
Le président coordinateur de la commission nationale consultative pour une nouvelle République, Sadok Belaïd, avait affirmé, lors d’un passage médiatique de la semaine dernière, que le président de la République, Kaïs Saïed, n’était pas proche de Ahmed Chafter, membre de la campagne explicative de ce dernier lors de l'élection présidentielle de 2019.
« Je suis le seul à avoir abordé le nom de Chaftar lors d’une discussion avec le président de la République. Il ne m’a jamais parlé de lui. Il m’a dit que lors d’une visite à Tozeur, un citoyen l’avait invité à déjeuner, à visiter sa ferme et à voir ses chevaux. Je n’ai plus eu aucun contact avec lui », avait déclaré Sadok Belaïd au sujet de Ahmed Chafter.
Cette déclaration semble avoir offensé Ahmed Chafter qui avait fait le tour des plateaux depuis les élections de 2019. Il avait affirmé avoir un lien de proximité avec le chef de l’Etat et s’était présenté comme l’un des théoriciens des fameuses nouvelles méthodes tant évoquées par les membres de la campagne explicative et adepte de la gouvernance par les bases.
En guise de réaction à la déclaration de Belaïd et après avoir disparu durant quelques jours, Chafter a affirmé que Sadok Belaïd mentait et a ajouté que ceci faisait partie d’un complot. Il a critiqué le silence de plusieurs personnes et a insinué que le président et des dizaines d’individus lui avaient rendu plusieurs visites depuis 2011.
Il a considéré que le silence s’inscrivait dans le cadre d'une campagne bien préparée. Celle-ci a été orchestrée par des personnes proches des centres du pouvoir et voulant exploiter le projet de la gouvernance par les bases selon lui.
Il a rappelé avoir quitté la campagne explicative telle qu'annoncée depuis quelques jours. Néanmoins, il a assuré que ceci ne signifiait pas avoir abandonné le projet de la construction par les bases et le processus entamé depuis le 25 juillet 2021 afin de rétablir le processus de la révolution. Il continuera à défendre avec férocité la position du "professeur président de la République" comme il l’a toujours appelé.
S.G


Win mechin win....
Est ce que c'est un BILL GATES, ELON MUSK noooooon c'est le theoricien de la democratie tunisienne ooouuuuiiiiiii....avec ses chevaux et sa senia
MAHLEK YA TOUNES ......
Maintenant ce comique "jéridi kharnèn", veut se faire reconnaître par un autre "Nèkira" de son espèce RCDiste, dont il comble de damnations "killèt errahma" même dans sa tombe. Un certain défunt "Mosbah Chafter", que personne ne connaît ni de près, ni de loin. Même pas dans sa région du Sud tunisien.
Ce lèche-bottes du "professeur Ostèdh" président, ne finira que comme son concurrent Sadok Belaïd. Tous devant les tribunaux de notre deuxième République tunisienne, pour répondre de leur haute trahison contre l'Etat tunisien, ses lois et sa Constitution, dont ils ont trahi même le serment et la confiance du peuple, aux services d'étrangers ennemis des Révolutions arabes.
Rien ne se perdra dans cette vie terrestre. Surtout pas en Tunisie.
Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Aucun d entre eux ne veut du bien pour le pays
Un débile profond véritable danger.
La démocratie par les bases ,c'est quoi ce baratin?