
L’écrivaine Olfa Youssef a publié ce lundi 6 avril 2020 un petit texte ironique à l’encontre du président Kaïs Saïed et ce au lendemain de l’annonce de son déménagement de son quartier populaire de Mnihla vers Carthage.
Dans ce texte, elle imagine un dialogue entre un parent et sa fille :
- Quelles sont les limites du populisme ma fille ?
- Visiblement, le populisme n’a pas de limites et a pour objectif de toucher une sensibilité générale, mais il a quand même une limite, celui de l’instinct de survie.
- Et comment cela ?
- Ben comme par exemple tu laisses croire aux gens que tu es l’un des leurs et tu résides dans un quartier populaire, en dépit de ce que coûte ton déplacement au siège du pouvoir en frais de transport, d’efforts de tes escortes et d’embouteillages. Soudain, quand tu sens l’odeur de la révolution des affamés, tu oublies ta proximité avec le peuple et tu te rappelles que tu as besoin des murs d’un palais pour te protéger.
- Ce populisme finit-il ainsi ?
- Certainement que non ! Mais il prend d’autres formes qui convainquent de moins en moins, jusqu’à la délivrance.
Olfa Youssef achève son écrit par « extrait du livre ‘’Histoire du populisme de Mnihla à Carthage, éditions de l’ère damnée ». Un livre qui n’existe pas (encore).
A rappeler que depuis son élection en octobre 2019, Kaïs Saïed a refusé d’emménager à Carthage sous prétexte que c’était une de ses promesses électorales.
Il a dû s’y résoudre, visiblement après la manifestation observée la semaine dernière dans son quartier populaire de Mnihla. Des citoyens n’en pouvant plus de l’obligation de confinement et ayant besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins ont manifesté leur colère après le retard pris dans le versement des aides promises.
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R.B.H
écoute ma fille,avant,nous étions privilégiés ,la démocratie découlait de source.
maman; j'ai hâte d'en savoir davantage raconte moi stp
comment te l"expliquer ma fille.le premier président qu'on a eu était tellement plus grand que la nation qu'il fut proclamé le père de la nation et plébiscité président à vie.
il distribuait les satisfécits.figure toi qu'il fut tellement idolâtré que les festivités de son anniversaire duraient un mois!tout le monde y participait.comme on se faisait plaisir à l'admirer en train de se baigner.
quant à son successeur,il fut un modèle d'humanisme.il était tellement pétri de talent que son nom était partout scandé.le peuple ,reconnaissant,le priait de se présenter aux élections à l"infini.
dis maman et les élections ,comment c'était
c'était la transparence totale ,pas besoin d'isoloir .tout le monde votait .nos présidents avant étaient tellement intouchables qu'ils battaient tous les records.
donc maman c'était la belle époque.
absolument, tu imagines ma fille que nous avons eu un président dont l'épouse a obtenu le doctorat malgré ses charges quotidiennes de première dame.nos éminents universitaires en charge de lui donner des cours au palais n'en revenaient pas tellement elle les émerveillait de son génie.
comment maman ! tu pleures ......
Cette olfa en est un exemple.
Heureusement qu'il existe le président kaiess Saïd ..sinon BN vous n'avez plus rien à mettre sous la dent ?
Vous touchez le fond .
Lâchez le président.....il est soutenu par 90% de la population......peine perdue pour vous !!
Ce n'est pas une question de comparaison ni de nostalgie.
C'est une question d'expérience, d'intelligence, de vision et je peux dire même d'évidence. D'autres ne vont pas tarder à la voir et à la comprendre mais finalement, ils vont l'ignorer quand même.
De rappeler que cette ville compte actuellement (avec ces quatre gouverneorats) pas moins de huit milions d'habitants.
Cette vertigineuse augmentation demographique, est survenue au cours de la dernière décennie pour servir le populisme de nahdha la secte des sudistes, et ce en ramenant des centaines de milliers de sudistes vers Tunis.
Tunis est devenue tres sale, traes infecte et invivable depiuuis la nomination de cette par ghanouchi, et ce par haine, negligence et vengeance envers cette ville et ses originaires.
Pourtant pour désigner une tunisoise pour être maire de Tunis; mais seulement ghannouchi l'élu de nahdha, par la corruption, ne voit pas cette logique de ce point de vue, il estime que le printemps arabe a été concocté par les occidentaux qu'ils ont accueilli (avec nahdha) en 2006 en tant que réfugiés politiques de cirque en connivence avec Ben Ali, est destiné à coloniser Tunis par sa tribu, et dont on ne sait la raison de cette colonisation interne.
La maire de Tunis est complice dans cette détérioration de Tunis, et que tous les tunisois ont la mort dans l'âme en raison de cette injustice sociale.
Ce ne sera que l'avis d'une anti et cela ne nous apprendra rien !
C'eût été autre chose si elle avait fait preuve dès le départ d'une certaine "impartialité". . .et appréhendé "le phénomène" comme le ferait. . . un "phénoménologiste" !
Mais là, OY est trop impliquée pour qu'on lui accorde quelque crédit. . .
Maxula.
KS est un populiste personne n'en doute. Il est bizarre en plus.
Mais quand on commence a lui reprocher le même comportement qu'on ne reproche jamais aux autres ça devient ridicule Mme la groupie de bce
au lieu de se concentrer sur la conception et la strategie , notre premier general croit qu il va gagner la guerre enfaisant les petits boulots d un soldat
non mr le president ce n est pas comme ca qu on gere un pays !!!!!
réveiller vous Monsieur le Président et rendez vous compte que vous n'apportez aucune "plus value" par votre comportement
Nous avons ici un exemple irréfutable. Deux enseignants universitaires Olfa Youssef et Kaïs Saïed. La première est née dans l'aisance du Sahel de Bourguiba et le deuxième est né dans la ville agricole de Béni Khiar, au Cap Bon. La première essaie de s'enrichir par le courant islamophobe de Bourguiba. Elle se fait applaudir par les médias des Francisés pour une littérature de narration fictionelle, illustrée par de telles intitulations "Démunies de raison et de religion" ou "Confusion d'une Musulmane" ou "Le Coran au risque de la psychanalyse". Des titres d'attrape-nigauds parmi les non-musulmans, mais qui font le plaisir payant des ennemis de l'Islam.
Vive Olfa Youssef. Bravo Réré Olfa Youssef. Les plateaux des radios et des TV de Moïse, l'invitent par SMS. La fameuse "Universitaire" dépasse ses collègues à la manière d'Habib Kazdaghli. Non pas par les sciences et par ses articles de recherches publiés dans les magazines de renommée internationale, mais par son agressivité islamophobe dans les programmes de "andi mankokllik", où tout un lobby lynche un Imam tout seul.
De l'autre côté, un autre "Universitaire" Kaïs Saïed, qui ne parlait que pour expliquer l'honnêteté de la Constitution tunisienne, de par ses avantages comme de par ses inconvénients, avec une neutralité légendaire. Les Francisés se moquent de son arabe littéraire, qu'ils n'arrivent pas à comprendre, tout en l'exhortant à parler "sawaki" par leur langue de "dinommèk", qu'ils comprennent mieux. L'homme quitte à la retraite, habitant une cité populaire, sans s'être jamais absenté ni de son café, ni de la prière du vendredi, ni qu'il n'ait jamais manqué à sa foi, à son humilié ou à son devoir de Musulman par conscience, pour plaire aux professionnels de la religion autour d'Ennahdha et autres, ni qu'il n'ait jamais trahi la religion de ses parents, pour faire plaisir aux ennemis de l'Islam.
La vie professionnelle de Kaïs Saïed semblait avoir été consommée en sa totalité par l'âge de la retraite. Par contre, Olfa Youssef, le devance toujours par le biais de son milieu professionnel et de ses chandeliers médiatiques. Elle continue à dénigrer, à attaquer et à chercher encore à se faire taper sur les épaules, par la même catégorie qui lui offre les os habituels.
Maintenant, l'enseignant retraité Kaïs Saïed est haussé par le Tout Puissant, jusqu'à la présidence de la République, sans qu'il ne veuille changer de caractère, afin que notre Créateur Allah le Tout Puissant ne change avec lui. Alors que Olfa Youssef se moque de lui. Deux mondes différents à constater même par le rayonnement du visage. Kaïs Saïed devient de plus en plus beau de visage, d'allure et de sympathie de par le monde entier, alors qu'on ne pourrait le prétendre du côté de l'universitaire en service, Madame Olfa Youssef.
Chacun ce qu'il mérite. Une vérité à constater même au sein de ses propres proches et amis.
Pour le reste c'est une autre paire de manche; chacun est libre de ses choix selon son planning professionnel et personnel.
Kaïs Saïd est bien connu par les gens qui lui ont côtoyé, il ne cherche pas le confort, un homme de principe, très loyal , il compte même arrêter les malfaiteurs qui gèrent des partis connus ayant causé la pauvreté à notre chère Tunisie.
Qui est - toi Olfa pour parler de Kaïs Saïd.
Abstiens - toi et occupes toi de tes oignons.
Les plus jeunes ont en tête les images de Bernard Kouchner Bernard Kouchner porte, le 5 décembre 1992 au nord de Mogadiscio charriant un sac de riz, sous l'?il des caméras, qu'il a pris soin de convoquer. KS nous fait le même coup avec le carton de masques sur les épaules. Si ce n'est pas du populisme, alors c'est quoi
Cette pseudo universitaire n'a jamais cessé... d'attaquer k.said...juste par cause idéologique comme toujours..
Ces universitaire qui ne cherchent que le buzz sont le reflet réel du classement mondial de l'Université tunisienne ...
Par ailleurs, est-ce que KS a promis, durant la campagne électorale qu'il n'a pas menée que jamais, au grand jamais il n'habiterait au Palais, parce qu'il déteste les palais ? Je comprends mieux, dès lors, pourquoi il a été élu ! Mais cette entorse n'aura qu'un effet limité : après le confinement, on retrouvera les embouteillages, et les incessants va-et-vient entre El Mnihla et Carthage, et les flics excédés par ce manège...


