
Le secrétaire général de la Fédération tunisienne des producteurs d’huile d’olive, Mohamed Nasraoui, a indiqué qu’une augmentation significative du prix de l’huile d’olive sera enregistrée dans la saison à venir.
Invité le 6 septembre 2023 par Wissal Kassrawi à “La Matinale” sur Shems Fm, Mohamed Nasraoui n'a pas nié le fait que le prix d’un litre d’huile d’olive pourrait atteindre, au cours de la prochaine saison, trente dinars. Il a cependant affirmé qu'il était difficile d'évaluer le prix exact qui sera pratiqué la saison prochaine. Au sujet de la saison actuelle, il a affirmé que les prix avaient déjà dépassé la barre des vingt dinars par litre.
« L'huile d’olive est régie par la règle de l’offre et de la demande. Aujourd'hui, nous sommes face à une saison bien particulière, c'est-à-dire que la quantité d’huile d’olive disponible diminue alors que la demande reste constante. C'est donc pour cela que les prix de l’huile d’olive vont potentiellement augmenter. En Tunisie, nous n’appliquons pas un prix préférentiel pour la consommation nationale et un autre pour les exportations. Notre huile d’olive est orientée vers l’exportation, donc nous vendons aux prix des marchés internationaux », a-t-il ajouté.
Mohamed Nasraoui a expliqué que l’huile d'olive n’était pas soumise à un prix de vente fixé par l’État, ce qui complique les choses au niveau du marché. Il a assuré qu’on ne pouvait pas anticiper le prix de l’huile d'olive, surtout en ces moments de crise. Il a également évoqué l’impact des changements climatiques et de la sécheresse actuelle sur les prix. Ces derniers oscillent sur un intervalle d’un mois, c’est-à-dire, qu’ils baissent légèrement puis s’élèvent. Ce phénomène peut être constaté en Tunisie, de même qu’en Espagne et en Italie.
Interrogé sur la prochaine saison, Mohamed Nasraoui a estimé que la production d’huile d’olive atteindra environ 180 ou 200 mille tonnes. Il a insisté sur la question des changements climatiques et de leur impact, notamment durant les dix dernières années. Sept d’entre elles ont été marquées par une période de sécheresse.
S.B.H
Le salaire moyen en France entre 4000 euros et 5 000 euros qui vaut en Tunisie entre 12 000 mille dinars et 20 000 mille dinars.
Alors en Tunisie le salaire moyen entre 1200 dinars et 2000 dinars
Je suis choquée quand je faisais la comparaison entre l'employé en deux pays
Où veut l'apporter le pays ces lobbies .
Pas mal .
C à moins de dix euro le litre .....
'?a va !
"Khobz ou Mè et ZABA, Lè".
Message reçu.
Il s'est concrétisé.
Aussitôt souhaité, aussitôt exaucé.
Pesé, c'est emballé !
Rabbi, soubhanou wè ta3ala, ne joue pas aux dés !!
Allez demander aux khamjines dont la plupart d'entre eux ont réintégré leur habitat naturel (El mornagia), de vous donner à boire, à manger à votre faim et à surmonter les effets de l'inflation, ...........etc..).
N'oubliez surtout pas ce qu'ils vous promirent avant de vous corrompre, lors de l'hiver arabe.
Ils avaient juré de vous offrir Monts et Merveilles !!!
Hahaahaha, hahahaha, hahahaha, et en fin de compte, ils vous offrirent du khra en quantité illimité, ya tammé3a.
Mais, comme la Tunisie est un îlot qui échappe aux pesanteurs, ou bien les subit plus intensément que le reste du monde, on affirme sans rire que le litre d'huile d'olive locale se vendra, ou se vend déjà, à un prix prohibitif.
Ces rapaces que rien ne rebute vont davantage priver le petit peuple, réduire l'huile d'olive à un produit de luxe réservé aux privilégiés.
C'était un peu le cas depuis quelques années, désormais on dépasse le mur du son.
Faut-il enquêter pour savoir si les salaires des ramasseurs, les petites mains qui crèvent parfois au détour d'un virage, à l'occasion d'un accident en raison des conditions de transport inhumaines, doivent des femmes d'ailleurs, donc si meurs salaires ont suivi la courbe ?
Je parie que non.
Indigne, inacceptable, une honte sans nom.
Il est beau le tableau.
Vous n'allez pas en vendre beaucoup!