Ce qu'il se passe en Tunisie n'est que le reflet de la cruauté d'un peuple ingrat et dénué d'empathie. Et c'est par ce manque d'empathie que la caricature du tunisien et de ses élus commence à dresser le plus vil des dessins aux yeux de l'humanité entière.
Si le tunisien a su faire preuve d'empathie, au demeurant toujours louable, dès lors qu'il s'est agit de pays lointains, comme l'Irak, la Palestine (que Dieu lui vienne en aide et assène ce qu'il jugera Juste à ses bourreaux), le tunisien fait preuve d'un manque total d'empathie dès lors qu'il s'agit de son voisin de palier, ou venant d'un quartier voisin, ou d'un habitant d'une ville voisine, ou encore de son concurrent politique direct, etc..
Mon cher Monsieur, connaissez-vous un seul pays au monde, où l'on détient en prison le temps de l'instruction. Où l'on cherche d'autres affaires pendant la détention pour garder des gens en prison. Les rares cas d'espèce dans le monde concernent de dangereux (potentiels) criminels pouvant mettre la population en danger. Il aura fallu attendre la Démocratie des Gueux, libérés par l'oncle Sam en 2011, pour voir de telles pratiques dans notre pays.
En Tunisie, les quelques rares cas du temps de Ben Ali concernaient des activistes islamistes (peut-être pas si dangereux) du temps où la guerre civile algérienne faisait 230.000 morts dans l'Algérie voisine. Il s'agissait donc de protéger la population et non d'autres objectifs. Et c'est d'ailleurs pour ces faits, qui remontaient à plus d'une décennie qu'il fut traité de dictateur et mis dans l'avion de l'exil. Un vol Tunis-Djeddah qui allait sceller la chute aux enfers d'un peuple ingrat, haineux et jaloux, qui est tout ce que vous voulez sauf démocrate. Un peuple qui allait prendre une décennie à s'initier à la démocratie pour accoucher de ce qu'il est en train de vivre aujourd'hui, applaudissant les longues détentions qui n'attendent des chefs d'inculpations sérieux avec des preuves sérieuses. Du jamais vu dans l'histoire de la Justice, dont l'un des canons les plus importants est la présomption d'innocence.
En Tunisie, c'est la présomption de culpabilité, car la tête du tunisien est ainsi faite. Le tunisien a reçu l'instruction de l'école publique mais ne peut en aucun cas recevoir la culture ou l'éducation, car l'instruction ne peut se substituer entièrement à une tête pourrie.
Les USA, alors attaqués par les organisateurs du 11 septembre avaient créé une loi permettant d'arrêter toute personne de laquelle elle doutait. C'est de la sorte que Guantanamo vit le jour. Bien qu'attaquée sur son propre territoire par une opération qui allait faire pas moins de trois mille victimes civiles, et malgré l'aval d'une population traumatisée par un tel acte, cette loi fut contestée, réduite comme peau de chagrin en moins d'une mandature.
D'ailleurs ce fut l'une des réponses de Ben Ali à Condoleeza Rice lors de leur prise de bec: "je n'ai pas de leçon à recevoir d'un pays qui a fait Guantanamo" lui avait-il rétorqué lorsqu'elle s'était hasardée à jouer du chantage droit-de-l'hommiste suite à son refus de lui accorder une base militaire sur notre territoire. C'était du temps où notre situation économique nous permettait de garder la tête haute et de rester souverains. Situation à laquelle le fameux grand peuple de la révolution de la brouette avait décidé de mettre fin, nous faisant rentrer dans une ère de protectorat qui ne dit pas son nom.
Ce peuple qui, pour cacher son crime contre son propre pays, a décidé d'attaquer, en faisant régner la peur dans les rangs de ceux qui avaient cru que l'oncle Sam, Soros et son open Society, tous ces bienfaiteurs de l'humanité, étaient là pour veiller à leur bien-être social et à leur santé démocratique.
Je n'en crois pas mes yeux: En Tunisie, pays de Bourguiba, des citoyens en attente de preuves pour des chefs d'inculpation loufoques qui n'auraient même pas valu une garde à vue dans tout pays qui respecte la Justice. Mais vous réalisez ou pas, bande de gueux! Je ne parle pas de Haïti ou du Chili, je parle de la Tunisie de Bourguiba. Et ils n'attendent pas chez eux ou en liberté conditionnelle (ce qui est déjà très grave), ils attendent en prison. Mais vous vous rendez compte ou pas? Tout cela sous la bénédiction d'une faction assez importante du peuple. Ces mêmes gens qui reprochaient au pays florissant de Ben Ali de ne pas être assez démocratique à leur goût. Aujourd'hui, alors que le pays coule sous une dette odieuse contractée par les merdolutionnaires, ils demandent de sévir contre les Libertés sous l'oeil complice des états unis, et des pays de l'otan. Ceux-là mêmes qui, pour bien moins que cela, accablaient Ben Ali nuit et jour, et lui envoyaient les traitres dans ses pieds.
Ya Radhia, ya Sihem, ya Hamma, êtes-vous contents aujourd'hui?
Comme disait Gaddafi: Man Antom?
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
La médiocrissime Anne Hidalgo, maire de Paris, avait, lors de sa première déclaration annonçant sa participation à la présidentielle de 2022, prononcé ce qui suit :
si je suis élu, je doublerai le salaire des professeurs.
C'est ainsi, qu'elle se présenta en tant que sauveuse de la France !!!
Comme quoi, ces gens-là, avides de pouvoir et de notoriété, sont capables de débiter tout et n'importe quoi, pour ratisser large les voix d'électeurs potentiels qui rallieraient sa cause !!!
La faim justifie les moyens !!!
On va bien rigoler.
***....
il est complètement farfelu le Mr
il souhaite se pressente a la Magistrature suprême de la Tunisie, en ignorant les réglés de bases de la justice.
même du temps de ZABA, ca n'a pas été fait.
une Grace Présidentielle ne peux être demandée et accordée (ou pas) qu'après épuisement de toutes les étapes/phases d'un procès normal; c'est a dire, après que la cours de Cassation ait prononce son verdict.
Allah Ghaleb ou barra
Mahmoud

