
Le président-directeur général de l'Office national de l'huile (ONH), Hamed Dali, a déclaré jeudi 5 décembre 2024 que les prix de l'huile d'olive varient en fonction du marché international. Selon M. Dali, la récolte d'olives progresse normalement à l'échelle nationale, atteignant un taux similaire à la saison précédente (20%). Il a rassuré les agriculteurs en affirmant que l'État œuvre pour trouver des solutions à tout problème, tout en poursuivant la mise en œuvre des mesures présidentielles pour assurer la récolte, la transformation, la commercialisation des produits et la protection des agriculteurs. Lors d'une réunion du comité régional de l'olivier, M. Dali a souligné que l'ONH continue d'acheter de l'huile d'olive à des prix raisonnables auprès des propriétaires d'huileries et des agriculteurs. Il a ajouté que les opérations de stockage de l'huile d'olive se poursuivent dans les entrepôts de l'ONH, avec une capacité de stockage nationale totale estimée à 80.000 tonnes.
Hamed Dali a précisé que le président de la République a pris des décisions concernant le programme de stockage de l'huile d'olive. Ce programme finance le stockage à hauteur de cent dinars par tonne et par mois pendant trois mois, avec une prime supplémentaire de dix dinars par tonne pour les agriculteurs. Ces mesures visent à absorber 100.000 tonnes d'huile d'olive, soit un tiers de la production nationale, afin de stabiliser les prix et les protéger contre une baisse en dessous du coût de production.
M. Dali a également souligné que les prix de l'huile d'olive sont volatils et imprévisibles, dépendant des fluctuations des prix mondiaux. Il a noté que la production mondiale a augmenté ces deux dernières années, passant de 2,4 à 2,5 millions de tonnes par an à 3,3 millions de tonnes, ce qui a entraîné une baisse des prix à l'échelle mondiale.
Lors de cette réunion, marquée par les préoccupations des agriculteurs face à des prix trop bas pour couvrir leurs coûts, le PDG de l'ONH a insisté sur la mobilisation de tous les acteurs pour réussir la saison et sur les interventions de l'ONH. Il a aussi évoqué des solutions pour augmenter les exportations d'huile d'olive conditionnée et améliorer la qualité pour accroître la proportion d'huile d'olive extra vierge, qui représente actuellement 80% de la production nationale. Il a également suggéré un programme pour augmenter la consommation moyenne par habitant, estimée actuellement à trois ou quatre litres par an, contre onze litres dans plusieurs autres pays, en encourageant la consommation intérieure.
Les agriculteurs ont appelé à des solutions urgentes pour fixer un prix qui protège le système. Le problème n'est pas tant le stockage que des prix insuffisants pour couvrir les dépenses. Ils ont demandé à l'ONH de jouer pleinement son rôle de protection et ont insisté sur la nécessité de trouver des solutions rapides.
H.K


Vu que ce secteur est le gagne pain de plus de 400 milles agriculteurs et chaque agriculteur doit nourrir une famille, plus deux millions de personnes dépendent directement de ce secteur soit le quart du pays. Les oliviers occupe 17% des terres cultivables.
Le progrès économique passe pas l'amélioration de la productivité et la productivité du secteur des olives peut être multiples par 12 ou plus: culture plus dense (3x), plus de productivité par olivier avec de meilleures pratiques agricoles (2x), meilleur prix pour l'agriculteur (2x). Présentement on vend a l'Espagne a 10 dinars le litre (soit 3 dollars), les espagnols le revendent sur le marche américain ou européen entre $20 et $30. Donc les intermédiaires gardent 90% de la valeur.
L'ONH n'est pas l'instrument qui peut améliorer la productivité du secteur, cet office a eu 62 ans pour prouver ses capacités et a échoué. On ne peut jamais réconcilier productivité et bureaucratie. C'est difficile de voir un office bureaucratique réussir dans des fonctions tel que: le marketing, le branding, la promotion, la gestion d'inventaire VMI, le contrôle de qualité suivant les critères de plusieurs gouvernements, établir des liens commerciaux directs avec les grands vendeurs (Carrefour, WalMart, Kroger, ALDI, LIDL, Costco, Amazon...) et les grands distributeurs (Sysco..) , la commercialisation dans plusieurs pays, la création de marques qui provoquent une réaction émotionnelle chez le consommateurs...
Chacun a le droit de travailler et d exporte l huile qu il produit sans devoir passer par la bureaucratie la paperasse et des barriere a l entree hors de prix .
Les agriculteurs doivent investir , KS OUVRE LE MARCH2 et laisse les bosser si tu veux pas te faire les agriculteurs comme ennemies .
De toute facon a part les mange misere qui te soutiennent 20% le reste du pays veut ton depart