
Le représentant du Centre Carter en Tunisie a estimé, lundi 19 décembre 2022, que le processus ayant conduit aux élections législatives anticipées organisées samedi 17 décembre ne répondait pas aux normes internationales.
Les élections législatives sont l’un des aboutissements de l’entreprise juilletiste du chef de l’État Kaïs Saïed. Après avoir dissous le parlement en juillet 2021, il a mis en œuvre une feuille de route incluant, entre autres, une nouvelle constitution – adoptée par référendum le 25 juillet 2022 – et des législatives anticipées pour instaurer un nouveau parlement vers mars 2023.
Le représentant du Centre Carter a ajouté, dans une déclaration à Mosaïque FM, que le faible taux de participation aux législatives était un message des Tunisiens signifiant leur rejet de ce processus. « Les Tunisiens souhaitent un processus plus global, plus transparent plus consensuel entre les différentes forces nationales », a-t-il indiqué.
Il a affirmé, par ailleurs, que cela pourrait être une motivation pour les leaders politiques tunisiens pour se réunir autour d’une même table et engager le dialogue pour répondre aux revendications du peuple tunisien.
N.J.
+++ U R G E N T +++
Ammar fournit la preuve de la fraude électorale. Il a présenté un bulletin de vote falsifié.
Sur celui-ci, ce n'est pas lui, mais Farouk Bouasker qui a été coché.
Ammar sur Twitter : "L'élection est donc invalidée".
l'assemblée, c'est moi
la constitution , c'est moi
l'état , c'est moi
le peuple, c'est moi