
Le mouvement Ennahdha a rendu public un communiqué, en cette soirée du samedi 23 mai 2020, à la suite de la réunion de son bureau exécutif présidée par Rached Ghannouchi.
Une réunion servant à examiner la situation politique générale dans le pays, les efforts déployés pour la lutte contre la pandémie Covid-19 et les mesures gouvernementales prises pour limiter ses répercussions sur les scènes économique et sociale. Le bureau exécutif a passé en revue les grandes lignes du plan national pour la relance économique, qui sera présenté prochainement par le gouvernement.
Alors que Rached Ghannouchi avait été épinglé pour son ingérence dans la diplomatie, pourtant du seul ressort du chef de l'Etat, le mouvement Ennahdha a félicité, dans son communiqué, le gouvernement libyen d'union nationale de Fayez El Sarraj, « pour avoir réussi à reprendre le contrôle d'une grande partie des territoires libyens ». Le 19 mai, un entretien téléphonique entre Rached Ghannouchi et le président du Conseil présidentiel du gouvernement d'union nationale libyen Fayez El Sarraj avait suscité la polémique.
Le chef de l'Etat, Kaïs Saïed avait d'ailleurs, dans son allocution prononcée ce soir, taclé Rached Ghannouchi sans le citer, affirmant : « Tout le monde doit reconnaitre qu’il n’y a qu’une seule Tunisie et un seul président à l’échelle nationale et internationale ».
Par ailleurs, dans le même communiqué, le mouvement a dénoncé les campagnes de dénigrement le visant, tout comme ses dirigeants et principalement son président Rached Ghannouchi à travers « les rumeurs et les mensonges, dans une tentative de diversion ». Le bureau exécutif ajoute que ces manœuvres visent le processus de transition démocratique et l’entrave de l’achèvement de l’installation des institutions dont la Cour Constitutionnelle.
Le communiqué a aussi fait part des préoccupations du mouvement par la récurrence des incendies et des actes criminels, appelant les autorités concernées à prendre les dispositions sécuritaires nécessaires et à révéler les auteurs de ces crimes au grand public.
S.H
Je connais l'histoire de ce nom et de cette famille et ses rapports avec les ottomans, mais je me garderai bien de les révéler à ceux qui ne savent ni lire ni écrire !
Ghannouchi est les siens veulent croiser le fer avec le président et le peuple, une réponse singlante au pays, la même rengaine d'une bande qui a gangrené la vie politique et sociale par
l' arrogance, l'incompétence l'agressivité et l'irresponsabilité dont ils font preuve ,de jour en jour ils s'enfoncent dans l'erreur . ils savent qu'ils sont perdus et leurs jours sont comptés
ENNAHDHA est décriée en veux- tu en voilà par une population qui les rejette pour le mépris qu'elle arbore à toute occasion et l'exclusion de tous ses détracteurs
Avec un peu de dignité ,Ghannouchi , , tu devrais te retirer sur la pointe du pied et demander pardon au peuple pour les malheurs que tu as semé dans le pays et les larmes de ces femmes et orphelins de nos soldats et policiers qui continuent à couler sur ta conscience, si tant est tu en as une.
***et Pauvreté : La trinité des islamistes : au nom du père ERDOGHAN , du fils GHANNOUCHI et de l'esprit malsain de BHIRI, BOUCHLAKA, HAROUNI et tant d'autres.
La jalousie rend aveugle.
Le gourou disait dans son allocution d'hier que nous devons travailler pour le developpement de la Tunisie'?'
Alors il nous intime de travailler alors qu'eux ils vont tenir la caisse et se servir. C'es de quoi se tirer une balle dans la tronche.
ça me rappelle des vieux de mon autre vie au "Caire" quand le vendredi avec des amis Egyptiens on se donnait des RV à Khan El Khalili pour:
1) La prière du vendredi à "El Azhar" mais surtout écouter le discours du grand Cheikh de l'époque "1985"
Mohamed El kantaoui.
Et après la prière, nous prenons 1 bon thé vert à la terrasse du café d'à coté et là, toujours le même petit sarraj qui vit et nourrit sa famille qui habite dans "La cité des Morts" de l'autre coté de la route à grande circulation et je pense toujours à ce petit Saaraj et ses conditions de vie !!
Ainsi va le monde des Sarraj et dire qu'20 ème siècle, on trouve un à coté soutenu par la Tunisie?
Les voix(es) du seigneurs sont impénétrables !!!
? Je ne sais pas pourquoi je vous écris cette anecdote ?
à vous de comprendre !!
Il devra passer sur nos corps avant d'accéder à Carthage. Le pays se mettra à feu et à sang avant que ce voyou ne s'empare de Carthage. Les islamistes jouent le pourrissement de la situation et s'attendent à ce que KS l'actuel président jette l'éponge et démissionne. Dans ce scénario, c'est le président du Parlement qui devrait le remplacer. C'EST UN GRAND SCANDALE. REVEILLEZ-VOUS TUNISIENS ET TUNISIENNES, Khriji le diabolique veut s'emparer de la présidence et de Carthage.
L'imposteur s'adresse aux Tunisiens alors que rien ne l'autorise. Il s'affiche avec le drapeau national et cache soigneusement le drapeau de Nahda.
Donc, au peuple tunisien, libre et patriotique, de prendre ses responsabilités pour sauver le pays de cette maudite secte; vendue au Satan turc.
La Tunisie joue gros si elle ne faisait pas dégager le gourou GHANNOUCHI et son troupeau de Khouanjias.
Les nahdhaouis sont en train de se foutre le doigt dans l'oeuil et s'enfoncent dans la tranchée de la trahison.
Comment faire confiance aux khouanjias qui ont provoqué le massacre de millions de musulmans au nom de leur religion pervertie. Comment faire confiance à erdogan qui assassine journalièrement son peuple et maltraite aussi ses anciens camarades ainsi que son mentor gulen. Comment faire confiance aux qataris dont le prince a destitué son pére sans aucun égard.
Tout ce beau monde "hatabou ghahannama wa biisa almasir".
Remplacer Le mouvement Ennahdha par le gouvernement tunisien....
Le parti islamiste persiste et signe,dominateur, l'arrogance en plus.
Ou un autre proverbe, retenez bien : " el 3abd el belid mou7al yetrabba w meyjich men ahl el Karam wel joud,
W meyjich men jeld el bahayem guerba, w meyjich men godss ettrab baroud".
C'est au président de la république de convoquer Gannouchi et de lui dire , ta place uniquement a bardo ni plus ni mois , mais malheureusement le chef de l'état j'ai l'impression que les menaces du voyou Makhtouf l'ont fait peur et qu'il reste encore silencieux.
Chers compatriotes vous allez-vous vivre avec Annahdha comme vous allez vivre avec la Corona .
Bonne fête de l'Aid à tous.
Que dieu nous fera débarrasser de ces sectes (Ennahdha et ses partis affiliés indirectement).
Tous les jours, on s'enfonce dans un dictature religieuse qui promet un avenir obscur et un chaos sanguinaire dans une situation économique catastrophique ou la faim nous guette et la maladie nous traque.
Cet état parallèle est incapable de construire et nous emmène directement vers le malheur inévitable. Nous devons défendre notre pays et celui de nos enfants mais comment ! .Les partis politiques existants sont nuls et leurs dirigents sont incompétents. Urgent !
Le communiqué rendu public à peine quelques heures après le discours du président de la République et qui fait suite à la réunion en urgence du Bureau exécutif de la secte islamiste, constitue un danger pour la Tunisie et un défi pour le président dont ils sentent la faiblesse et le désarroi.
Pourquoi ce communiqué constitue-t-il un danger pour la Tunisie ? Parce qu'il réaffirme le soutien islamiste au gouvernement Sarraj et à l'intervention turque en Libye. Les islamistes en Tunisie ont donc choisi leur camp, celui des islamistes en Libye et en Turquie. Ils ont décidé d'être du côté de Sarraj contre Haftar. C'est non seulement un abandon de la politique d'équilibre qui a caractérisé la diplomatie tunisienne depuis des décennies, mais l'engagement dans le camp de l'islamisme international. Ce communiqué et la politique de Nahda conduire le pays au désastre et nous isolera d'une très grande partie de la communauté internationale. Nous risquons d'en subir les conséquences et d'être soumis à la domination turque. La politique de Nahda est destructrice pour notre pays.
Le communiqué de Nahda est aussi un défi pour un président de la République dont les islamistes sentent les faiblesses et la solitude. Les islamistes et Khriji défient le président en lui faisant comprendre que la politique étrangère de la Tunisie se fait à Monplaisir (siège de la secte) et non pas à Carthage. Ils lui font comprendre que ce sont eux qui sont chargés de la politique extérieure du pays et que le président est juste là pour exécuter leurs v'?ux.
Enfin, le communiqué est soutien à Khriji à la veille du soi-disant débat du 3 juin au parlement. La question qui doit être posée par les Tunisiens et par Mme Abir Moussi : quelle est la position officielle de la Tunisie dans le conflit libyen et qui est responsable de la politique étrangère : le président ou les islamistes ?
La diplomatie a une seule direction mais elle est manager par les 3 présidents en toute coordination. Chose tres bien exécuter par le feu BCS.
N.B. Si mes écrits sont vite retirés (certainement sur instrucution de nahdha), cela démontre une réussite dans le contenu, et par contre un échec dans la soi-disant liberté d'expression.
Donc il n'y a pas à se vanter de quoi que ce soit de la part des lèches-bottes de cette secte de nahdha qui supposent que champ est libre pour concrétiser leurs magouilles...que Dieu procure plus de souffle pour aboutir à la décolonisation.
C'est moi le président et c'est Ennahdha qui commandent la position de ce pays.
Ghannouchi et sa secte à tout le peuple Tunisien :
Nous sommes la légitimité, élus démocratiquement et nous vaincront tous types de putschs.
Alors ya Touensa, vous déduisez quoi ?
Vous croyez toujours à son audition le 03 juin ?
D'ailleurs les mots et les adjectifs utilisés dans on discours après KS, sont du PUR CODAGE, adressés à qui de droit.
Nos spécialistes ont certainement décodés l'aspect des messages, des instructions, des ordres et des priorités et qui sont les probables destinataires.
Il faudra écouter son appel après le discours de KS :
https://www.mosaiquefm.net/fr/actualite-national-tunisie/745229/ghannouchi-appelle-a-la-solidarite-et-a-l-union
Qu'ils persistent dans l'erreur(*) de prendre parti dans la guerre civile libyenne, grand bien leur fasse. . . mais qu'ils ne parlent pas alors au nom de l'ARP ni au nom de la Tunisie, c'est le minimum que nous sommes en droit d'exiger de ces moins que rien !
Maxula.
(*) . . .perseverare diabolicum !