La formulation préliminaire de l’initiative de sauvetage, baptisée « La Tunisie de l’avenir » de sauvetage du paysest achevée et l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a commencé à en discuter au niveau régional, a affirmé le secrétaire général adjoint de l’organisation, Samir Cheffi, jeudi 25 mai 2023.
Dans une déclaration à la Tap, le syndicaliste a indiqué que le document de l’initiative représente la vision et l’approche du Quartet (UGTT, Ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme (LTDH), Ordre national des avocats de Tunisie (Onat) et Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), ndlr), en ce qui concerne leurs perceptions et leurs propositions de solutions concernant les questions politiques, économiques et sociales.
Et d’expliquer que pour que ce document devienne officiel pour le Quartet, il faut qu’il soit discuté auprès de ses structures compétentes, chacune à part, dans le cadre de d’un travail démocratique et étant les seules parties ayant la légitimité d'approuver ou amender ce document. Suite à quoi, l’initiative sera présentée à la présidence de la République, en faisant abstraction du traitement positif ou négatif qui lui sera réservé.
M. Cheffi a souligné que la centrale syndicale ne vise aucun acquis politique ou pouvoir de quelque nature que ce soit de cette initiative et des initiatives précédentes. « Le seul acquis serait que notre pays se stabilise et avance dans la bonne direction par rapport aux préoccupations, les espoirs et les aspirations des Tunisiens pour un avenir meilleur pour tous les Tunisiens. Chose qui ne peut être réalisée que s'il y a une approche collective et participative dans laquelle s’impliqueront tous les enfants bienveillants de la Tunisie», toujours selon lui.
Début mai 2023, le secrétaire général adjoint avait spécifié que la rédaction du document était finie et que le projet sera soumis aux institutions des organisations participantes pour ajustement puis adoption, pour être officiellement soumise au chef de l’État dans deux à trois semaines.
I.N
Reste maintenant cette récalcitrante et devenue d'abord superflue et puis une lourde charge tant pécuniaire que de gestion pour la Tunisie.
Que cette archaïque "union" comprenne tout cela et ne s'ajoutera plus au fardeau supporté par la Tunisie déjà alourdi. âach mann fahim kadrou. Babourik zammar.