Le président coordinateur de la commission nationale consultative pour une nouvelle République, Sadok Belaïd, a remis, ce lundi 20 juin 2022, le projet de la Constitution élaboré au sein de la commission, au président de la République, Kaïs Saïed.
La réunion, précise un communiqué de Carthage, a également été l’occasion de délibérer sur un certain nombre de nouvelles notions. Le chef de l’Etat a souligné, par ailleurs que le projet de constitution n'est pas définitif et que certains de ses articles pourront faire l'objet de révision et d'une réflexion plus approfondie.
« Nous remercions Dieu d’avoir pu respecter les délais. Les conditions étaient difficiles compte tenu du peu de temps que nous avons eu à notre disposition mais nous sommes parvenus, grâce aux efforts de tous, à remettre cette première version au président » a déclaré Sadok Belaïd à l’issue de la rencontre.
Aujourd'hui, 20 juin, est en effet le dernier délai pour présenter la proposition de la nouvelle constitution au président de la République Kaïs Saïed.
M.B.Z
l'imposer a hue dia au petit bonheur la chance de manière effrontée un achalandage de bric et de broc censé garantir les droits fondamentaux des citoyens et à organiser la séparation des pouvoirs........
.'Le cynisme c'est l'arme politique des gueux éduqués.'?'
Même pas conscients de leur forfaiture les pieds nickelés
La Tunisie subit actuellement une pression étrangère assez inédite dans l'histoire du pays, mais le Président tient bon. Les déclarations du Président algérien faites en Italie en mai sont véritablement surprenantes. Le rapprochement inédit de l'Algérie avec la Turquie, soutient principal d'Ennahda en Tunisie n'y sont peut-être pas étrangeres.
Mais il est très étonnant de voir l'Algérie être aussi proche de la Turquie (notre principal concurrent en matière de tourisme et de textile) alors même que la Turquie est un pays à la diplomatie trouble jouant sur tous les tableaux au moyen-Orient tout en étant un membre de l'Otan. Il faut tout de même rappeler que ce pays a été notre colonisateur commun pendant des siècles et n'a pas vraiment le Maghreb en haute estime.
Personnellement je préfère acheter les frigo Brandt de Rebrab que ceux de Beko.
Notre pays frère doit nous préférer à nos concurrents et ceci en mémoire du soutien indéfectible de la Tunisie durant la guerre d'indépendance de l'Algérie.
Comment expliquer que les frontières terrestres soient encore fermées aujourd'hui
N'a t-on pas l'ambition d'une Union économique avec l'Algerie
Que fait notre diplomatie dans une pareille situation?
Rien ne doit séparer ou distancier nos deux pays, il faut absolument une rencontre au sommet...la Tunisie doit passer avant la Turquie en Algérie et l'Algérie doit passer avant tout autre pays en Tunisie. Nous sommes frères et de la même famille, nous ne devons jamais l'oublier.
TAHYA TOUNES
Un opposant qui soutient une future dictature ne peut pas etre un opposant mais un opportuniste infiltré !
Personne n'est arrivé aux résultats économiques qu'avait Ben Ali. Personne n'est parvenu à rendre la Tunisie aussi sécure en terme de sécurité des personnes.
Opportuniste infiltré?
Je regrette que ce Président ne soit pas plus dictateur avec les corneilles de ton espèce , en effet...
Aussi, rendre l'inscription sur le registre des élections obligatoire assorti une carte d'électeur, une sorte de sésame, une sorte de laisser passer, qu'il faut présenter à toutes démarches du quotidien.
Le PSD et le RCD ont usé à volonté de ce truc pour nous imposer la dictature.
Notre nouveau dictateur peut faire de même voire un plus.
Que demande le peuple.
Se courber l'échine est un sport national pour le citoyen
tunisien et il ne peut s'en passer.
Cette constitution supposée être un CONTRAT en gouvernés-gouvernés et gouvernés-gouvernants est d'aucune utilité, elle manque de PRESSION!
BERNOULLI le dit et l'expérience le prouve... elle éclatera comme celle de 2014!
!?
Rédiger une constitution, document sacré pour tout un pays et tout un peuple, en quelques heures, en quelques jours, c'est du jamais vu.
Il n'ya que certains " constitutionnalistes tunisiens " qui sont capables de réaliser cette performance historique.
Fissaa..., il faut soliciter le gueness des records pour immortaliser le machin.
Le reste sans commentaires.
Qui plus est, Kaïser nous avait promis, après son coup d'?tat, un régime, dans son automnal décret
Qui « repose sur la séparation des pouvoirs [et] consacre l'?tat de droit », a-t-il disposé [74] b
Alors que son vice, en Montesquieu tunisien transformé, la séparation des pouvoirs, il l'a laminée
Car, pense-t-il, cette « théorie très connue de Montesquieu est aujourd'hui périmée »
Ainsi, Kaïser et son vice ont « une inconstance de girouettes », comme l'encyclopédiste Diderot dirait
Il faut dire que ce dernier, depuis qu'il est vice-K, les contre-vérités sont devenues sa spécialité
Ainsi, il a déclaré « que Dieu pardonne à ceux qui ont refusé, au dialogue, de participer ! » [74] c
Alors que le lendemain, il a révélé «je voulais vous dire que nous avons invité
42 personnalités qui étaient toutes présentes à la réunion du Haut comité
Et cela, malgré les pressions et les interventions que ces personnalités avaient supportées
De la part de ceux qui se prétendent savants en fikh et en politique », ce qui est un avéré [74] d
Pur mensonge, car, la veille, à une déferlante de communiqués de refus, nous avons assisté
Parmi les personnalités qui ont décliné l'invitation, je peux, sans être exhaustif, citer
Soufiane Ben Farhat, Hatem Mliki, et, comme dit Sghaier Ouled Ahmed, l'un de mes poètes préférés [70]
Les « Hraier Tounès », « Femmes et demies », Ahlem Belhaj, Yosra Frawes, à qui il faut ajouter
Amel Grami, Dorra Mahfoudh, Emna Menif et Neïla Zoghlami ; d'où ses contre-vérités *
'?'?'?'?'?'?'?'?'?'?'?'?'
* '? partir de la dernière mise à jour de mon poème intitulé : «E-Istichara : Monsieur le Président Kaïs Saïed, à votre place, de Gaulle partirait », poème comportant plus de 2100 vers et, environ, 170 références, paru sous le lien suivant :
https://blogs.mediapart.fr/salah-horchani/blog/210322/e-istichara-monsieur-le-president-kais-saied-votre-place-de-gaulle-partirait