
Plus de trente professeurs universitaires de droit ont publié, le 31 mars 2022, une pétition contre la dissolution de l’Assemblée des représentants du peuple, la substitution du Conseil supérieur de la magistrature par une structure dépourvue d’indépendance et d’intégrité et la désintégration de l’Etat.
Les signataires de la pétition ont, également, rappelé la dissolution de l'Instance nationale de lutte contre la corruption et de l'Instance provisoire chargée du contrôle de la constitutionnalité des projets de loi. Ils ont critiqué la poursuite de députés ayant participé à la plénière du 30 mars 2022 en justice pour association de malfaiteurs et atteinte à la sécurité de l’Etat.
Les professeurs universitaires ont tenu à exprimer leur préoccupation quant à la situation politique actuelle et l’intention du pouvoir en place à poursuivre le processus d’exécution d’un projet personnel. Ils ont mis l’accent sur la monopolisation des pouvoirs provoquant la mise en place d’une autocratie et d’un régime autoritaire. Ils ont mis en garde contre la désintégration de l’Etat et toute atteinte à l’Instance supérieur indépendante pour les élections.
Les signataires ont, également, critiqué la volonté du pouvoir en place à promulguer une nouvelle constitution en se basant sur la consultation électronique, chose accentuant le flou dans lequel se trouve le pays.
Ils ont rappelé que la constitution était un contrat social entre le gouverneur et les gouvernés et qu’il ne pouvait se dire démocrate qu’en étant promulgué par des représentants du peuple.
Les professeurs universitaires ont, par la suite, exprimé leur inquiétude au sujet de la situation des droits et libertés en Tunisie et de la comparution de civils devant les tribunaux militaires. Ils ont appelé les forces politiques et civiles à s’unir et à refuser le processus imposé par la force afin de sauver le pays.
Parmi les signataires de cette pétition, nous pouvons citer : Chaker Houki, Wahid Ferchichi, Mouna Kraïem et Mabrouk Hrizi.
S.G
Le fait que ce soient des profs, n'avance rien.
Tous ces signataires sont à la solde d'Ennahdha et ses filiales.
Leurs signatures ne valent pas un kopeck, document sans valeur, à déchirer et à foutre à la poubelle.
Pourquoi tu persistes encore et tu signes, sur la feuille de route de tendance criminellement mensongère, imposée par le putschiste dictateur déchu Bourguiba, dans le seul but d'accaparer tout le pouvoir par une présidence régionaliste à vie, dans une "vierge" Tunisie, fraîchement libérée de la colonisation étrangère?
Toujours cette logique dictatoriale d'illogique humaine, de:"les autres sont plus intelligents que nous" et que "nous sommes un peuple d'animaux, qui avons besoin de dictature, de despotisme et de bâtons"!!!
Déjà les dictateurs Franco d'Espagne, Salazar du Portugal et Papadhópoulos de la Grèce, ne faisaient que répéter ce même disque: "nos peuples ne sont pas encore mûrs pour la démocratie et pour la liberté". Un mensonge dont reposait notre "Bou-Petit-Cou", toute sa stratégie de président à vie. Ce ne fût qu'à la suite de l'imposition des 6 pays fondateurs de la Communauté européenne l'Allemagne, la France, l'Italie, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg, de n'accepter ces trois pays parmi leur communauté européenne, qu'après la destitution de leurs susnommés dictateurs et de l'instauration de la vraie démocratie de régime parlementaire. Regarde maintenant ce que sont devenus ces trois pays "anciens éboueurs et mendiants d'Europe". Il n'y a pas une seule once de vérité dans ce mensonge de : "des peuples mûrs pour la démocratie et la liberté et d'autres, sont des esclaves-nés". Ce mensonge n'étant utilisé que dans les pays arabes source du civisme et de la civilisation humaine, parce que les colonisateurs déchus ont peur de notre intelligence et de notre pouvoir su l'humanité entière. Un pouvoir qui fait du monde arabe le nombril de notre globe terrestre, jusqu'au jour de la Résurrection, malgré tous leurs sabotages et malgré tous leurs crimes contre nos peuples.
Tous les dictateurs arabes répètent encore ce mensonge de : «nos peuples sont arriérés», nous disent-ils à la manière des dictateurs d'Espagne, du Portugal et de la Grèce, dans le seul but de s'emparer des richesses de leurs peuples, qu'ils dilapident pour leurs plaisirs personnels.
Sache s'il te plaît que la démocratie, comme d'ailleurs la dictature, elles s'imposent toutes les deux d'en haut vers le bas, non pas le contraire. Les Allemands ont vécu la pire des dictatures jusqu'à la fin de la deuxième guerre mondiale de 1945. L'administration militaire américaine a confié le poste de bourgmestre de Cologne à Konrad Adenauer en 1945. Lui-même devenu premier Chancelier de la nouvelle République Fédérale d'Allemagne, élu le 15 septembre 1949 avec une seule voix d'avance, malgré le soutien américain. Le reste tu le vois de toi-même.
Konrad Adenauer n'eut pas accaparé le pouvoir par la force armée, bien qu'il ait les colonisateurs américains à ses côtés, comme c'est le cas chez nous en Tunisie, avec nos colonisateurs français et leurs pions Bouguiba et consorts. L'ère du processus démocratique ne devra en aucun cas être interrompue par des klaxons de voitures et par les applaudissements des hypocrites et les apolitiques, qu'on trouve parmi tous les peuples de ce monde. Les Gilets jaunes de France klaxonnent et protestent depuis 2018. Mais, rien n'a changé dans la vie démocratique de la France. Ni article 80, ni des décrets présidentiels qui tombent et s'impriment dans le journal officiel à minuit, comme si on était les descendants de Dracula.
Bonne journée.
Je vous invite à méditer sur cette pensée:
Le Créateur,estaghfirou Allah,les a laissés pour la fin sachant bien que l'Islam étant lél âlèmine,sachant bien donc que les autres peuplades de la Terre,pouvaient yésslmou âlè trikhom mais qu'en revanche,eux-mêmes étaient incapables méch yésslmou âlè yéd quiconque:
"El âarabou èchèdou kofran ouè nifèquen ouè èjdérou èn lè yâalèmou houdoudè mè ènzèlè Allahou âlè rassoulihi,ouè Allahou âlimon khabir" SadakAllahou el âdhim.
Ramadhan kèrim.
30 professeurs universitaires sur 500 qui sont d'accords
N'est pas assez significative pour en parler
Alors messieurs dames l n'y a que la réalité du terrain et maintenant le parlement est fermé
Et les députés sont gelés
C'était le v'?u de tout les tunisiens
L'article 80 de la Constitution tunisienne impose la tenue en permanence du parlement tunisien. Kaïs Saïed bloque l'entrée du parlement par un bulldozer militaire et envoie les députés du peuple au chômage imposé. Déjà à partir de là, rien ne pourra plus appartenir à la moindre légalité de ce qui s'en suit de fausses argumentations, suivant la direction des poils de Kaïs Saïed.
Les pauvres étudiants en droit constitutionnel sont à présent désorientés, à ne plus savoir à quel "dieu" se vouer.
Les collègues de Kaïs Saïed ont raison d'agir, afin de sauver le sérieux de leur métier. Un métier que le président Kaïs Saïed a rabaissé à moins que celui d'un ouvrier en bâtiment.
Allah yostir Tounes.
"Le Travail s'arrache et ne s'offre pas";
De quel droit Constitutionnel parlez-vous? Incapables depuis 2014 d'ériger la seule Instance régalienne (Cour Constitutionnelle) à même de veiller au respect de la Constitution,à quoi vous attendiez-vous?
Si j'ai bien compris,vous résidez et vivez en Allemagne et vous avez acquis malgré vous cette discipline allemande et cet esprit citoyen d'un peuple habitué à la légalité et au respect des valeurs démocratiques depuis de longues décennies;
Vous voulez appréhender le Logiciel tunisien avec votre logiciel "germanisé",
ech tahki yè Hamma?
La Tunisie est arrivee au point de l autodestruction par sa propre sois disant elite politique domage
Ces crapules de Bluffesseurs, vendus, ces pauvres medbia feraient mieux de se la boucler, car, à chaque geste du Président Said, le gourou Ghannouchi leur fournit le pognon nécessaire pour qu'ils se mettent à aboyer.
L'Université tunisienne dont je fais partie, n'a rien à voir avec ces pauvres medbia.
S'ils en avaient et afin de prévenir le fait couru d'avance que le premier de leur collègue,une fois arrivé au pouvoir,en l'absence de Cour Constitutionnelle,ne se transforme,comme dans le cas ci-présent,en Mèwlènè el Emir ihéb yohkom ouahdou,et bien s'ils en avaient,pendant qu'il en était encore temps,cela eût été de militer matin,midi et soir en vue de parachever le processus constitutionnel,en dénonçant la faille géante,béante,de l'absence de cette même cour;
Et même aujourd'hui s'ils en avaient,s'ils étaient capables de bander dur,ce serait que leur pétition aille dans le sens de la Constitution en réclamant l'arbitrage imminent d'une Cour Constitutionnelle même provisoire,composée dans l'urgence telle que l'indique la Constitution et seule habilitée à révoquer cette décision de la tête de l'exécutif;
Car à quoi assiste-t-on aujourd'hui?
Une querelle Byzantine où chacun veut avoir raison,imaginez les sur le terrain sans arbitre,lè hèdhèkè hors-jeu,lè pénalty,lè mèthèmech faute,etc,etc,ti houmè bél arbitre ou zid âlih el FAR ou yéjêelhomchi yésslmou,khalli imaginez le bordel d'un match sans arbitre,évidemment le plus fort sur le terrain,celui dont le public gueule le plus,aura le dernier mot et réussira méch imèchi el partie kimè ihéb houwè;
Et Ainsi voguera la galère...... jusqu'au prochain..... soulèvement populaire.
Ti sayeb Salah fouk chnawa hathe
Portez plainte même chez le pape. Fini
Ils tournent vraiment en rond
Qu'ils se constituent en parti politique et s'adresse au citoyen lambda!


