
Le Tribunal de première instance de Tunis 2 a décidé de reporter au 27 octobre 2025 l’audience prévue dans le cadre de l’affaire des parrainages impliquant Ayachi Zammel, ancien candidat à l’élection présidentielle, ainsi que son ancienne assistante de campagne, Siwar Bargaoui.
L’avocat Sami Ben Ghazi, membre du comité de défense d’Ayachi Zammel, a indiqué à la TAP que la demande de report avait été formulée par la défense, afin de présenter les copies légales de jugements rendus dans la même affaire par la même juridiction. L’objectif est d’éviter une éventuelle double poursuite, son client ayant déjà été jugé pour les mêmes faits.
L’affaire concerne des soupçons de falsification de parrainages électoraux dans le cadre de la candidature d’Ayachi Zammel à la présidentielle de 2024.
Pour rappel, Ayachi Zammel est incarcéré depuis le 5 septembre 2024.
Parmi les principales condamnations figurent celle du 5 septembre 2024 (cinq ans et huit mois de prison), celle du 1er octobre 2024 (plusieurs peines cumulées totalisant douze ans de prison), et celle du 3 octobre 2024, pour laquelle la cour d’appel de Jendouba a confirmé une peine de vingt mois de prison.
Quant à Siwar Bargaoui, elle est également poursuivie pour falsification de parrainages. Arrêtée le 27 septembre 2024, elle a été condamnée en première instance à trois ans de prison dans chacune de quatre affaires, soit un total cumulé de douze ans de réclusion.
M.B.Z


Si Mr. Kais Saied avait un minimum de bon sens, de moral de bon musulman et une bonne éthique sociale, il aurait depuis longtemps déjà
1. ) accordé une grâce présidentielle à Madame Sonia Dahmani, à Madame Abir Moussi et à la majorité des victimes de la limitation de la liberté d'expression.
2.) accordé de même une grâce présidentielle à Mr. Ayachi Zammel et à Madame Siwar Bargaoui victimes d'une loi électorale pleine d'erreurs de pensée, de contradictions et de dilemmes --> l'actuelle loi électorale est une charabia inutilisable. On voulait récemment faire deux élections législatives partielles, rien de cela car l'actuelle loi électorale à trop de lacune / défaillance et ne fonctionne qu'avec les décrets présidentiels. --> dans aucun pays démocratique on ne fait d'élections législatives partielles à la suite du départ d'un député, on prend tout simplement le suivant sur la liste d'Attente des votés...
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Pourquoi ces grâces présidentielle? Réponse: Il n'y a pas et il n'y aura jamais de développement socio-économique et scientifique sans la garantie de la liberté d'expression et sans une justice indépendante dans un pays sans richesses naturelles et dont le seul capital sont les capacités cognitives de son peuple...
Fazit: Liberté pour Madame Sonia Dahmani, pour Madame Abir Moussi et pour la majorité des victimes de la limitation de la liberté d'expression. Liberté pour Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar tout deux victime d'une loi électorale écrite sans aucune intelligence
B) La dictature du "ON":
- Le Tunisien est victime du "ON", et ainsi tout perd son vrai sens par la dictature et le despotisme du "ON" qui agresse notre intelligence et règne sur notre comportement d'une façon "anonyme": Le Tunisien approuve de faire revivre (mettre à nouveau en usage) un meunier d'avant 1912 car "On" l'approuve, sans même se demander si c'est raisonnable.. Le Tunisien approuve l'amendement de la loi sur les chèques car "On" l'approuve sans même se demander pourquoi. Le Tunisien est entre-temps convaincu que le taux d'inflation de 5,7% à 6% est un bon résultat macro-économique alors que son porte-monnaie en souffre , car le "ON" le pense ainsi. --> Il y a une pression sociale et une uniformisation de l'opinion des Tunisiens, et ceux qui osent avoir des idées/opinions personnelles sont généralement traités de traître à la patrie et de comploteurs à l'image de Madame Sonia Dahmani ou encore Madame Abir Moussi --> Elles sont emprisonnées car elle se sont libérées un tout petit peu (un epsilon) de la dictature du "ON" --> le Tunisien est en servitude involontaire du "ON" par peur de l'emprisonnement abusif et non justifié et ainsi "ON dit" ce que l'on doit dire.
C'est pareil avec l'emprisonnement de Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui. On les a condamné à 35 ans de prison (entre-temps beaucoup moins) car "ON" est persuadé qu'ils sont coupables même sans preuve convaincante. Par contre l'intelligente juge qui est d'opinion contraire que celle du "ON" et qui a ainsi libéré Mr. Zammel par évidence de son innocence, elle a été discriminée par le "ON" et elle en a subi les conséquences. Mais qui est derrière ce "ON"? La réponse devrait être évidente.
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De ce fait, le Tunisien n'est plus lui-même, Le "ON" l'a déchargé de son être. Or on a pensé, qu'avec l'arrivée de KS, que l'on allait découvrir enfin les pensées des lumières qu'a connues l'Europe au temps de Kant que je cite "L'état de minorité est l'incapacité de se servir de son entendement sans la conduite d'un autre. On est soi-même responsable de cet état de minorité quand la cause tient non pas à une insuffisance de l'entendement mais à une insuffisance de la résolution et du courage de s'en servir sans la conduite d'un autre. Sapere aude ! [Ose savoir !] Aie le courage de te servir de ton propre entendement! Voilà la devise de l'Aufklärung"
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Alors qu'aujourd'hui le "ON" nous impose ce que nous devons lire, parler, manger et penser, sans aucune chance d'échapper à sa dictature. Nous n'avons que le choix de nous fondre dans la masse et d'admettre les idées imposées par le "ON" sans les mettre en question, sinon nous risquons trop. Et qui est derrière ce "ON"? La réponse devrait être évidente...
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Cette variable servira a libérer les Tunisiens opprimés Aussi,il sont en nombre vertigineux.
ALLAH issehil
A) La composition des membres de la cour constitutionnelle d'après l'actuelle constitution est la suivante
a1) Quatre membres de la cour constitutionnelle doivent être élus par le conseil supérieur de la magistrature (CSM). Or les membres de "notre" CSM ont été nommés par Kais Saied --> aux lecteurs de tirer des conclusions intelligentes / utiles
a2) Trois membres restants de la cour constitutionnelle doivent être élus par le parlement. Or pourrions -nous faire encore confiance a "notre" parlement après sa déformation de la loi électorale à quelques jours de l'élection présidentielle?
a3) Quatre derniers membres de cette cour doivent être nommés par le président de la République.
Fazit: même si on aurait bientôt une cour constitutionnelle, elle serait probablement au service du Président de la République.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
C'est dans l'intensité, la régularité et le renouvellement du débat socio-politique / -économique que se forge le gouvernement du peuple. La bonne santé de notre jeune démocratie tunisienne se mesure à ses contre-pouvoirs. Voilà pourquoi l'indépendance des médias, de la justice, l'activité syndicale et la qualité du débat parlementaire concernent tous les Tunisiens.
- 1. d'une Cour Constitutionnelle, --> avant la promulgation d'une loi, elle devrait être soumise à un contrôle de constitutionnalité exercé par la Cour constitutionnelle --> ce qui nécessite une constitution sans erreurs de pensée, sans contradiction, sans dilemme et non écrite en solo sur mesure. Même les lois et les décrets ne devraient pas être en contradiction avec la constitution....
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Malheureusement, la Tunisie fonctionne aujourd'hui à travers une confusion de décrets présidentiels qui se placent par abus de pouvoir au-dessus de la constitution et des lois
- 2. d'une justice indépendante,
-3. d'un Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République
--> La fonction première du CSM est d'assurer l'égale application de la loi et de protéger les droits et libertés des personnes, notamment contre l'éventuel arbitraire du pouvoir.
--> Par ses prérogatives le CSM contribue à la gestion des ressources humaines du corps de la magistrature. Par son rôle disciplinaire, il vise à garantir l'exemplarité des juges et procureurs. Enfin, par ses travaux, il est une instance de réflexion sur le fonctionnement de la justice, sa déontologie et les valeurs de l'Etat de droit doivent guider son action. En Allemagne, il y a une page Internet du CSM afin de dénoncer les injustices et les dépassements des juges et du système judiciaire même. --> ceci ne fait un sens que si les membres du CSM sont votés et non pas nommés par la dictature
- 4. d'une Cour de cassation dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République --> la Cour de cassation est le juge du droit. Elle a pour mission de contrôler et d'unifier l'interprétation de la loi afin que les règles de droit soient appliquées de manière identique par l'ensemble des tribunaux et des cours d'appel de l'ordre judiciaire. Elle ne réexamine pas les faits qui sont à l'origine du litige, mais vérifie que la loi a été correctement appliquée et que les règles de procédure ont été respectées. La Cour de cassation ne se prononce donc pas sur le conflit qui oppose les parties, mais sur la qualité de la décision de justice qui a été rendue. --> Dans certains cas, on ne peut pas faire appel d'un jugement, alors il faudrait faire recours à un pourvoi en cassation, qui ne rejugera pas l'affaire sur le fond mais vérifiera le respect des règles de droit
- 5. d'une loi électorale intelligente, sans erreurs de pensée, sans contradictions, sans dilemme et non écrite en solo...
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Je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] de ces faits, chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné" voir Business News TN du 17/09/2024 | 10:28
- 6. d'une Constitution intelligente, sans erreurs de pensée, sans contradictions, sans dilemme et non écrite en solo...
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Je cite Mr. Sofiene Ben Hamida: "En août 2022, il [KS] jette à la poubelle un projet collectif de constitution et publie sa propre constitution. Tant pis pour ce peuple nigaud qui a avalé sans réagir, la couleuvre des quarante six erreurs qui se sont faufilées dans le texte publié":))
voir Business News TN du 06/04/2025 à 15:59
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-> Je cite Mr. Mohamed Abbou,: "Selon la Constitution actuelle, en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle. " voir Business News TN du 19/01/2025 à 17:27
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c'est-à-dire qu' "en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle" --> mais nous n'avons pas de Cour constitutionnelle et ainsi pas de président de la Cour constitutionnelle --> et prétendre que notre constitution est géniale:))
- 7. des débats socio-économiques et -Politiques de haut niveau
--> notre récente élection présidentielle était dépourvue de tout débat socio-économique....
- 8. d'élections législatives, présidentielles et communales (municipales) justes et fairs,
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l'absurdité des 10000 parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à posteriori et qu'aucun candidat n'a pu passer saint et sauf à l'exception de KS par sa position...
- 9. la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
- b1) redonner aux parti-politiques le poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022:
----------b1.1) tout en gardant les emprisonnements sévères pour les parti-politiques qui achètent les voix des électeurs ou qui font la bagarre au sein du parlement.
----------b1.2) tout en interdisant le passage des députés d'un parti-politique à un autre (non au tourisme parlementaire). Exemple: Les députés de Nidaa Tounes que l'on a votés à l'élection législative sont passés à la concurrence Ennahdha afin de lui garantir la majorité absolue:))
----------b1.3) Revoir les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie --> voir le Postskript ci-dessous.
----------b1.4) pas besoin de parrainages à l'élection législative, il faut redonner aux parti-politiques leur poids politique qu'ils avaient avant l'élection législative de 2022
- b2) les parti-politiques qui ont des sièges à notre parlement devraient avoir le droit de proposer un candidat à l'élection présidentielle qui devrait être membre de leur parti politique sans cette histoire de parrainage.
-b3) Le Président de la République sortant ne devrait pas collecter des parrainages à l'élection présidentielle puisqu'il pourrait en avoir des millions par sa position à la tête de l'Etat tunisien.
- b4) Les parrainages à l'élection présidentielle sont réservés aux indépendants sans appartenance à un parti-politique et aux parti-politiques sans sièges au parlement. --> le filtre des candidats possibles à l'élection présidentielle se fait déjà lors de l'élection législative.
Malheureusement, Mr. Kais Saied n'est pas conscient de l'impossibilité de collecter 10000 parrainages lorsqu'on n'est pas Président de la République dans une Tunisie où les Tunisiens par leur culture refusent de signer quoi que ce soit, s'ils ne sont pas dans l'obligation de le faire: ceci par mesure de prudence... --> En effet, nos députés, et les soi-disant présidents élus de collectivités locales, et les soi-disant représentants du Conseil national des régions et des districts et les Tunisiens en général se mettent à l'abri de tout risque de faute judiciaire en refusant majoritairement de signer les parrainages, avec quelques exceptions.
--> les Tunisiens par leur culture et éducation refusent de signer à la légère à quelqu'un qui frappe à leur porte pour quoi que ce soit.
--> Les 10000 parrainages sont une mission impossible qu'aucun candidat n'a pu passer sain et sauf à l'exception de Mr. Kais Said par sa position du Président de la République. En effet, qui oserait ne pas signer un parrainage à l'homme le plus puissant de la Tunisie qui dispose encore d'un pourvoir absolu?
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-- l'actuelle loi électorale aurait dû partir du contexte et de la mentalité du Tunisien. Franchement, moi-même je refuse de signer un formulaire de parrainage. En effet, je suis extrêmement avare avec ma signature (c'est mon éducation).
- encore un point négatif de l'actuelle loi électorale --> dans une dictature sont rares ceux qui ont le courage afin de signer un parrainage pour un candidat adversaire du dictateur en place tout en donnant ses cordonnées (son adresse) et le numéro de sa carte d'identité.
- Encore un point négatif de l'actuelle loi électorale, je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à posteriori [. . .] chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné"
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L'emprisonnement de Mr. Zammel et Madame Bargaoui est extrêmement injuste.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
- A l'intérieur de nos différents partis politiques, la démocratie est/était compromise par des facteurs tels que d'accaparer le pouvoir par une minorité qui s'était auto-proclamée leader du parti et qui domine les affaires sans considération pour la grande masse des membres. Une telle situation empêche l'inclusion et limite l'opportunité pour les membres de façonner la politique d'un parti.
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On se demande, comment un parti politique peut gérer les affaires du pays, s'il est incapable de créer des organes chargés de l'organisation d'élections internes, tels que l'Assemblé Générale ou un Congrès National. La structure de nos partis politiques est en contradiction avec les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie. Combien de temps faudra à nos partis politiques afin de définir un statut interne? Il est inimaginable qu'un parti politique comme celui de Nidaa Tounes qui était au pouvoir et avait la majorité relative aux élections législatives n'avait pas de Statut et sans constitution interne. Qu'elle était l'idéologie, les principes et les objectifs du parti Nidaa Tounes? On ne le sait pas encore! Comment se fait l'élection des leaders? Rien n'est encore défini ou annoncé!
Fazit: Il faut revoir les lois qui définissent le fonctionnement des partis politiques en Tunisie, et obliger ces derniers à les prendre en considération.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
Je m'explique:
1) sur un million de Tunisiens résidents en France seulement 50000 ont voté et bien sûr les partis politiques Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 95% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 10 sièges étaient réservés pour la France
2) En Italie seulement 5800 votants et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 97% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents. --> en tout 3 sièges étaient réservés pour l'Italie --
3) Dans les pays arabes le nombre des votants étaient de 6800, et bien sûr Ennahdha et Etttyar avaient des candidats alors que 98% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
4) Au continent d'Amérique du nord le nombre des votants étaient de 4000 et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 99% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
5) En Allemagne le nombre des votants étaient de 4000 sur 100000 Tunisiens et bien sûr Ennahdha et Atttyar avaient des candidats alors que 96% de la totalité de nos partis politiques n'étaient pas présents.
Fazit des points 1 à 5:
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- Ennahdha a gagné autour de 17 sièges et Ettayar autour de 12 sièges grâce aux Tunisiens résidents à l'étranger avec un taux de participation inférieur en moyenne à 5% . Pourquoi? Réponse: parce que les partis politiques Ennahdha et Ettayar étaient les seuls à avoir les moyens et les privilèges (sans entrer dans les détails) afin d'avoir des candidats partout sur notre planète terre là où l'on trouve des Tunisiens.
- La même analyse est aussi valide pour l'élection législative de 2014. --> En 2014 le député représentant des Tunisiens résidents en Allemagne a gagné son siège avec 207 voix:)), alors que le nombre de Tunisiens résidents en Allemagne est de 100000.
- Nos élections législatives de 2019 et 2014 n'étaient pas fairs (justes) envers les Tunisiens, envers la Tunisie mais aussi envers 97% des partis politiques qui avaient très peu de financement et pas de privilèges comme ceux d'Ennahdha et Ettayar (sans entrer dans les détails) afin de présenter des candidats dans toutes les circonscriptions électorales en Tunisie et à l'étranger. Puis le taux de participation des Tunisiens résidents à l'étranger était trop faible et non représentatif.
--> Par contre ceci n'est pas une raison afin de jeter à la hâte le régime Parlementaire par-dessus bord, Il fallait le corriger et l'optimiser.
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Je propose d'avoir au maximum 3 ou 4 représentants pour tous les Tunisiens résidents à l'étranger.
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger
PS :
Notre constitution contient des erreurs de pensée et des contradictions --> Je cite Mr. Mohamed Abbou,: "Selon la Constitution actuelle, en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle. Mais en l'absence de cette institution, un flou juridique plane sur la gestion de toute crise majeure. Ce flou pourrait engendrer des conflits de pouvoir ou un chaos institutionnel, des risques inacceptables pour un pays aux institutions déjà fragiles", d'après Business News TN du 19/01/2025 "L'absence de Cour constitutionnelle, une bombe à retardement selon Mohamed Abbou"
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c'est-à-dire qu' "en cas de vacance du poste présidentiel, le pouvoir revient provisoirement au président de la Cour constitutionnelle" --> mais nous n'avons pas de Cour constitutionnelle et ainsi pas de président de la Cour constitutionnelle --> voilà une constitution qui ne veut pas le bien de la Tunisie et des Tunisiens, en supposant que l'actuel Pr'?dident de la République est immortel:))
De même notre loi électorale contient des erreurs de pensée et des contradictions. Je cite: "l'aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l'obligation d'une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori [. . .] de ces faits, chaque personne peut revenir sur son parrainage pour des raisons politiques ou pour faire chanter le concerné"
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Fazit: il serait injuste de garder Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui emprisonnés encore pour des années. En effet, il n'y a aucune preuve convaincante que Mr. Ayachi Zammel et Madame Siwar Bargaoui ont triché. D'ailleurs une juge tunisienne intelligente a libéré Mr. Zammel que d'autres juges l'ont contredite avec des conséquences fatales pour la juge même...
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- - Il n'y a pas de justice sans l'instauration de la Cour Constitutionnelle et du Conseil Supérieur de la Magistrature dont la majorité des membres serait élue et non pas nommée par le Président de la République...
Dr. Jamel Tazarki, Mathématicien Résident à l'étranger