
La Fédération internationale des journalistes (IFJ) a considéré que l’arrestation du journaliste de la chaîne Zitouna TV, Ameur Ayed, s'inscrivait dans une série d'arrestations de journalistes qu’elle dénonce.
L’IFJ a, par le biais de son secrétaire général, Anthony Bellanger, exigé la libération immédiate de Ameur Ayed. Dans un communiqué du 7 octobre 2021, reprenant la déclaration de son affilié, le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT), la IFJ a déclaré : « Les erreurs professionnelles et les questions éditoriales sont du ressort des organes de régulation de la profession et du décret 115 relatif à la liberté de la presse, de l'imprimerie et de l'édition ».
« Nous sommes très préoccupés par la façon dont les forces de l'ordre arrêtent les journalistes critiques du pouvoir », a, également, affirmé Anthony Bellanger.
S.G
On ne défend pas le journalisme en cautionnant les insultes et les grossièretés!
On défend le journalisme par des enquêtes honnêtes, par des arguments et des réflexions constructives!
Merci pour votre retour.
Peu de nouvelles sont folichonnes, même si on commence d'apercevoir de loin le bout du tunnel.
Alors on essaie de s'amuser comme on peut. Parfois sans méchanceté, parfois moins.
J'ai, comme vous avez pu vous en rendre compte, découvert que je partage des affinités musicales avec un contributeur régulier. Vous devez le connaître. Cela rapproche, instruit et enrichit et souvent repose de certains fâcheux.
Je ne remercierai jamais assez BN de nous autoriser ces sorties de route.
Content d'échanger avec vous.
Il y a par ici des gens au commerce agréable.
Passez un bon weekend.
* Célèbre réplique du majordome dans les "Tontons flingueurs".
J'en connais des qui vous récitent tout le dialogue par coeur.
Je vous recommande "la scène de la cuisine" ou celle de "la dynamite" par Bernard Blier. Moment de détente garanti.
L'amande est un fruit de choix. Verte comme séchée. Il y en a des douces et des amères. Les douces, on peut en faire des sucrées et des salées.
Les amendes salées ne sont guère appréciées. Elles ont un goût amer, obèrent trop le budget. Elles ont du mal à passer.
Bien à vous.
La musique adoucit les moeurs !
;-)))
Que Dieu protége notre Tunisie,
Les institutions doivent fonctionner normalement. Chacune dans son domaine.
Ne pas mêler les militaires dans la politique !!!
C'est pourtant facile de respecter tous les codes ?!!!
C'est triste tous les métiers sont traînés dans la boue. Ces tunisiens décidément tout ce qu'ils ont récolte de merdelution.
Maudite cette époque où plus de respect aux métiers du Président, Premier Ministre, juge, médecin, journaliste..... où règnent les mensonges, la corruption, la propagande, la manipulation..
Ils veulent nous faire croire c'est la démocratie. Ha ha ha
Tout est bon du moment qu'on puisse nuire au Président tout est bon.