
Le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, a présidé ce mercredi 2 décembre 2020 une réunion de travail en présence des ministres de la Défense nationale, de la Justice et de l’Intérieur.
La réunion, précise un communiqué de la présidence du gouvernement, a été consacrée à l’examen de la situation sécuritaire dans le pays.
Hichem Mechichi a ordonné, à cette occasion, une action immédiate pour appliquer la loi et intervenir en coordination avec le parquet pour ouvrir des routes et redémarrer les sites de production.
Rappelons que des mouvements de protestation ont éclaté dans de nombreuses régions du pays pour revendiquer des plans de développement et de l’emploi. Ces mouvements ont conduit à la fermeture de plusieurs sites de production par les manifestants et à des pénuries enregistrées dans plusieurs régions, en Gaz notamment.
Jusqu’ici, le gouvernement a opté pour la prudence et n’a pas déployé une riposte sécuritaire ferme à l’encontre des manifestants. Lors des travaux de l’ARP, consacrés à l’examen du projet de loi de Finances 2021, de nombreuses interventions ont été consacrées au sujet. La majorité des députés ont déploré la fébrilité de l’Etat devant les agissements des protestataires et appelé à l’application de la loi à l’encontre de ceux qui bloquent les sites de production.
Le président de la République, Kaïs Saïed a aussi appelé à ce que tout soit mis en œuvre pour fournir aux Tunisiens les produits essentiels et a appelé à prendre les mesures légales nécessaires envers ceux qui bloquent les routes pour empêcher le ravitaillement de certaines régions.
M.B.Z
Mais faut-il encore que la république puisse exister déja la où elle est !
Non seulement il y'a un sentiment sur sa probable desactivation ou suppression, mais aussi celle ci a longtemps été une république désengagé !
Il s'agit donc de savoir tout d'abord si la république est encore la, ensuite que celle ci s'engage au près de ces régions, qu'elle les réintègre.
Le plan :
-En premier, rouvrir de force les sites de production, et calmer la situation par la force.
-En second, engager un plan de sauvetage pour ces régions, les réintégrer a la république.
Concernant la justice sociale dont il est question dans certaines prise de conscience, elle ne consiste pas uniquement en du développement, le développement c'est bien mais il faut d'abord que les conditions de vie existent, la justice sociale c'est la facilité de vie, une vie difficile pour le citoyen est une justice sociale inexistante ! c'est l'injustice sociale !
Et une vie facile commence d'abord par l'existence du pouvoir d'achat, or ce n'est pas un point qui est entrain d'être traité en Tunisie, le pouvoir d'achat est sous omerta ! or c'est un pilier des conditions de vies dignes, donc un pilier de la justice sociale. On peut pas parler d' un plan de développement pour plusieurs années, a long terme, alors que les gens crèvent et doivet survivre aujourdhui et demain, dans ces jours ci dans cette ère la l'actuelle ère de la guerre contre la stabilité et la prosperité. Le pouvoir d'achat, un contrat de citoyenneté et de droit entre la république et le citoyen, qui lui offre la possibilité de s'alimenter, de subvenir aux besoins matériels, et a s'asquitter de dettes, des factures, etc.. par la possibilité de le faire via la présence de la république, de l'état de droit, et de l'état de justice.
La démocratie n'est que la combinaison de ces trois composantes principalement.
Le bordel est d'abord une question a traiter immédiatement, avant de le traiter sur plusieurs années !
Les régions délaissés ne demandent pas du 'développement', elles qui sont des no man's land. Elles demandent d'abord de sortir de l'état de no-mans-landisation par une présence de la république, de l'état de droit, et de l'état de justice.
Et ceci est une question nationale et non pas régionale, elle doit être appliqué sur l'ensemble de la Tunisie, zone délaissés ou non, car la Tunisie en son ensemble est délaissé.
Mais faut-il encore que la république puisse exister déja la où elle est !
Non seulement il y'a un sentiment sur sa probable desactivation ou suppression, mais aussi celle ci a longtemps été une république désengagé !
Il s'agit donc de savoir tout d'abord si la république est encore la, ensuite que celle ci s'engage au près de ces régions, qu'elle les réintègre.
Le plan :
-En premier, rouvrir de force les sites de production, et calmer la situation par la force.
-En second, engager un plan de sauvetage pour ces régions, les réintégrer a la république.
Concernant la justice sociale dont il est question dans certaines prise de conscience, elle ne consiste pas uniquement en du développement, le développement c'est bien mais il faut d'abord que les conditions de vie existent, la justice sociale c'est la facilité de vie, une vie difficile pour le citoyen est une justice sociale inexistante ! c'est l'injustice sociale !
Et une vie facile commence d'abord par l'existence du pouvoir d'achat, or ce n'est pas un point qui est entrain d'être traité en Tunisie, le pouvoir d'achat est sous omerta ! or c'est un pilier des conditions de vies dignes, donc un pilier de la justice sociale. On peut pas parler d' un plan de développement pour plusieurs années, a long terme, alors que les gens crèvent et doivet survivre aujourdhui et demain, dans ces jours ci dans cette ère la l'actuelle ère de la guerre contre la stabilité et la prosperité. Le pouvoir d'achat, un contrat de citoyenneté et de droit entre la république et le citoyen, qui lui offre la possibilité de s'alimenter, de subvenir aux besoins matériels, et a s'asquitter de dettes, des factures, etc.. par la possibilité de le faire via la présence de la république, de l'état de droit, et de l'état de justice.
La démocratie n'est que la combinaison de ces trois composantes principalement.
Le bordel est d'abord une question a traiter immédiatement, avant de le traiter sur plusieurs années !
Les régions délaissés ne demandent pas du 'développement', elles qui sont des no man's land. Elles demandent d'abord de sortir de l'état de no-mans-landisation par une présence de la république, de l'état de droit, et de l'état de justice.
Et ceci est une question nationale et non pas régionale, elle doit être appliqué sur l'ensemble de la Tunisie, zone délaissés ou non, car la Tunisie en son ensemble est délaissé.
Ecrit par A4 - Tunis, le 10 Novembre 2020
Moi j'ai la faiblesse de croire
En tout ce que l'on me dit
Que le corbeau n'est pas noir
Et que les chats sont tous gris
C'est ma faiblesse, je l'avoue
C'est comme ça depuis longtemps
Je suis ainsi, voyez-vous
Je crois même les charlatans
Je crois l'idiot du village
Qui me dit tout effrayé
Que faute d'apprendre la nage
Des poissons se sont noyés
Je vous crois les yeux fermés
Sans jamais d'hésitation
Je me sens bien désarmé
Face à vos affirmations
Je crois tout ce que vous dites
Que vous êtes le grand vainqueur
Que vous avez le mérite
De céder aux arnaqueurs
Je n'ose rien mettre en doute
Car je vous trouve bien hardi
D'avoir su quitter la route
Pour la céder aux bandits
Je n'aime pas qu'on vous critique
Car j'ai de l'admiration
A votre nouvelle tactique
De "victoire par soumission" !
B.N : Merci d'avoir attiré notre attention
"Vous avez manqué la nuit d'entrée (noces) oh mahboul"
Faudrait savoir !