
L'avocate Dalila Ben Mbarek Msaddek a indiqué que le ministère public a décidé d'émettre, vendredi 5 avril 2024, un nouveau mandat de dépôt à l'encontre du journaliste Mohamed Boughalleb.
Dalila Ben Mbarek Msaddek souligne que ce deuxième mandat a été émis alors que Mohamed Boughalleb n’a même pas pu être auditionné.
Le ministère public a décidé d'émettre, à la date du 26 mars 2024, un premier mandat de dépôt à l'encontre du journaliste.
Mohamed Boughalleb est accusé d'atteinte à autrui via les réseaux de télécommunication et imputation de faits non avérés à un fonctionnaire public.
Le journaliste devait comparaître, le 3 avril 2024, devant la justice. Ceci n’a pas eu lieu en raison de son état de santé. L’audience a été reportée au 17 avril 2024 et la demande de libération déposée par le comité de défense rejetée.
Dans une déclaration accordée à Mosaïque Fm aujourd'hui, le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis, Mohamed Zitouna a affirmé que Mohamed Boughalleb a été soumis à des examens médicaux afin d'attester de son état de santé. Les examens avaient prouvé par la suite, toujours selon la même source, que l'état de santé du journaliste lui permettait d'être auditionné et de comparaitre devant le juge.
M.B.Z

Lâchez-lui la grappe ! ! !
Soutien à TOUS les journalistes, quelles que soient leurs opinons. (sauf les fascislamistes).
SALIM
JE CRAINS LE PIRE POUR LUI.
a posté le 23-03-2024 à 18:14
Car il s'agit d'une plainte émanant d'une MOHASSANE (dans le sens coranique et non de l'immunité 'JOURNALISTIQUE').Et surement elle a SES PREUVES DUMENT ENREGISTREES(On ne peut dire ce n'est pas ma voix , ni ma photo, ni ma page Facebook).Et je ne pense que ses ennuis avec la justice vont s'arreter la (sur les pas de l'autre Z.H),car il n'arrete pas d'utiliser les mots déplacés. Et je me rappelle d'un plateau télévisé du temps de l'avant 25 juillet. Et meme dans l'émission EDDENIA ZINA il y a de cela 2 ou 3 jours. A mon avis il y a des 'journalistes' qui nécessitent un suivi médical pour réduire leur nervosité et pour qu'il apprennent a se retenir. Et c'est fini la quete du BUZ.
La liberté du citoyen tunisien n'a aucune importance, d'ailleurs comme la vie du Tunisien, elle n'a pas de valeur pour le régime en place.
Oter la liberté d'un citoyen est tellement devenue une affaire banale dans cette tunisie.
Nous avons régressés aux pires moments de l'ère Ben Ali.
Il mérite la prison...il paraît il a eternué en plein centre ville et en plus le matin
..donc....
Hhhh
Free boughaleb

