Le ministre de la Défense, Imed Memmiche a indiqué que célébrer la bataille de Remada de 1958 reflétait l’attachement de la Tunisie et sa fidélité envers ses martyrs et ses héros.
S’exprimant le 25 mai 2024 à l’occasion de la célébration de la bataille de Remada, ville du gouvernorat de Tataouine, Imed Memmiche a indiqué que celle-ci était la première bataille de la guerre pour l’évacuation au sud du pays. Il a salué les héros de cette ville.
Imed Memmiche a assisté à la cérémonie de levée du drapeau tunisien en guise de commémoration des martyrs de la bataille et il a déposé un bouquet de fleurs devant le mémorial érigé en l'honneur de ces derniers. Il a, également, visité l’exposition tenue à cette occasion et présentant la liste des martyrs et les principales étapes de cette bataille.
S.G
Les fables, les historiettes, les récits héroïques et les légendes nourrissant les mémoires des peuples fixées dans les traditions orales et maintenues vivantes par l'interprétation actuelle qui en est faite par les anciens, les conteurs, les personnages désignés à cette tâche.....
Les textes fixés par une institution idoine, pour les sociétés d'écriture font l'objet de soins jaloux, et des livres les gardent au sein de bibliothèques.....
La mémoire, ou ce que certains veulent entendre par cette notion, est l'objet de luttes, de disputes et de conflits ....au point que certains tentent d'ériger "leur mémoire" en priorité et avec privilège.
A contrario, d'autres sont tentés par un saut dans le vide, qui ne le reste pas pour tous puisque d'autres y veillent, en précipitant la société dans un mouvement irrésistible où Présent devient ay lui seul le contenant et l'expression de toute temporalité.
On le voit, les gens s'agitent, toujours pressés, pas le temps, parfois même ne prennent plus "le temps" de s'arrêter, passent d'une urgence à une autre sans toutefois prendre soin de bien parfaite l'ouvrage de l'instant.
Le temps, c'est de l'argent.
Une des ruses de cette entreprise de l'agitation consiste à obérer toute réflexivité, à voir inscrire dans un minimum l'espace du retour sur soi.
On n'a pas le temps.
On a vu réduire petit à petit les cours d'Histoire dans les programmes dans un mouvement parallèle à la montée en puissance de géants du Net dont les gourmandises sont illimitées, et qui nous mettent en fiches, des datas en conserves et le monde compresse dans des mémoires géantes propriétés de sociétés privées bientôt capables de dicter leur volonté aux '?tats, aux peuples ....
Alors, un peuple sans mémoire, c'est un peu comme un véhicule auquel manque l'élément essentiel pour durer. L'entretien.
La mémoire est ce qui fait qu'on est humain.
L'oubli nous permet de vivre.
Pas de voyageur sans bagages
Alors, oui, il faut enseigner l'Histoire.
Prendre soin des anciens.
Ils sont, aussi, notre mémoire.
BN, une petite question : Y avaient-ils des représentants des millions de partis post-2011 qui ont participé à la cérémonie, et plus particulièrement, ceux du front populaire, d'Ennakba, d'Ettayar, d'Ettakatol, etc....?
Cordialement
Merci
1. Insulter est l'arme des imbéciles, c'est le fond qui est à discuter.
2. Le commentaire contient 3 temps, alors que vous vous êtes contenté d'un seul temps, de la pure stupidité.
3. Le présent et le futur, comment rendre le MD intelligent et équipé en armes modernes et avancés, pour une meilleure Tunisie.
Vous voila trop stupides pour saisir un commentaire, et plus stupide pour le commenter!