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Leçon de patriotisme de Ridha Belhaj : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !
09/09/2018 | 22:33
1 min
Leçon de patriotisme de Ridha Belhaj : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

 

Après avoir quitté le parti qu’il a, lui-même, fondé pour rejoindre, de nouveau, Nidaa Tounes, Ridha Belhaj a estimé, paradoxalement, que « les députés ayant quitté Nidaa Tounes pour rejoindre le nouveau bloc de Youssef Chahed, ont porté atteinte aux valeurs politiques ».

Ridha Belhaj a considéré qu’il s’agit, également, d’une traitrise flagrante de l’électeur soulignant que ce n’est pas une première pour les membres de ce groupe.

 

Et à M. Belhaj d’ajouter : « Cependant, regardons le côté positif des choses : ce qui se passe est une reconstitution de la scène politique. On assiste à la création de nouveaux pôles : Ennahdha et Chahed d’un côté, et Nidaa, Machrouû et une partie importante de la famille progressiste de l’autre », indique-t-il dans un statut publié ce soir du dimanche 9 septembre 2018.

 

Notons que huit députés Nidaa Tounes ont quitté le bloc parlementaire du parti pour rejoindre celui de la coalition nationale, récemment formé.

 

 

S.H

09/09/2018 | 22:33
1 min
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Commentaires (9)

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LARIO
| 10-09-2018 10:48
Retourner la veste est devenue en TUNISIE une science à apprendre et à expérimenter, ces chercheurs de positionnement sont des caméléons aux aguets , là où leurs intéréts et leurs profits surgissent, ils sautent comme des kangourous et s'accrochent comme des limaces, ils s'engraissent comme on engraisse les oies et ils sont toujours à la recherche d'une proie blessée et fatiguée, ils croient que les Tunisiens et les Tunisiennes sont comme un troupeau de moutons ou de brebis qu'on peut les guider et les orienter selon leurs désirs, mr belhadj , ses consorts et ses patrons, je crois qu'il est temps de s'éclipser et de laisser les jeunes se débrouiller et tenir entre leurs mains leur destinée, et advienne que pourra

Abel Chater
| 10-09-2018 10:45
Ils ont assailli en 2014, le haut du pouvoir en Tunisie, après avoir déjoué le peuple tunisien par leur ruse de:"votez utile". Ils se sont attaqués à la tarte du gâteau comme des abeilles affamées. Ils ont entouré le vieux Béji Caïd Essebsi, en s'étant lynchés réciproquement comme si chacun d'entre eux, allait devenir lui-même président de la République. Ils avaient pensé pouvoir imposer leurs impératifs à la scène politique tunisienne, au nom du vieillard président de la République, comme étant ses cannes blanches qui lui remplacent ses propres yeux. Une nostalgie à ces timbres de donation (al-Assa al-Beidha) "la canne blanche", que nous avons toujours payés à l'association de nos aveugles. Mais hélas pour eux! Béji Caïd Essebsi, n'est qu'un président d'une République de régime parlementaire. Il n'est ni vieux d'esprit comme ils le pensent, ni qu'il n'ait jamais omis les instructions de la Constitution tunisienne, qu'il a lui-même ratifiée en 2014, par laquelle il pourrait être destitué par une majorité parlementaire.

Article 88 : Les membres de l'Assemblée des représentants du peuple peuvent, à la majorité, présenter une motion motivée pour mettre fin au mandat du Président de la République en raison d'une violation grave de la Constitution. La motion doit être approuvée par les deux-tiers des membres de l'Assemblée. Dans ce cas, l'affaire est renvoyée devant la Cour constitutionnelle qui statue à la majorité des deux-tiers de ses membres. En cas de condamnation, la Cour constitutionnelle ne peut prononcer que la destitution, sans préjudice, le cas échéant, des poursuites pénales. La décision de destitution prive le Président de la République du droit de se porter candidat à toute autre élection.

Que ces têtes chauves et autres Sahbi Ben Frèj & Co. Comprennent, que la Tunisie n'est plus ce qu'elle était sous les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Et ce vacarme de déception et de désappointement, que beaucoup de ratés de Nidaa Tounes essayent de le monnayer contre le président Béji Caïd Essebsi, ne démontre en vérité, que leur amateurisme politique, qui ne leur permet même pas d'occuper le poste de Omda de Khanguèt El-Hojjèj.
Vive la Révolution tunisienne.
Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire.

retraité
| 10-09-2018 10:23
ce paulicien de ce temps médiocre il quitte le parti qu'il a fondé avec son maitre pour rejoindre son chef à la présidence de la république puis il le quitte pour créer son propre parti comme ces milliers d'après révolution pour profiter au maximum de ce pauvre pays puis il revient à la demande de son chef à son premier pari pour consolider le fils qui est en train de perdre de son influence et il critique ceux qui quitte le parti de la famille ,il aurait du se taire parce qu'il n'est un bon exemple.on a marre de ces gens qui n'ont rien fait pour le pays et pour le citoyen ..

Jalloul
| 10-09-2018 09:57
Ce mec est atteint de la maladie d'Alzheimer puisqu'il ne se rappelle plus ses agissements consistant en la création d'un parti après avoir quitté un autre. Un doublement renégat. Il aurait mieux fait de la boucler.

Moi-meme
| 10-09-2018 08:23
Monsieur Ridha c'est le moment de quitter rien ne va plus la vision est claire maintenant je te conseille de faire un repos politique de 5 ans.

le dèçu
| 10-09-2018 07:31
Ce novice en politique et ses adjoints les chouket ,harbaoui ,bsaies et consorts sont désemparés et ne savent plus quoi dire ou quoi faire.ILS SONT dans la situation du coq décapité.ILS NE méritent plus qu'on les écoute. ILS DISPARAITRONT de la scéne politique et c'est tant mieux pour ce pauvre pays

Tunisien
| 10-09-2018 07:16
Réalise -t-il le ridicule de sa démarche ?! Si oui, il prend les gens pour des imbéciles et c'est grave. Sinon, il doit se faire soigner...

ourwa
| 10-09-2018 00:27
Il n' y a rien à faire, la marmite politique tunisienne semble chauffée par un seul carburant, celui de s'assurer , contre vents et marées, de quelques miettes d'une république en déconfiture et qu'advienne que pourra... A l'instar d'un certain Mohsen Marzouk, Ridha Belhaj , après avoir avoir été viré de la présidence de la république, se lance dans la création d'un nouveau parti, mort-né...et le voilà de retour au bercail de nidâa, ou presque...car ce pôvre, relégué sur la touche, est à la recherche d'un ancrage, et c'est à nidâa qu'il semble faire du pied...tout comme Marzouk, juste au moment où le nidâa de Hafedh C-E bat de l'aile à en perdre ses premiers duvets...Ce qui est admirable dans notre "démocratie, que tout le monde nous envie...", c'est que le vagabondage entre les partis, entre les groupes parlementaires, est quasiment devenu la règle; cela donne déjà une idée précise des programmes et des stratégies des partis représentés au parlement, autant dire un flou absolu, sinon une navigation au petit bonheur la chance et en corollaire, la danse du ventre " je t'aime, moi non plus" de Bel Hadj, tout comme de Marzouk... Tous les deux, un pied dans nidâa, un pied dehors... Messieurs, expliquez-vous, éclaircissez vos positions auprès de l'opinion publique, une fois pour toutes... Vous semblez vous accrocher aux branches du pouvoir, déjà vermoulues, en vous adossant à un mur croulant, celui de HCE, prête à sourire...L'électeur vous attend au tournant, en 2019...ou en 2020. A suivre...

Hamdi
| 09-09-2018 22:38
Sa moustache me rappelle celle de Heil Hit.. jolie