Les prix s’affolent sur le marché des produits alimentaires dans une Tunisie qui vit au rythme des pénuries intermittentes et d’une inflation galopante. L’huile d’olive qui se vend actuellement à 25 dinars le litre, sera commercialisée au même prix à la prochaine récolte. Ces prix concernent uniquement l’huile d’olive en vrac.
C’est ce qu’a annoncé mardi 15 août 2023, le vice-président de la chambre régionale des propriétaires de huileries de Sfax, Morsi Chaâbane, dans une intervention téléphonique sur les ondes de Diwan FM. En cause, la récolte qui sera probablement moins bonne que celle de la dernière saison en raison des épisodes de sécheresse que connaît le pays.
Le phénomène n’est cependant pas local. Selon Morsi Chaâbane, il s’agit d’un phénomène général qui touche plusieurs régions dans le monde. L’ensemble du marché international des produits alimentaires a connu une hausse des prix.
Le responsable précise, également, que les prévisions pessimistes autour de la prochaine récolte ont provoqué une hausse de la demande tant du côté des consommateurs locaux que sur le marché international de l’huile d’olive. Le rythme des exportations s’accélère, selon ses dires. Cela explique, entre autres choses, la hausse des prix de ce produit noble.
En mai, le ministère de l'Agriculture a décidé d’autoriser les exportateurs privés à exporter l'huile d'olive tunisienne en vrac dans le cadre du quota annuel accordé par l'Union européenne à la Tunisie.
N.J
Aussi bien des gens qui volent des projets se faisant passer pour leurs auteurs, que des margoulins de bas niveau qui spéculent sur tout, puisque seul le lucre est leur motivation.
C'est un peu du même acabit que les envieux poursuivant de leur haine qui développe des idées, a de la culture, pense librement, et qui plus est leur tient tête.
Malheureusement, un pays où pas plus de 2 ou 3% lisent, et parfois un seul livre à l'année, brille par sa vacuité et l'on sait que la bêtise est la fille de l'ignorance.
C'est pourquoi, selon moi, le manque de discernement, la vulgarité et la suffisance font bon ménage chez certains.
Il en est qui pensent que ce pays n'est pas mûr pour les libertés, ni pour la démocratie, lesquelles exigent respect et civilité et des débats argumentés loin des attaques ad hominem si répandues.
Je ne tranche pas ce débat.
Voilà d'où je parle.
Et quiconque ne me respecte ne peut prétendre à être respecté en retour, c'est aussi une de mes règles de conduite.
Même si cela choque, je n'accepte pas d'être maltraité, insulté.
Je laisse les suiveurs des criminels, les applaudisseurs des voleurs, les professeurs en démocratie à leur ouvrage, et je poursuis mon chemin.
Bien à vous.
N.B. Ma réponse est le juste retour à vos deux interpellations.
Le dictateur ferais mieux de bloqué toute les exportation jusque quand les prix baisse comme ca nous les pauvres auront de l'huile d'olive dans nos assiettes !
C'est d'autant plus scandaleux parce que c'est une manière d'en priver la population.
Sauf les friqués, cela va de soi.
Si ce n'est pas de la spéculation, au moins ça y ressemble.
Quelle mentalité !
Un pays d'enfoirés livré à des gangsters et à des criminels.
Espérons que Kaissoune leur tombe dessus et fasse d'eux, une charpie.
Coût de production à la hausse.
Inflation...
Mais vous êtes biberonnés depuis toujours à une économie soviétique. Qui amène Toulouse à des pénuries.
Quand on est habitué à vendre en dessous du prix de reviens' les acteurs économiques se retirent du marché. Ey donc le produit n'est plus disponible. Ou l'état n'a plus les moyens de financer.
Le résultat est le même. Seuls les riches ont les moyens
'?conomie soviétique, pauvre rigolo, quand on n'accepte pas que le citoyen soit toujours grugé ?
Je n'en ai rien à fiche des discours de perroquet.
La justice sociale consiste à privilégier les droits des gens, pas ceux des monopoles ou des mafiosi.
C'est mon opinion.
Si les propriétaires des grandes oliveraies étaient privés de quelques millions ou dizaines de millions de dinars en contrepartie de la santé des populations, je trouverais cela légitime, normal et juste.
L'homme est un loup pour l'homme, écrivait quelqu'un, moi je préfère les hommes capables de civisme, pour qui l'autre compte autant que soi.
C'est très soviétique, oui.
Je préfère.
Cela dit, rien n'empêche d'exporter.
Les fous de devises pour se payer du luxe passent, a6 les yeux, après les besoins du grand nombre.
C'est très musulman comme raisonnement.
C'est aussi bien.