
En seulement deux semaines, les réserves en devises de la Tunisie sont passées de 122 à 104 jours d’importation, enregistrant une baisse significative de 18 jours.
Le 15 janvier 2025, lors de sa rencontre avec le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT), Fethi Zouhair Nouri, le président de la République affichait son optimisme. Il affirmait que la Tunisie disposait de 122 jours d’importation en réserves de devises, un chiffre présenté comme une preuve du début du redressement économique du pays. Selon lui, cette amélioration devait profiter à l’ensemble des citoyens.
Mais deux semaines plus tard, le 30 janvier 2025, une simple consultation du site de la BCT révèle une réalité bien différente : les réserves en devises ne couvrent plus que 104 jours d’importation. Une baisse brutale de 18 jours, qui suscite interrogations et spéculations.
Une explication officielle absente, place aux interprétations
Selon certains experts, cette diminution s’explique par le remboursement d’un crédit important en devises par l’État (Près d’un milliard de dollars le 29 janvier). Toutefois, aucune communication officielle n’a été faite par les autorités, laissant libre cours aux analyses contradictoires des experts et aux théories fantaisistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux.
Si la Tunisie rembourse une partie de ses dettes, elle continue également à contracter de nouveaux emprunts. Or, selon la logique même du chef de l’État, il serait préoccupant de s’approcher dangereusement de la barre symbolique des cent jours d’importation, qui pourrait être interprétée comme un signe alarmant de détérioration économique.
R.B.H.

Déjà ici sur BN un articles détails très bien les contraintes de 2025
J'invite mr le journaliste a lire souvent BN il y a du bon matière et ces du solide
y a peut ètre autre xplication.
ajoutez: les bénefs des call centers, confection, grandes surfaces, .... exportés en devises pas des sionistes , pour aider leur isra-HELL à massacrer les Plaestinos.
SHAME ON YOU !!!
Bon on dépasse reste que la Tunisie et ellhamdou lillah à toujours honoré ses engagements.
Malgré la situation difficile l'état honore ses engagements de remboursement des crédits des années noirs de la gouvernance des khwanjias '?'.payer les pots cassés des autres n'est pas encore fini.
Facile de rejeter la faute sur les autres , vous avez tout les pouvoir, cree de la richesse ou degagez