
L’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), a indiqué, dans un communiqué publié lundi 24 octobre 2022, qu’au septième jour depuis l’ouverture des dépôts de candidatures aux législatives anticipées, 891 dossiers ont été déposés auprès de ses services.
L’Isie a précisé qu’on compte à l’heure actuelle 774 candidats et seulement 117 candidates. Lundi marque le dernier jour de dépôt des candidatures aux législatives anticipées de 2022. Comme attendu, puisque le président de la République avait supprimé le principe de parité, le nombre de femmes qui se portent candidates est négligeable. La société civile s’était mobilisée pour dénoncer cette démarche présidentielle qui sape l’un des acquis politiques de la dernière décennie.
Le dépôt des candidatures aux législatives a été ouvert le 17 octobre 2022. Les candidats doivent présenter un dossier incluant le bulletin n°3, la déclaration d’impôts ainsi que 400 parrainages dûment signés et légalisés.
Les opérations qui devront se poursuivre jusqu’au 24 octobre se dérouleront dans une ambiance floue. Plusieurs partis boycottent le scrutin. Par ailleurs, un scandale en lien avec la collecte des parrainages a éclaté, des fraudes ayant été constatées au niveau des municipalités pour la légalisation des signatures mais aussi au niveau des instances régionales pour les élections.
Dans la foulée, le président de la République Kaïs Saïed, avait annoncé l’amendement du nouveau code électoral élaboré par ses soins. Sauf qu’il semble s’être rétracté.


Dans un pays en développement , arabe et musulman , la Tunisienne est présente dans tous les domaines de la société , elle est médecin, ingénieur , enseignante dans des universités de prestige ou simplement ouvrière dans l'agriculture ( elle a autant de mérite ) . Elle s'est imposée toute seule .
En politique on a imposé la présence des femmes pour le décor et cet expérience à tourné au fiasco , les ghannouchettes de l'A.R.P en était l'illustration .
avec 10% de candidats on ne peut pas avoir 50% des élus..
Donc la loi n'est pour rien
Ceux qui ont pleurniché sur la Consultation nationale, ont aussi pleurniché sur le référendum et continuent aujourd'hui à pleurnicher sur les législatives.
La Tunisie a fait son choix, elle avance. En Tunisie actuelle, il n'y a plus de place aux pleurnichards.
Vous allez regretter le "cirque" de Abir Moussi ; au moins, elle, elle dénonçait les khwenjias et démasquait l'administration de l'ARP avec ses "lobbies" et une administration aux ordres des khwenjias...
Là, ça sera opaque, fermée, "circulez, y'a rien à voir"...