
L’ancien leader du mouvement Ennahdha, Abdellatif Mekki, a affirmé que la crise au sein du parti avait débuté en 2012. « Malheureusement, il n’y a pas eu de vrai débat sur la chose… Les erreurs du président d’Ennahdha Rached Ghannouchi ont conduit à l’annonce des mesures exceptionnelles et à la fragilisation des institutions du parti… Nous n’étions pas d'accord avec ce qui se passait avant le 25 juillet 2021 », a-t-il expliqué.
Invité le 28 octobre 2021 par la radio Shems FM, Abdellatif Mekki a considéré que certaines idées portées par le mouvement Ennahdha étaient applicables d’où la possibilité de former un nouveau parti politique.
Abdellatif Mekki a révélé qu’un groupe des 70 cadres démissionnaires du mouvement Ennahdha ont décidé de former une structure politique. « Cette structure aura probablement la forme d’un parti politique », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, Abdellatif Mekki a nié la possibilité de nommer Abdelfattah Mourou président de ce parti. Selon lui, il n'a pas été contacté pour participer à la création de cette structure.
Par la suite, Abdellatif Mekki a proposé la réinstauration de l’activité parlementaire. « Ceci devrait avoir lieu avec des changements au niveau de la présidence du parlement et de la composition de son bureau… Le parlement aura pour objectif de réviser la loi électorale afin de tenir des élections législatives anticipées », a-t-il expliqué.
Enfin, Abdellatif Mekki a appelé le président de la République à entamer un dialogue national inclusif.
S.G
Circulez vers d'autres cieux et laissez les tunisiens en pais loin de vos calculs et vos bassesses morales.
Mettez-vous au travail et laissez les tunisiens retrouver du travail loin de votre médiocrité et/ou oisiveté.
Je m'explique:
Les ennemis d'Ennahdha, ne reposent leur haine et leur hostilité contre ce parti de leurs «islamistes», qu'en rapport direct avec l'Islam et avec Rached Ghannouchi. Une injustice qui a garanti le succès électoral du parti d'Ennahdha depuis janvier 2011 et qui le garantira, au moins pour la prochaine décennie à venir. Une gigantesque réalisation, qu'aucun autre parti politique n'a pu l'atteindre démocratiquement en Tunisie, depuis des siècles et des siècles. Un «fonds de commerce politique» trop précieux, impossible à remplacer ou à succéder, par ceux qui pensent pouvoir tenir lieu d'une personne charismatique, du gabarit de Rached Ghannouchi. Une utopie enfantine, que le Docteur Abdellatif Mekki, Samir Dilou et tant d'autres galopeurs, qui veulent gagner une course rapide perdue d'avance, n'arrivent pas encore à décortiquer.
La haute politique n'est pas seulement la création d'un parti politique. La Tunisie compte déjà 209 partis politiques. Avec le nouveau parti d'Abdellatif Mekki et compagnie, il seront 210 partis politiques. Et après!!!
D'aucuns de ces partis politiques, n'ont pu tenir tête avec le parti d'Ennahdha à toutes les élections législatives et municipales. Il faut se demander au sujet de la source de cette raison magique. On la trouve sans nul doute, dans la corbeille du fruit des attaques mensongères et intrigantes contre le parti d'Ennahdha et contre son président Rached Ghannouchi. Des injustices haineuses contre le parti d'Ennahdha et contre son chef Rached Ghannouchi, venant à grande majorité d'ennemis de l'Islam. Maintenant, si le groupe d'Abdellatif Mekki, pense créer un nouveau parti politique, qui plaira aux ennemis d'Ennahdha et de Ghannouchi, comme le firent Mohsen Marzouk en créant son parti Machrouu Tounes ou Youssef Chahed en créant son parti Tahya Tounes, tous deux engendrés des intestins de Nida Tounes, c'est qu'ils vont eux-mêmes disparaître à jamais de la scène politique tunisienne. Il vaut mieux pour eux, d'attendre que la tempête politique créée par le président Kaïs Saïed, s'apaise et que la visibilité devienne claire. Rached Ghannouchi partira de lui-même. Ennahdha restera un grand parti politique pacifique, incontournable et imbattable. Tout le monde aurait appris la leçon de l'impossible et de l'imprévisible putsch du 25 juillet dernier. Qui sait ce qui en resterait de ce putsch du 25 juillet et qui sait, ce qui en resterait de ces ennemis de la Révolution tunisienne, qui nous ont saboté notre transition démocratique depuis le début de la Révolution du 14 janvier 2011!!!
Allah yostir Tounes.
Se rappeler les 4 vérités lancées à la face de l'islamiste frere musulman Rached Ghannouchi par le grand patriote Mr Mongi Rahoui :
" Vous avez beau remplacer la Djebba par des costumes, arborer des cravates de différentes couleurs, vous parfumer avec des parfums aux senteurs parisiens, changer quatre fois votre dentition, mais vous n'allez pas changer votre histoire ni effacer le fait d'avoir détruit la Tunisie pour le pouvoir vous êtes prêt à vendre la patrie à collaborer avec les criminels les contrebandiers les corrompus avec l'AIPAC avec Satan le parti islamiste possède les mêmes convictions que celles des extrémistes et des terroristes tel que Abou Iyadh. La diplomatie, dans ce contexte, est devenue un appareil secret pour Ennahdha qui assure que le parti ne souhaite que s'emparer du pouvoir, quel qu'en soit le prix.
« Vous ne pouvez vous soustraire à vos racines. Changez de cravates, portez des costumes, corriger votre dentition, vous restez le même ! Al Watad Unifié a été victime de vos assassinats politiques qui ont visé les martyrs Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Un jour, vous allez rendre des comptes vous exploitez les citoyens pour appliquer vos projets obscurantistes " par le député Mongi Rahoui
Allez voir un maboul qui pourrait éventuellement vous faire confiance.
Enfin une question '? pourquoi vous n'avez rien fait lorsque vous avez constaté le dérapage de vote secte et c'est maintenant que devenez courageux ?! Non jamais
Argent sale
Battu sur la ligne par une décision courageuse suite et conséquence du travail de fourmi menée encore plus courageusement par Abir Moussi et le PDL, il voudrait croire en un avenir désormais derrière lui.
Les islamistes ont tout tenté, les combines, les promesses, la corruption des électeurs et des élus.
Ils ont règné en maîtres absolus sur un pays qui s'était donné à eux faute d'avoir été prévenu que ce faisant il s'abandonnait, il se trahissait, il mourait.
Dix ans après, le beau merle vient nous chanter sa mélodie de l'oiseau qui se sentait mal en son nid.
Fadaises et petits récits dont le seul objectif est de se racheter une virginité.
Personne ne vous croit plus.
Vous avez sans désemparer creusé, labouré pour élargir votre emprise, et vous voilà renvoyés dans votre monde de magouilleurs sans foi ni loi.
Dieu que vous avez sali, vous punit.
Nous autres, avertis de vos manigances, nous vous renvoyons dans vis tanières.
Votre monde n'est pas le nôtre.
Ecrit par A4 - Tunis, le 18 Août 2020
Ils peuvent être cent, ils peuvent être mille
Tous ces bataillons ne sont qu'inutiles
Ils peuvent être mille ou même beaucoup plus
A quoi peuvent servir tous ces fous gugusses ?
Ils se ressemblent tous comme des gouttes d'eau
Qui tombent du ciel au fond du ruisseau
Qui tombent et coulent tout au fond du lit
Et coulent sûrement ce maudit pays
Ils peuvent être mille, les bons sont partis
Aujourd'hui les gangs s'appellent partis
Ils ont à leurs têtes les plus grands salauds
Leur but est unique: gagner le gros lot
Ils peuvent être mille, ça fait mille plaies
Qui rêvent d'occuper tous les postes clefs
Avec des ignares et des affamés
C'est l'unique chose qu'ils savent programmer
Ils parlent et radotent mais pour ne rien dire
Sauf que sans eux l'avenir sera pire
Que leur dictature est bien la meilleure
Que c'est l'unique qui mérite les honneurs
Et ils s'organisent en clans de mafieux
A moitié bandits et à moitié pieux
En se faisant passer pour de vrais saints
Pour bien cacher leurs sectes d'assassins !
Ils assassinent tout, vos espoirs et rêves
Ils assassinent tout, sans relâche ni trêve
Ils assassinent encore, c'est plus fort qu'eux
Car ils n'ont que ça dans leurs têtes de gueux
Puis même si parfois ils se font la guerre
A coup de dossiers et de sales affaires
Soyez sûrs qu'à l'ombre des crépuscules
Ils se serrent les coudes comme de vraies crapules