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L’essentiel de l’interview de Kaïs Saïed
30/01/2020 | 21:00
7 min
L’essentiel de l’interview de Kaïs Saïed

Le président de la République Kaïs Saïed a accordé, ce jeudi 30 janvier 2020, une interview spéciale, diffusée en direct, exclusivement par la chaîne Al Wataniya 1, pour revenir sur le bilan des cent premiers jours depuis son investiture, conformément à son engagement tenu lors du débat présidentiel.

 

Revenant sur « le deal du siècle », le président de la République a rappelé sa position par rapport à la normalisation avec l’entité sioniste, la qualifiant de « haute trahison ». « La normalisation est un terme qui n’existe pas », a-t-il dit.
Il ajoute avoir contesté la faiblesse du communiqué publié hier par le ministère des Affaires étrangères, soulignant qu’il a dû intervenir en personne pour rectifier la position officielle de la Tunisie. Le président de la République a considéré que la cause palestinienne est bien plus grande que les initiatives législatives.
 
 
Kaïs Saïed a abordé la loi relative à l’Etat d’urgence estimant que c’est une loi anticonstitutionnelle. « J'ai décrété l'état d'urgence par obligation et il n’est appliqué que dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Dans ce contexte, j’ai proposé d’ajouter un paragraphe dans la loi antiterroriste pour en finir définitivement avec cette loi, sauf que cela ne peut avoir lieu qu’après une réunion du conseil des ministres ».


Le chef de l’Etat est revenu sur les défaillances constatées sur le plan de la communication de la présidence de la République. « Il est vrai qu’il y a eu certaines erreurs au niveau de la communication. Toutefois, ces erreurs ne sont pas aussi importantes que certains le prétendent et nous ferons en sorte de remédier à ces lacunes. Les remarques exagérées sont des tentatives vaines de déstabilisation, mais nous n’allons pas succomber à ces manœuvres ».


Kaïs Saïed a, également, tenu à expliquer certains points à l’instar du choix du directeur de l’institut des études stratégiques, assurant que le choix était réfléchi de nommer à sa tête une personnalité indépendante et neutre afin d’éviter de faire de cette institution une académie privée.


Revenant sur la visite du président turc Recep Tayyip Erdogan, le président de la République a indiqué que cette visite a fait couler beaucoup d’encre inutilement, soulignant que le président turc a été reçu comme tout autre dirigeant qui visitera la Tunisie dans le cadre de la préservation des relations d’amitié que le pays entretient.


D’autre part, Kaïs Saïed a assuré qu’il entretient de bonnes relations avec le chef du gouvernement actuel Youssef Chahed, précisant qu’il est indépendant et qu’il ne cherche les confrontations avec aucune partie et que son seul objectif est de garantir la continuité de l’Etat.

Le président de la République est également revenu sur son choix de désigner Elyes Fakhfakh à la Primature. Il a indiqué qu’il l’a désigné conformément aux dispositions de la Constitution et qu’il ne sera confirmé qu’après avoir obtenu la confiance de la majorité. « J’ai désigné Elyes Fakhfakh sans la moindre pression et dans le respect total de la Constitution ».


Dans un autre contexte, le chef de l’Etat a indiqué qu’il n’a fait aucune promesse durant sa campagne électorale. « J’ai parlé des mécanismes permettant de réaliser les rêves et les aspirations des jeunes et des Tunisiens. Aujourd’hui, j’ai un projet en cours d’étude concernant la création d’un grand centre hospitalier dans le gouvernorat de Kairouan, plus précisément à Reqqada. C’est un projet pilote et nous cherchons des financements. Nous avons des promesses dans ce sens et plusieurs parties ont exprimé leur disposition à financer ce projet sauf qu’elles exigent que les financements soient contrôlés directement par l’institution de la présidence de la République. Je veillerai à la vérification de la source de ces financements afin que ce ne soit pas une tentative de blanchiment d’argent ». Il a ajouté qu’il travaille en silence et qu’il a d’autres projets en cours d’étude.

D’autre part, il a assuré qu’il n’a aucune intention de créer un parti politique ajoutant qu’il poursuivra la même démarche. « Je n’ai pas changé et je ne suis pas revenu sur mes engagements envers les jeunes ».

Le chef de la Etat a tenu à préciser que lorsqu’il a parlé de complots lors de sa visite à Sidi Bouzid, il s’agissait des crises fabriquées pour détourner l’attention de l’opinion publique et semer la confusion et la zizanie. « Les forces de l’ordre feront face à toutes ces tentatives. Les Tunisiens doivent être rassurés parce qu’il y a un Etat qui les protège ».


D’autre part, il a indiqué qu’il est contre l’exclusion, soulignant que le mode du scrutin actuel est responsable de la dispersion du paysage politique. Dans ce sens, il a considéré que le vote basé sur un programme peut s’avérer plus judicieux que le vote pour des listes, un mode qui a déjà démontré ses limites.


Concernant le dossier des martyrs et des blessés de la révolution, Kaïs Saïed a indiqué : « les martyrs meurent encore. Il est nécessaire de classer ce dossier une fois pour toutes en se basant sur le rapport élaboré en 2011, tout en lui apportant certaines modifications ».


Le président de la République a indiqué que le dossier de l’appareil secret du mouvement Ennahdha n’est pas du ressort du conseil de sécurité national. « Ce dossier est entre les mains de la justice. Je ne veux pas m’immiscer et j’évite les calculs politiques étroits ».

D’autre part, Kaïs Saïed a affirmé que le blocage et le retard enregistrés dans la formation du gouvernement l’ont empêché de se rendre plus tôt en Algérie, outre l’annulation de sa participation au Forum économique de Davos. Dans ce contexte, il a ajouté que les représentations diplomatiques de la Tunisie seront mises en place également après l’installation du prochain gouvernement.
Toutefois, il a considéré qu’il était nécessaire de rattacher le département de l’Investissement et de la Coopération internationale au ministère des Affaires étrangères pour plus d’efficacité et d’harmonie du rendement et de la performance de la diplomatie tunisienne.
 
 
Au final Kaïs Saïed a assuré qu’il reste fidèle à ses habitudes et déteste la vie des palais. « Je ne connais que quelques salles du palais de Carthage. Je peux déménager près de Carthage, mais je suis fidèle et je veux rester dans mon quartier ». Il a ajouté qu’il n’a pas peur de prendre l’avion et qu’il a déjà voyagé pour donner des conférences dans le cadre de son métier d’enseignant.
Le chef d’Etat s’est indigné des critiques à propos des enfants des terroristes qu’il a reçus au palais de Carthage. « C’est des enfants innocents et les efforts déployés pour leur rapatriement sont énormes. J’ai déjà décoré un enfant des sécuritaires décédés. Mais, on ne se rappelle que de ce que l’on veut et on oublie le reste ».


Sarra Hlaoui

 

30/01/2020 | 21:00
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Commentaires
saz
Impression de déjà vu et entendu
a posté le 31-01-2020 à 19:07
Un bilan des 100 premiers jours est fait pour annoncer ce qui a été fait et non ce qui reste à faire (dans le créneau bien sur de sa fonction présidentielle). Nous ne sommes plus dans le cadre d'une campagne électorale.
takilas
nahdha s'inquiète pour d'éventuelles remances d'enquêtes
a posté le 31-01-2020 à 18:57
La Tunisie fait du sur-place, stagne dangereusement depuis neuf ans, et rien ne peut aller, toutefois, avant d'arrêter et de déférer devant la justice les commanditaires des assassinats, commis à partir de 2011 jusqu'à ce jour, relatives aux assassinats soit ceux  politiques ou ceux de règlement de compte personnels liés à des dossiers ou à des révélations politiques.

D'ailleurs plusieurs enquêtes à ce sujet, ont été interrompues à plusieurs reprises, malgré l'insistance du peuple tunisien pour connaître la vérité  (quoique les présomptions sont quasicertaines à tout le monde), une vérité interrompue pour cause de menaces qui seraient destinées de mettre le pays à feu, et à sang, et ce surtout lors de la gouvernance de Feu Beji Caïd Essebsi, qui a été complètement maîtrisé et empêché de procéder à quoi que ce soit, ou d'activer les enquêtes judiciaires y afférentes; et la démonstration, de la déflagration par un kamikaze du bus des gardes présidentiels, ne s'est pas faite attendre.

Donc et pour la cause politique et surtout pour la cause de l'acceptation du pouvoir lâché par Feu Ben Ali que la guerre politique a fait rage en Tunisie, mais inequitablement au niveau de la compétence tant culturelle que sociétale entre les protagonistes. Puisque parmi la masse populaire tunisienne comprenant plusieurs cultivés et instruits un groupe d'individus de surcroit incultes et sans firmations adequte ou spécialisée, mais s'agissant de néophytes n'ayant aucune connaissance en quoi que ce soit qui se rapporte à la politique et à la gestion d'un pays en général, sans oublier la complète absence de l'histoire et le vecu de La Tunisie, ni même de l'historique économique ou culturel de cet élogieux pays de longue histoire socioculturel.
Ce groupe dindividus logeait, inexplicablement, par contre, à londres avant 2011 et a voulu profiter de l'instabilité de La Tunisie connue en 2010 pour prétendre à retourner au pays et saisir l'occasion propice de devenir enfin des personnalités (fallacieuses) et pourquoi pas même des notables de fortune, croyant que la révolution du printemps arabe est une chance à saisir pour enfin contourner les voies ordinaires et usuelles dans les échelles sociales, et s'enrichir par l'arnaque et le mafiosisme, d'autant plus que le terrain est propice et été balisé par un peuple en extase d'avoir conquis la liberté, l'égalité et la justice, sauf et par la suite, et jusqu'à ce jour, ces principes ont été complètement négligés, bafoués voire  utopiques, et n'ont servi, et ne servent encore, que pour la propagande des mêmes arnaqueurs, venus en 2011, qui persistent à se clouer, par tous les moyens les plus indécents et les plus irréguliers de corruptions.

veritas
....
a posté le 31-01-2020 à 17:18
...béni khiar...
veritas
@Mr ...de béni Khaled de grâce Partez .
a posté le 31-01-2020 à 15:15
Je vous demande de démissionner sans délais si vous avez le strict minimum de patriotisme,votre mandat va être une descente aux enfers pour le pays et pour les tunisiens votre législature va être mille fois pire que les 3 ans de Zakzouki passé à Carthage ,de grâce partez l'histoire vous le reconnaîtra et les tunisiens aussi ,Mr le costume(de président) que vous essayer de porter et plus grand que vous vous ne serez jamais l'homme de la situation ,les parties intérieures et étrangères qui vous ont porté à cette mission ils vont juste se servir de vous pour détruire le pays et vous serez le premier responsable qui portera le chapeau de la destruction ,par pitié et pour respecter vos enfants votre ville natale (où il y'a des gens bien et correct )et pour respecter votre conscience partez vous serez plus tranquille.
La cause palestinienne est du sort des palestiniens eux même et non pas du sort d'un tunisien d'un algérien ou de tout autres personne étranger .
antireligion
des sucettes
a posté le 31-01-2020 à 14:37
Bande de nuls vous vous êtes faits avoir comme des gamins devant des sucettes, à la place c'est des cailloux que vous avez mis dans la bouche alors n'hésitez pas sucer
Abir
Président des paroles
a posté le 31-01-2020 à 12:02
Le président n'a tenu qu 'à une seule idée lui a était lancé d'un citoyen de Ben Aarousse,il le répète tout le temps depuis qu'ilétait candidat, en disant quelqu'un de Ben Aarousse m'a dit qu'on peut faire,quoi ? jusqu'aujourd'hui on ne sait pas de quoi s'agit-il ! Et sur ça le président à voulu devenir président
Abir
0/10 pour le "décorateur" de plateau
a posté le 31-01-2020 à 11:41
Une salle avec des couleurs vifs,un plateau en fer on dirait une salle de jeu,grand et large il ne donne pas l'importance ni à la personne ni au sujet,un plateau n'est pas digne d'un président! Quand on l'argent qui coule à flot,on fait n'importe quoi avec
takilas
100 sabotages de nahdha en 100 jours. Cette nahdha qui s'amuse et mène la belle vie à l'assemblée. Wi rakroukou fi ettai
a posté le 31-01-2020 à 11:38
Mais tout finira un jour ou l'autre et le peuple (oui le peuple ! on verra bien) se débarrassera de ces virus "corononahdha" le plus tôt possible, et ce pour que la Tunisie reprenne la voie initialement prévue en 1956 et ce vers le progrès et le développement.
Farouk
Delire total.
a posté le 31-01-2020 à 11:23
Les palestiniens ont bon dos, chaque president musulman qui gere mal son pays et n'a pas des solutions a ses echecs, plaide la cause palestinienne.
Occupez vous de la Tunisie car cette dermiere coule.
veritas
Ce président est un malheur qui s'abat sur la Tunisie.
a posté le 31-01-2020 à 10:44
Ce président se trompe de pays il est convaincu qu'il est un président palestinien et non pas tunisien y'a t-il quelqu'un qui puisse lui expliquer que la Palestine n'est pas la tunisie .
Le projet de l'hôpital a été inauguré par Bce avec le Roi Saoudien en 2019 et le projet a été décidé en 2017 (parution dans le j.o.t en 2017)les travaux sont prévu en 2021 et la mise en service de l'hopital est pour 2024 ,le même projet prévoit aussi la rénovation de la fameuse mosquée de kairouan (fond de commerce des saoudiens).
Ce pseudo président fait du préchauffé comme il a l'habitude de le faire avec ses ex étudiants,il s'accapare d'un projet mis sur pied par Bce pour montrer et faire croire qu'il a des projets pour le pays ...? Son seule projet c'est créer la zizanie avec les institutions internationales qui font financer le pays depuis maintenant 10 ans avec sa défense de bla bla bla inutiles avec son état palestinien qui n'existe pas et pour le quel il se trompe d'endroit .
observator
La Tunisie change n en déplaise aux beni oui oui
a posté le 31-01-2020 à 10:38
Ce n'est plus le blabla du dictateur Bourguiba ni le discours lu de Ben Ali qui savaient tout sur tout et leurs toutous de journalistes qui leur font font le signe d amen avec leurs têtes.
Pour une fois, la majorité des tunisiens ont enfin
un président élu au suffrage universel direct qui respecte sa fonction et les respecte. Un président humble et ferme sur les principes.
C'est positif pour la dignité des tunisiens.

Il faut remarquer certains gestes d'impolitesse du journaliste chaouch Iheb telsque '"behi,, behi" pour couper la parole du Président en plus de son langage emprunté un peu à la rue ( c est quand même un comble qu un journaliste ne maîtrise pas l Arabe).
Sa collègue femme est restée professionnelle.
Moi
Hors sujet
a posté le 31-01-2020 à 10:25
Qu est ce qui a été fait concrètement en 100jours
C est une rencontre pendant laquelle on note que rien de palpable n a été fait jusque la mais il y a encore des promesses pour que des choses soient faites plus tard
La ou il y a de la vie il y a de l espoir!!
takilas
Enfin !
a posté le 31-01-2020 à 10:14
Tout s'illumine pour La Tunisie.
Que d'autres projets et initiatives à envisager !
Pourvu de retrousser les manches.
Que les saboteurs disparaissent de la scène !
Tunisino
Un président scolaire
a posté le 31-01-2020 à 09:57
C'est un président scolaire, il n'a rien appris de la vie et de sa profession, il est à la hauteur d'un élève au lycée, c'est pour cela que les jeunes s'identifient à lui. Marzouki, le dérangé mental, était nettement supérieur à ce handicapé mental. Les tunisiens doivent être très mauvais pour mériter les imbéciles de l'après 2011!
Badran
C'est honteux
a posté le 31-01-2020 à 09:47
C'est honteux que le président de la République répond en arabe littéraire et les deux journalistes lui posent les questions dans un mélange d'arabe littéraire et d'arabe dialectal!
halasneb
3/10
a posté le 31-01-2020 à 09:37
Réalisations ?
Projets ?
Perspectives ?
Pas convaincant !
Note :3/10

Badran
Oui il était convaincant, mais il n'a pas abordé un sujet essentiel!
a posté le 31-01-2020 à 09:37
J'aurais souhaité que Mr le Président aborde le sujet de kidnapping des citoyens. De par la loi antiterrorisme, la police peut kidnapper n'importe quel citoyen pendant 15 jours, et que fera t on de lui pendant ces 15 jours? Avec ce kidnapping, la Tunisie est devenue une 1ère dictature dans le monde qui autorise et légalise le kidnapping, chose qui n'existe même pas en Corée du Nord! Avec un tel abus, vous osez encore parler de démocratie en Tunisie, vous me faites rigoler!
Il n'a pas abordé non plus les fichés S17!
Satisfait
Bravo President!
a posté le 31-01-2020 à 09:34
Bravo President! Sobres et pertinentes reponses.
Le systeme et ses serviteurs continueront cependant de vous denigrer quoique vous dites.
Leur grand probleme et qu ils ne peuvent vous controler et diriger. Ils ont tous fait pour que Abu Dababa s installe a Carthage et enragent de vous voir a la place de leur magouilleur en chef
Soyez vous meme president et bonne chance!
Abir
3arka wa chhoud 3la Dhbihet Kanfoud
a posté le 31-01-2020 à 09:25
On lui a présenté les journalistes qui sont au niveau de ses 100 jours ! Une question bidonne = une réponse bidonne
A4
100 jours après et robocop n'a toujours pas libéré la Palestine !
a posté le 31-01-2020 à 09:25
ROBOCOP
Ecrit par A4 - Tunis, le 14 Octobre 2019

Et Robocop parla
Récita sa leçon
Slogans et tralala
Sous forme de chanson

Il nous parla enfin
Tel un disque rayé
Répétant son refrain
A gorge déployée

Il se vanta même
De son programme absent
De ses grands dilemmes
Sur un rythme lassant

Il dit et répéta
Qu'il n'avait pas le sou
Que c'est bien à l'Etat
De se charger de tout

C'est bien l'Etat qui doit
Se mettre à vos pieds
Ne bougez pas le doigt
C'est à lui de casquer

C'est cet Etat maudit
Qui a pour punition
Gérer la tragédie
De cette révolution

L'Etat est mieux soumis
Faible, sans édifice
Victime du tsunami
De tous vos beaux caprices

A vous de rêvasser
De chemins balisés
L'Etat doit se presser
De tout réaliser

Il répéta encore
Des vieilles obsessions
Hurla son désaccord
Sur toutes concessions

C'est beau à entendre
Me dit l'ami Lénine:
"Quand on n'a que vendre
On vend la Palestine ..."
A4
Je note:
a posté le 31-01-2020 à 09:05
100 jours après et il n'a toujours pas libéré la Palestine !!!
Mansour Lahyani
PAUVRE PAYS, PAUVRE, PAUVRE PAYS !!!
a posté le 31-01-2020 à 08:46
C'était un véritable festival : un Président nul, en face d'un pseudo-journaliste encore plus nul que lui ! Ca fait bien longtemps que Iheb Chaouech s'est bâti la réputation du plus médiocre (pseudo-) journaliste de Tunisie, qui pourtant en compte une tapée : le plus stupide de tous !! En face, un ectoplasme titubant, dont la seule performance télévisée au bout de 100 jours n'a réussi qu'à rendre la vision nationale encore plus sombre, et moins acceptable !
Pauvre pays, pauvre, pauvre pays...
Abir
Darda wa choux 3la dhbihet kanfoud
a posté le 31-01-2020 à 08:45
Deux journalistes fades comme leurs questions, desordre dans les questions, on les commence puis on va à un autre, on revient au précédent et on ne va jamais ni au bout du question ni du réponse , un président qui se prend pour Trump, vous dites ce que vous voulez et je fais que ce qui est dans ma tête , bref on a eu les réponses aux niveaux des questions et un Président aux niveau de peuple !
Tounsi-Horr
@ mamout
a posté le 31-01-2020 à 06:51
L'histoire se souviendrait de vous comme étant le premier " NABBAR " d'aprés les cent jours de monsieur Kais Said à Carthage
Il vous reste maintenant 265 jours pour préparer votre TANBIRA pour premier Anniversaire d'investiture de son excellence
élève
Les trois trous de kilimanjarou(*)
a posté le 31-01-2020 à 01:59
Et vous zappelez ça "l'essentiel" de l'interview?
C'est à lire en diagonale pour ne pas zapper.

(*) hi hi hou ha ha... la page du dictionnaire a été arrachée par le Hamas...pardon le 7ammas d'à côté.
Fakhri
Très FIER de ce PRESIDENT
a posté le 31-01-2020 à 00:06
On peut critiquer beaucoup de choses chez ce Président (manque d'expérience politique, parfois naif, projet de société mal ficelé, etc) mais vraiment c'est une fierté d'avoir à la tête de notre pays une personne aussi intègre, propre et rassembleur.
A mes compatriotes, faites un petit exercice simple: regardez les pays arabes et au delà si vous voulez et donnez un seul nom qui peut rivaliser avec notre Président dans le domaine de l'honnêteté, simplicité et le respect de la constitution de son pays. Loin des magouilles politiques et la soir du pouvoir quelque soit le prix.
Il va encore faire des erreurs car on n'apprend pas ce métier, on l'incarne et on se l'approprie au fil du temps. Tout le monde ne peut pas avoir l'anticipation et l'intelligence politique de Bourguiba. Ce Président possède d'autres qualités et le plus important est qu'il apprend vite. Il va nettoyer la vie politique en Tunisie..Il fera tout pour élever le niveau et mettre le pays sur les rails malgré les multiples difficultés qu'il va rencontrer.
Il fera du bon boulot en espérant que Dieu le préserve physiquement !!! des empêcheurs de tourner en rond...ils sont présents dans tous les pays du monde.. ce n'est pas une spécialité tunisienne.
Bon courage mon Président
Ahmed
Monsieur capucin
a posté le 30-01-2020 à 23:40
Un président a la hauteur de son café.
Achille
Merci de corriger le contenu du paragraphe sur les martyrs
a posté le 30-01-2020 à 23:23
Quand vous couper une phrase de tout un discours sans mettre trois point avant et après vous changez (sans le vouloir) le sens de celle ci.

(Trois points) les martyrs meurent encore (trois points) il est nécessaire de classer le dossier.

Quand vous couper les paroles sans en informer le lecteur, vous changer le sens des phrases, donc du discours, donc vous dénaturer les propos du président de la république.
Beidou
Vous parlez de débat !.....
a posté le 30-01-2020 à 23:19
Et c'était quoi l'essentiel !?
Achille
Merci de corriger le contenu sur le paragraphe a propos de la visite de Sidi Bouzid
a posté le 30-01-2020 à 23:15
Sur le paragraphe où vous parlez de la visite a Sidi Bouzid, les dires que vous traduisez ne correspondent pas a ce sujet, vous avez confondu le contenu, merci de replacer ce qui a été exactement dit sur le sujet.
Achille
Merci de corriger votre traduction qui dénature les propos
a posté le 30-01-2020 à 23:12
Sur le paragraphe concernant le centre hospitalier, vous parlez de blanchiment d'argent, ce terme n'a pas été utilisé par le président de la république, merci de l'enlever et de traduire exactement les mots du président de la république, car vous avez changer en plus le sens de la phrase.
Noname
Utopie et amateurisme!
a posté le 30-01-2020 à 23:09
Une prestation insipide incolore, inodore, qui au demeurant nourrit la perplexité, voir même l'inquiétude quant aux risques et retombées néfastes dus au manque de discernement, en matière d'analyse politique nationale et internationale, sans oublier la dimension diplomatique
Que la Tunisie en soit préservée !!
Ridha_E
Trop de retenues et d'insuffisance des deux parties
a posté le 30-01-2020 à 23:09
A chaud, je dirai que
- les journalistes étaient peu incisifs, très révérencieux et en deçà des attentes.
- le président était bavard, pas clair et peu convaincant.
Que ce soit sur la visite d'Erdogan qu'il considère comme normale alors qu'elle lui a été imposée par ce dernier, que ce soit sur l'accueil des enfants des terroristes, que ce soit sur le choix de Fakhfakh, que ce soit au sujet des braquages et de l'insécurité et j'en passe, rien dans ses réponses n'a été vraiment convaincant.
Au contraire, j'avais l'impression qu'il continue sa campagne électorale alors qu'il est président et se doit de quitter son statut de monsieur tout le monde.
Au final, je peux affirmer que j'ai perdu mon temps et que mon inquiétude n'est que plus grande.
yasmina
des questions nuls
a posté le 30-01-2020 à 22:34
et discour toujours populiste et trop vide
Mamout
Oh mon Dieu!
a posté le 30-01-2020 à 22:25
Un seul titre à cette interview: La confusion. La coquille est vide. Point à la ligne.

Autrement dit aux TN: Circulez, y a plus rien à voir..La hawla wala kouwata illa billah...
MH
@Mamout
a posté le 30-01-2020 à 22:20
Tout à fait d'accord avec vous: qualité technique très bas et compétences journalistiques médiocres et pourtant on a les moyens pour la réalisation des interviews top niveau, à Hiwar Ettounsi par exemple, mais accepterait-il d'aller chez Sami ElFehri
Mamout
'?talage de mauvais goût...
a posté le 30-01-2020 à 21:43
Une charte graphique désastreuse et une réalisation hors sujet. Un décor de galerie vide et bas de gamme, un éclairage de show biz vulgaire et totalement inadapté à l'émission, des couleurs indécentes, des plans mal choisis..et des journalistes (corporatisés) distants, nerveux et confus. C'est vraiment malheureux. L'audiovisuel public à besoin d'un chamboulement et d'une vision pour l'avenir.