.jpg)
Le président de la République, Kaïs Saïed a assisté à la célébration du 67e anniversaire de la création des forces de sécurité intérieure. Face aux sécuritaires, le chef de l’État a haussé le ton et a réitéré les menaces.
Kais Saïed a déclaré : « Ceux qui changent de couleurs à chaque occasion et œuvrent par tous les moyens à faire échouer le processus de revendication du peuple tunisien. La vérité est limpide ! Ceux qui ont choisi le chemin de la fourberie n’ont pas de place dans cet État, afin qu’ils ne constituent pas un frein à l’assainissement du pays ».
La déclaration de président de la République survient au lendemain de l’arrestation du chef du mouvement Ennahdha Rached Ghannouchi et ancien président du Parlement dissous par Kais Saied après les événements du 25 juillet 2021.
Le chef de l’État a également indiqué que des personnes manœuvrent toujours pour appauvrir le peuple et spolier ses richesses : « Parmi les fronts les plus importants, la guerre contre la corruption et les corrupteurs qui ont commis des méfaits à tous les niveaux. Nous n’accepterons que la victoire ! Ils poursuivent leurs magouilles et entassent les richesses pour ensuite créer des crises et des tensions sociales ».
Kaïs Saïed s’est adressé aux sécuritaires en ces termes : « Nous menons ensemble une guerre de libération nationale pour accomplir notre totale souveraineté. Nous ne concèderons pas notre souveraineté et notre dignité. Nous mènerons la guerre sans répit contre ceux qui veulent porter atteinte à l’État et ses institutions, mais aussi la Patrie parce qu’ils n’ont aucune once de patriotisme. Nous devons porter ensemble le même sentiment de responsabilité ».
Le président de la République a affirmé que les Tunisiens ont fait montre de patience, convaincus qu’ils étaient du fait que ces personnes, voulant du mal à la Tunisie, allaient rendre des comptes : « La justice se doit de jouer son rôle ! ».
Kaïs Saïed fait ainsi sienne la stratégie de George W Bush, le fameux « Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous ».
I.L
De vous à moi, j'ai la vague impression que n'avez pas du tout apprécié.
Je pense, qu'avec le temps, vous vous y accommoderez.
Aller les filles, un peu de courage. La récré est finie. Onze années de statu quo, c'est un peu trop.
Vous verrez que ce n'est pas du tout dangereux de travailler et de gagner honnêtement (désolé pour l'insulte) sa vie.
Quelle joie et quel bonheur pour tes semblables de l'après coup d'Etat du 25 juillet 2021!!!
"Mèn kènè fi Niimèh wèlèm yèchkor, kharajè minhè wèlèm yèch-or".
Allez, continue à mentir et à intriguer contre le parti d'Ennahdha, car "Allah yomhil wèlè yohmil".
Allahou Akbar.
Peut-etre qu'il faudrait commencer à chercher des autres réféfences ? Et laisser à coté une fois pour toute cette connerie de la Tunisie berbère? La Tunisie a été multi-ethnique depuis la nuit des temps, et s'il y a une ethnie qui a culturellement gagné sur les autres ce sont les Arabes : c'est peut-etre un malheur, mais c'est de l'histoire.
Peut-etre qu'il faudrait commencer à analyser la realité sans trop considérer les ethnies et les races? L'homme est un animal stupide partout...
Bien à vous
Reste le Yaacoubi et sa bande...
Avez-vous entendu ces annonces du Là77às qui a présenté et annoncé l´entrée sur scène du Putschiste en Chef ? Même Bou-Petit-Cou et Ben Ali ne se sont pas permis ça !
Bisbasslou Yarja3 Ilasslou, Allah Là Ya9ti3 Linà 3àdà !
Alors..
Le défunt dictateur déchu Bourguiba, l'a dit en flagrant délit:"Enè Eddawla" ou (l'Etat, c'est moi).
"Amrèk yè Sayèdit Erraïs" ou (à tes ordres Monsieur le président).
Et je ne plaisante pas en traduisant par "à tes ordres", parce qu'on traduit "vos ordres" par (Amroukom ou fi khidmètikom) non pas (Amrèk).
Allah yostir Tounes.