Dans la ligne de mire du président de la République, Al Karama Holding était censée enrichir l’État en lui versant les revenus provenant de la cession des entreprises confisquées au lendemain de la révolution de 2011. Onze ans après sa création, il s’avère que les dirigeants de la holding ont préféré se servir d’abord.
Des sociétés en faillite, des salariés non payés, d’autres licenciés sans aucune indemnité, le bilan d’Al Karama Holding n’est pas en demi-teinte, il est désastreux.
L’État a chargé cette holding en 2012 de céder toutes les sociétés confisquées pour son propre compte ou le compte de l'État. 22 sociétés ou groupes de sociétés confisquées se sont retrouvées du jour au lendemain dans son portefeuille.
Théoriquement, ces sociétés confisquées appartenaient aux symboles de la corruption de l’ancien régime de Ben Ali. Partant, Al Karama Holding se devait d’être un modèle de la bonne gouvernance afin de montrer aux Tunisiens que le pays a vraiment tourné la page de la corruption et de la mauvaise gestion.
Onze ans après, Al Karama Holding présente toutes les preuves que rien n’a changé dans le pays, que la mauvaise gouvernance est la règle. Pire, depuis le jeudi 7 décembre 2023, les Tunisiens découvrent que les gestionnaires de la holding se sont octroyés des salaires mirobolants, appliquant à la lettre le dicton tunisien : « ما تصح الصدقة إلا ما يتززاو مالّي الدّار » (L’aumône n’est viable que si les habitants de la maison se servent d’abord).
En recevant sa ministre de la Justice, Leïla Jaffel, le président de la République a étalé publiquement les largesses auto-octroyées par les dirigeants de la Holding qui détournaient, bien entendu, les revenus des ventes pour se servir.
D’après Kaïs Saïed, l'un des dirigeants d’Al Karama Holding bénéficiait de cinq voitures de fonction, outre les 1500 litres de carburant mensuels (valeur 45450 dinars par an). L'un des magistrats contractuels, recruté, recevait 462 mille dinars par an. D’autres dirigeants recevaient, eux aussi, des sommes énormes par an, notamment, 155,910 mille dinars, 97,669 mille dinars, 113 mille dinars, 138 mille dinars, 105 mille dinars, 146 mille dinars, 164 mille dinars…
Toujours d’après le président de la République, la holding a affecté dans la rubrique « charges diverses » quelque 387 mille dinars. Rien qu’avec cette rubrique, il y a de quoi alerter le Pôle judiciaire financier. Jamais au grand jamais, un juge tunisien, ni le fisc, n’aurait accepté de laisser un tel montant passer dans cette rubrique fourre-tout où l’on ne peut pas savoir comment l’argent a-t-il été dépensé.
Ces chiffres sont-ils exacts ? La holding n’a pas encore réagi aux propos présidentiels et on doute fort qu’elle réagisse. Ce n’est pas dans les habitudes de ses dirigeants de communiquer et ils sont loin, très loin, d’être des chantres de la transparence.
Pour comprendre ces chiffres, il faut les contextualiser. Si les salaires de certains (et assez rares) dirigeants du secteur privé sont bien de cet ordre de grandeur, il n’en est rien dans le secteur public où le salaire d’un ministre dépasse à peine les quatre mille dinars, alors que celui d’un haut fonctionnaire à la fin de sa carrière peine à atteindre les trois mille dinars. Des exceptions existent, notamment pour les banques publiques ou les sociétés publiques cotées en bourse, mais elles demeurent des exceptions. Le salaire médian dans le secteur public tourne autour de 1500 dinars et le salaire moyen tourne autour de mille dinars.
Kaïs Saïed évoque le salaire d’un magistrat recruté par la holding qui recevait 462 mille dinars par an, soit 38.500 dinars par mois. On ignore s’il parle en brut ou en net, mais il est bon de rappeler que les salaires des magistrats en Tunisie tournent autour de trois mille dinars et il faut attendre la fin de carrière pour atteindre les quatre mille dinars.
Pour ce qui est des bons de carburant, les dirigeants d’entreprises publiques et privées en reçoivent mensuellement, mais généralement les bons sont de l’ordre de deux cents litres par an. Soit 7,5 fois moins que ce que recevait ce dirigeant d’Al Karama dont parle le chef de l’État. En supposant que sa voiture consomme dix litres aux cent kilomètres, ce dirigeant devait parcourir quinze mille kilomètres par mois (500 kilomètres par jour) pour épuiser ses bons. Sachant que l’essentiel des activités se fait à Tunis, il est impossible de consommer chaque mois tous ces bons d’essence.
Pour ce qui est des cinq voitures à disposition, dont parle le chef de l’État, il est bon de noter que les dirigeants des entreprises privées et des entreprises publiques n’ont droit qu’à une voiture de fonction. Seuls les ministres ont droit à deux véhicules.
En clair, et si l’on prend les propos présidentiels pour de l’argent comptant, les dirigeants d’Al Karama Holding géraient la société publique comme si elle était leur propriété privée. Aussi discutable que peut être ce choix, il n’y aurait rien eu à dire si ces dirigeants brillaient par leur efficacité. Or, il n’en est rien. Mohamed Ali Chekir, Mohamed Bichiou, Abdelkader Zgolli et Adel Grar les directeurs généraux qui se sont succédés à la tête de la holding, n’ont brillé ni par leur efficacité, ni par leur transparence. Ils brillaient même parfois, par la violation des lois en vigueur, comme on l’a vu dans la cession (non conclue) de Shems FM sans le passage obligatoire par l’autorité de régulation la Haica.
En matière de transparence, Al Karama Holding n’a jamais publié ses résultats annuels, les fruits de ses ventes ou la situation des entreprises qui sont à charge. Son site web est pauvre, très pauvre.
En matière de gestion, les scandales ne s’arrêtent pas. Alors que les dirigeants d’Al Karama touchaient des salaires par dizaines de milliers de dinars, les employés des entreprises dont ils sont en charge cumulent les retards de salaire. C’est le cas de ceux de Shems FM. Pire, il y a ceux qui sont carrément restés sans salaire pendant des mois et ont dû aller chercher un travail ailleurs, voire émigrer à l’étranger, sans pour autant récupérer leurs milliers de dinars de dus. C’est le cas des salariés de Cactus Prod.
Quant aux ventes des entreprises confisquées, Al Karama Holding explique à peine le processus suivi et communique rarement les prix de vente. À plusieurs reprises, les montants sont fuités par les médias. Al Karama fait systématiquement signer des clauses de confidentialité aux acquéreurs pour empêcher le dévoilement au public du prix de la vente.
Parfois, quand par hasard on apprend le prix de la vente, on découvre que la cession s’est faite à un prix dérisoire, bien inférieur à la valeur réelle du bien, comme c’est le cas de Mosaïque FM.
Pour ce cas particulier de Mosaïque FM, il est bon de rappeler que le prix de cession dépasse à peine son chiffre d’affaires annuel et que la vente a eu lieu alors que le gérant-fondateur et actionnaire principal était en prison.
Cette absence totale de transparence des dirigeants d’Al Karama jette clairement le doute sur la gestion et la gouvernance de la holding. Avec ses révélations du jeudi 7 décembre, Kaïs Saïed est venu donner une preuve à ce que l’on craignait déjà.
Après la sortie présidentielle, verra-t-on ces dirigeants passer devant un juge pour mauvaise gestion ? C’est très probable puisque le chef de l’État a mis dans sa ligne de mire, depuis quelques mois, tous les chefs d’entreprises suspects de corruption ou de malversation.
Kaïs Saïed est déjà impitoyable avec ceux du privé, il est plus que probable qu’il le sera davantage avec ceux qui dirigent les entreprises publiques, car il s’agit de l’argent du peuple, comme il dit. Une instruction judiciaire est déjà ouverte, d’après les informations de Business News.
En outre, et avant même qu’un juge instruise le dossier d’Al Karama, on sait que Adel Grar est cité dans une autre affaire de blanchiment d’argent dans laquelle est détenu le publiciste Riad Ben Fadhel.
Raouf Ben Hédi
Ecrit par A4 - Tunis, le 08 Septembre 2016
La pauvre vache est à terre
Sortez vite vos longs couteaux
Sans retenue et sans prière
Servez-vous quelques bons morceaux
Elle est là, raide, sans défense
Son doux museau est dans la boue
Préparez vos chants et danses
Amusez-vous comme de vrais fous
Sortez-nous vos vieilles gamelles
Aiguisez vos canines et dents
L'occasion est des plus belles
Attaquez poitrine et puis flancs
Découpez, n'ayez pas honte
Oubliez ses yeux larmoyants
Charcutez sans tenir compte
De son long râle gémissant
C'est aujourd'hui qu'il faut le faire
Demain ça sera sûr trop tard
Profitez de cette nouvelle ère
Empiffrez-vous de gras et lard
Charcutez, peuple d'affamés
Gavez-vous, c'est de la vachette
Qu'elle soit crue ou même cramée
Ne laissez-en aucune miette
Enfoncez encore vos hachettes
Faites jaillir et couler son sang
N'ayez pitié de la "pauv' bête"
Le temps n'est pas aux sentiments
Taillez encore, la chair est fraîche
Ce n'est pas elle la vache qui rit
Le temps n'est pas du tout aux prêches
Le temps est à la barbarie !
Règle numéro 1 : Au Proche Orient, ce sont toujours les arabes qui attaquent les premiers et c'est toujours Israël qui se défend. Cela s'appelle des représailles.
Règle numéro 2 : Les arabes, Palestiniens ou Libanais n'ont pas le droit de tuer des civils de l'autre camp. Cela s'appelle du terrorisme.
Règle numéro 3 : Israël a le droit de tuer les civils arabes. Cela s'appelle de la légitime défense.
Règle numéro 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l'appellent à la retenue. Cela s'appelle la réaction de la communauté internationale.
Règle numéro 5 : Les Palestiniens et les Libanais n'ont pas le droit de capturer des militaires israéliens, même si leur nombre est très limité et ne dépasse pas un soldat.
Règle numéro 6 : Les israéliens ont le droit d'enlever autant de Palestiniens qu'ils le souhaitent (environ 12,000 prisonniers à ce jour). Il n'y a aucune limite et n'ont besoin d'apporter aucune preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il suffit juste de dire le mot magique "terroriste".
Règle numéro 7 : Quand vous dites "Résistance", il faut toujours rajouter l'expression « soutenu par la Syrie et l'Iran ».
Règle numéro 8 : Quand vous dites "Israël", Il ne faut surtout pas rajouter après: « soutenu par les '?tats-Unis, la France et l'Europe », car on pourrait croire qu'il s'agit d'un conflit déséquilibré.
Règle numéro 9 : Ne jamais parler de "Territoires occupés ", ni de résolutions de l'ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève. Cela risque de perturber le téléspectateur et l'auditeur de la TV .
Règle numéro 10 : Les israéliens parlent mieux le français que les arabes. C'est ce qui explique qu'on leur donne, ainsi qu'à leurs partisans, aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 9). Cela s'appelle de la neutralité journalistique.
Règle numéro 11 : Si vous n'êtes pas d'accord avec ses règles ou si vous trouvez qu'elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c'est que vous êtes un dangereux antisémite !!!
Eègle numero 11: Un juif a le droit de venir réquisitionner votre maison si celle-ci se trouve en Palestine peu importe que vous l' ayez payé et que ce juif en question a toujours vécu au Perou.
Le comble de la méchanceté.
Et comme il fait si beau aujourd'hui, Essafaa7 Issisi se fait reélire aujourd'hui.
Suggestion : les peuples qui se laissent respecter devraient quitter la Ligue arabo-talmudique !
Comment voulez-vous que ces escrocs ne sortent pas dans la rue ?même en en temps de pluie, une pluie qui les met déjà en colère d'être parvenue soulager le vrai peuple tunisien honnête et non pas ces escrocs nahdha qui pensaient être devenus propriétaires de La Tunisie et d'agir à leur guise, même s'ils sont supposés concernés par les terres agricoles dont celles domaniales qui ont été confisquées à l'état tunisien durant leur règne de 2011 à 2021 prétextant dans le même contexte des indemnisations (encore et toujours?!) pour leur comptes personnels (leurs comptes exisrent à ce jourvsans plusieurs pays) arguant des compensations alors qu'ils n'ont aucun niveau d'instruction aucune culture ni participé à un quelconque concours de recrutement, pourtant on a assisté en 2012 à une affluence caricaturale qui se chiffraient par centaines de milliers de demandes de recrutement desctunisiens pris au piège et essentiellement dans la fonction publique à Tunis, et que cela soit surtout à Tunis la capitale afin de permettre , contre toute attente à leurs milices et partisans (lèches-bottes) sudistes ramenés du sud de loger définitivement dans cette massacrée et surpeuplée ville comme s'il s'agit d'un '?den ou d'une Mecque de la Tunisie et de prendre place donc à tous ces recrutements fictifs et fantoches, et puis l'orque l'on exprimait cette constatation dans les réseaux sociaux que l'on est pris en grippe, sans parler des révélations relatives aux plusieurs tentatives assassinats, bien connus maintenant, dont plusieurs étaient victimes...
D'ailleurs il s'agissait de l'une de leurs premières étapes ces nahdha à savoir de mettre main basse sur la capitale Tunis et surtout de dénigrer les originaires de cette ville en les mettant sans emploi malgré leur compétence, et ce dans "la rue"(leur terrain d'action de colonisation et d'influence internationale), un terain situé devant le théâtre municipal de Tunis et dont les taxieurs destructeurs en partie de l'économie tunisienne se présentent au quart de tour les dimanches à lappel et sms de nahdha.
N'est-ce pas comme par hasard la même formule que connaissent étonnement les habitants de Palestine actuellement ? D'ailleurs on se demande si cette méthode a été appliquée et apprise à ces traîtres, par les mêmes colonisateurs de Ghaza, et puis ce à des traitres accueillis à Londres entre 2006 et 2011 en tant que soi-disant réfugiés politiques "envoyés par Ben Ali"? suite à un complot planifié depuis un certain 7 novembre 1987 désigné à ce moment par "ère nouvelle" et "tounis pour tous "(lire la phonétique de Tunis ville en dialectal) en préparatifs de l'invasion caricaturale de ghanouchi à l'aéroport de Tunis-carthage et cours du mois de janvier 2011 avec le cirque des élections pleines de corruptions (énormément dargent allouées pour la circonstance, et d'interminables magouilles prétextant la rédaction d'une nouvelle constitution qui a duré plus que trois ans pour permettre à nahdha d'étaler ses tentacules dans le gouvernement tunisien et cette influence contagieuse et microbiologique perdure jusqu'à ce jour ; d'ailleurs cette nouvelle constitution et l'arnaque de l'indemnisation font partie de la même arnaque planifiée lors de la sinécure de ces traitres, à Londres, précédemment mentionnée.
Et bien sûr ces opportunistes et affamés qui se disent nahdha, n'ayant rien à voir avec les illustres Oulemas de la mosquée Zitouna à Tunis qui dépendaient de la prestigieuse organisation apolitique "ettijah islami " mais par contre le malfrat et dupeur ghanouchi n'a jamais fait partie ni connue sauf pour jouer la carte du fonds de commerce propagandiste de prétendre avoir peur de Dieu et d'appliquer la loi dite de chariâa islamique dont il n'a de même aucune idée ni connaissance, et puis l'ignorance de cette secte nahdha acete constatée depuis octobre 2011 dans tous les domaines de gouvernance de La Tunisie et c'est pour laquelle la Tunisie a connu depuis lors une décadence socio-économique et de relations étrangères catastrophiques et dégradés voire irréversible; à moins de procéder à une thérapie généralisée qui nécessite bien évidemment un certain temps et une certaine vigilance que Le Président Kais saied est actuellement sur le point d'instaurer, à la bonheur !
A ce jour, ils n'ont pas encore été invités à rendre des comptes sur les détails des attributions de sommes conséquentes à des gens qui furent "lésés" sous l'ère de ZABA le magnanime.
Comment ces gens furent sélectionnés et comment fut évalué la somme d'argent qui leur avait été attribué.
"Il faudrait un procès public et retransmis en direct"
Ni l'état, ni même une petite administration ne peut se développer voire fonctionner correctement avec un tel mode d'organisation qui se base sur des termes et des notions que je ne trouve pas en français : 9weda, hazen 9offa pour ne pas dire l'autre mot synonyme de farine en arabe, tkanbine, tkambis, ghoura, ser9a b'dhkhama, etc. Un lexique riche et très moche !
Bourguiba n'insistait pas par hasard dans ses discours sur ces valeurs : "Al sed9 fel 9awl wal ikhlas fel 3amal". Il voulait changer quelque chose. Le constat est triste. Il a échoué. Nous avons échoué. (à bâtir cette société là).
Notre salut ? L'éducation, la VRAIE.
la faute n'est pas des voleurs mais au système inneficace des controles de l'Etat du fisc et du bien public
Il faudrait se poser ces questions :
D'où viennent t il les dirigeants de cette -Karama-je ne sais pas quoi-?
Quel est le parti politique qui les manipulaient?
Je ne savais pas qu'il exite chez nous des gens pareil
Et ne me dites pas qu'ils l'ont fait en secret
C'est une traître, incompétente, vicieuse, et incapable de gérer ne serait-ce qu'une épicerie....
Tout le pays la déteste et déteste son rcd et ses déchets....
Pour le calcul du montant de 6 milliards 963 Millions , j'ai utilisé le montant de 4 MILLIARDS 567 MILLIONS arreté par LE GRAND ENQUETEUR DE B.N RAOUF BEN HEDI dans son TRES BON ARTICLE du 27/11/2023 | 17:43 :Quelle est l'association qui reçoit des 'milliards' dont parle Kaïs Saïed ? que je vous invite à le RELIRE avec mes 2 commentaires. Et j'ai ajouté à ce montant :
1-Un TRES TRES TRES PETIT MONTANT DE 2 164 662.820 reçu le 29/11/2023 par I WATCH DE L'AMBASSADE DE HOLLANDE EN TUNISIE!!!!.
2-Un montant de 186 384,050 DE TRANSPARENCY INTERNATIONAL ROYAUME UNI ,le 29/11/2023 .Pourquoi faire? : RENFORCER LA TRANSPARENCE DANS LE SECTEUR DE LA DEFENSE!!!!!.Il s'agit bien de la défense NATIONALE et non la défense des consommateurs!!!!
Donc l'ANGLETRRE finance I WATCH pour controler la défense TUNISIENNE!!!!.
3-Un montant de 46 138 ,400 de GLOBAL GIVING le 01/12/2023.
Tous les chiffres, noms ,et dates sont tirés TEXTO DU SITE I WATCH RUBRIQUE LISTE DES FINANCEMEMENTS.
MONSIEUR RAOUF BEN HEDI GRAND ENQUETEUR DE B.N .VITE VITE VITE Nous divulguer LE NOM DE L'ASSOCIATION dont parle le PRESIDENT. N'épargnez aucune PISTE.CHERCHEZ DANS LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES (et vous comprenez quelle association je vise).LES ASSOCIATIONS DES DROITS DE L'HOMME ET DES 'LIBERTES'.LES 40 ASSOCIATIONS......NOUS ATTENDONS UN TRES BON ARTICLE DE R.B.H.
Arrête un peu de débiter des inepties sans tête ni queue et redescends sur terre.
Ce que la NATION subit ces dernières années, est le fruit du pillage et des ravages de l'extrême médiocrité auxquels s'étaient livrés, sans répit, les saltimbanques de la maudite terka avec la complicité des cartels qu'ils mirent en place.
KS n'y est pour rien. Il fait de son mieux pour gérer l'épave que les chléyék bagla-liva lui léguèrent !!
Tu nous as tellement cassé les pieds avec ton Abir.M, par ci, Abir.M, par là, que tu as fini par "klitél8a rass8a" !!!
2011 fut le fruit de l'ingratitude des bouseux et des ploucs.
Prenez-en de la graine et tournez votre main sept fois au-dessus de votre tête, avant de nous étaler tes débilités.
doivent être revus .et tout abus doit être sévèrement puni.
Wè Rabbi Yoster Tounis!
Je dirais:
Toute la maison Tunisie depuis 1957 est pourrie de la racine, maintenant elle gangrenée et doit être amputée d'urgence !
Le président ferait un excellent ministre de la justice et de la lutte contre la corruption. pour le reste...
Arrêtez de jouer les débiles. !