
8 députés Nidaa Tounes ont démissionné du bloc parlementaire et décidé de rejoindre le nouveau bloc de la coalition nationale ce samedi 8 septembre 2018.
Il s’agit de Zohra Driss, Moncef Sellami, Ahmed Saïdi, Issam Matoussi, Lamia Dridi, Jalel Ghedira, Mohamed Rachdi ainsi que de Maroua Bouazzi.
Ces députés s’ajoutent aux 33 députés déjà membres de la nouvelle coalition parlementaire présidée par Mustapha Ben Ahmed. Le nouveau bloc parlementaire a déclaré à plusieurs reprises sa position vis-à-vis le gouvernement réitérant son soutien à Youssef Chahed ainsi qu’à la stabilité politique.
Dans ce sens, un communiqué de Nidaa Tounes, rendu public aujourd’hui, accuse le chef du gouvernement d’avoir reçu des députés de Nidaa afin de les convaincre de démissionner du bloc parlementaire du parti et intégrer la nouvelle coalition.
B.L

Commentaires (17)
CommenterPartir tant qu'il est temps
y aura-il d'autres qui suivront?
excellentes nouvelles pour la Tunisie
Il ne semble ne jamais s'énerver. Laisse les chiens aboyer, tout en poursuivant son chemin.
Tous ces députés doivent le sentir, et espérons qu'ils font ces choix par idéologie, et non opportunisme.
Le fils de l'autre doit être dans tous ses états. Il est en train de perdre la partie. Le gourou aussi. Et les dirigeants de l'UGTT doivent en faire des cauchemars.
La fin de la récré est prête à être sifflée. Et les mauvaises augures qui annonçaient un coup d'état, ou une révolution en sont pour leurs frais.
Heureusement pour eux que le ridicule ne tue pas.....
Toujours se mettre du bon cote
Ta7et dar fi mellassine
Rira bien qui rira le dernier
Ramener la confiance et donner le bon exemple à nos citoyens
Notre pays a un besoin urgent de la frange de "gens bien" et "compétents" qui ne courent pas derrière un poste à n'importe quel prix et surtout capables d'accepter l'alternance pour le pouvoir.
Seul un courant capable (par sa vision et ses convictions)de résister aux lobbies ,débarrassé des politiciens médiocres et des vieux routiers de la politique ,des affairistes,des extrémistes de tous bords (anciens et nouveaux) pourra ramener la confiance ,faire passer les reformes et corriger la trajectoire du pays.
Avec une société civile qui affirme de plus en plus sa présence il n'est peut être pas trop tard,bien que la route soit longue pour redresser la situation.
Adieu, junior, tu as déjà causé trop de tort à notre Tunisie...
ça a donné autant d'impact que les 33
Démocratie

