La chargée de la gestion du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Appui à l'investissement, Sihem Boughdiri Nemsia, a exprimé sa satisfaction quant à la collaboration entre la Tunisie et la Banque Mondiale.
Une réunion s’est tenue, le 30 août 2021, avec le vice-président de la Banque Mondiale pour la Région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Ferid Belhaj ainsi que le directeur du département Maghreb, le responsable des opérations pour la Tunisie, des cadres de la même institution et le représentant résident de la Société Financière Internationale en Tunisie.
A cette occasion, Sihem Boughdiri Nemsia a rappelé que la coopération entre la Tunisie et la Banque mondiale s’illustre sous la forme d’appui aux réformes et aux projets de soutien au budget de l’Etat. Elle a, également, souligné l’importance de poursuivre cette coopération, surtout durant cette phase conjoncturelle délicate que traverse le pays sur le plan économique et financier.
La chargée de la gestion du ministère a précisé que les réformes à venir visent à donner un nouvel élan à l’économie tunisienne. Elle a, aussi, mis l’accent sur la nécessité d’amplifier ce soutien et d’y apporter plus de flexibilité en raison des priorités nationales et de la situation exceptionnelle que traverse le pays, tout en soulignant l'importance de l’aspect social dans les différents programmes de réforme.
De son côté, Ferid Belhaj a réitéré l’engagement de la Banque Mondiale dans l’accompagnement de la Tunisie afin d’assurer la réussite du processus démocratique et de la transition économique souhaitée. Il a, ainsi, souligné les capacités et opportunités existantes et permettant à la Tunisie de surmonter cette période sensible qu'elle traverse.
Ferid Belhaj a, aussi, précisé que la Banque Mondiale suit l’évolution de la situation en Tunisie et l’influence de celle-ci sur la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption.
Par la suite, il a affirmé que la Banque Mondiale continuera à fournir l’accompagnement nécessaire à la mise en œuvre des réformes économiques et sociales telles que les programmes de sécurité sociale et les projets d’appui aux femmes rurales.
S.G
Sans oublier les régularisations des salaires fantoches (pour la forme) destinés à leurs centaines de milliers de leurs partisans (concitoyens de leur région) qui ont été recrutés anarchiquement et pêle-mêle au cours de la période 2011-2015, dans la fonction publique à Tunis, et ce soit dans les ministères ou les sociétés publiques.
On ne peut imaginer les quantités d'argent alloués, depuis lors, pour que ces votants pour nahdha donant-donnant soient payés (pour la forme) et de même en vue d'habiter Tunis et de quitter et de dénigrer leur région du sud, alors qu'il faisait mieux vivre, d'autant plus qu'ils avaient des emplois et des rentrées d'argent provenant soit de leurs propriétés agricoles ou de leurs commerces lucratifs.
Et après ils sont défendus par les frères musulmans voraces et défiants avec insistance
