
Après avoir quitté le parti qu’il a, lui-même, fondé pour rejoindre, de nouveau, Nidaa Tounes, Ridha Belhaj a estimé, paradoxalement, que « les députés ayant quitté Nidaa Tounes pour rejoindre le nouveau bloc de Youssef Chahed, ont porté atteinte aux valeurs politiques ».
Ridha Belhaj a considéré qu’il s’agit, également, d’une traitrise flagrante de l’électeur soulignant que ce n’est pas une première pour les membres de ce groupe.
Et à M. Belhaj d’ajouter : « Cependant, regardons le côté positif des choses : ce qui se passe est une reconstitution de la scène politique. On assiste à la création de nouveaux pôles : Ennahdha et Chahed d’un côté, et Nidaa, Machrouû et une partie importante de la famille progressiste de l’autre », indique-t-il dans un statut publié ce soir du dimanche 9 septembre 2018.
Notons que huit députés Nidaa Tounes ont quitté le bloc parlementaire du parti pour rejoindre celui de la coalition nationale, récemment formé.
S.H

Commentaires (9)
CommenterLaisser les jeunes se débrouiller et prendre leurs responsabilités
Le plus grand avantage de la démocratie, ce sont les élections libres et supervisées par le peuple.
Article 88 : Les membres de l'Assemblée des représentants du peuple peuvent, à la majorité, présenter une motion motivée pour mettre fin au mandat du Président de la République en raison d'une violation grave de la Constitution. La motion doit être approuvée par les deux-tiers des membres de l'Assemblée. Dans ce cas, l'affaire est renvoyée devant la Cour constitutionnelle qui statue à la majorité des deux-tiers de ses membres. En cas de condamnation, la Cour constitutionnelle ne peut prononcer que la destitution, sans préjudice, le cas échéant, des poursuites pénales. La décision de destitution prive le Président de la République du droit de se porter candidat à toute autre élection.
Que ces têtes chauves et autres Sahbi Ben Frèj & Co. Comprennent, que la Tunisie n'est plus ce qu'elle était sous les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Et ce vacarme de déception et de désappointement, que beaucoup de ratés de Nidaa Tounes essayent de le monnayer contre le président Béji Caïd Essebsi, ne démontre en vérité, que leur amateurisme politique, qui ne leur permet même pas d'occuper le poste de Omda de Khanguèt El-Hojjèj.
Vive la Révolution tunisienne.
Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire.
un opportuniste sans vergone
Alzheimer
Bye-Bye
le multi retourneur de veste ose accuser!
Le ridicule ne tue ps...
La logique de l'écuelle...
Heil Ridha

