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Brahim Bouderbala : A cause de leurs apparitions médiatiques, certains avocats contribuent à la détérioration de la profession !
02/03/2021 | 09:34
2 min
Brahim Bouderbala : A cause de leurs apparitions médiatiques, certains avocats contribuent à la détérioration de la profession !

 

Le bâtonnier de l'Ordre national des avocats tunisiens (Onat), Brahim Bouderbala s’est exprimé mardi 2 mars 2021 sur la crise politique actuelle et l’initiative appelant au dialogue national, au micro de Hatem Ben Amara sur les ondes de la Radio nationale.

Au sujet de l’apparition de certains avocats dans les médias, Brahim Bouderbala a soutenu que cela contribuait à la « dégradation de la profession » soulignant qu’en leur qualité d’avocat, ils n’ont pas le droit de rendre leur avis via les médias et de s’exprimer sur une affaire devant la Justice.

« Il est interdit de cumuler l’exercice de la profession d’avocat avec la participation ou l’animation d’un programme médiatique en tant que chroniqueur », a-t-il avancé assurant qu’il œuvrait pour arranger la situation et que la question de l’apparition médiatique des avocats devrait être mise sur le tapis.

Au sujet de ses rencontres avec les parties au sommet de l'Etat et les organisations nationales, M. Bouderbala a indiqué qu’il était convenu que l’ordre des avocats, à l’instar de toutes les organisations nationales, avait un rôle crucial à jouer pour faire sortir le pays de la crise. Il estime que toutes les parties (les organisations nationales et l’exécutif) devraient mener une concertation pour avoir une vision « globale » et « objective » de la sortie de la crise.

« Le président a présenté sa vision de la situation exprimant son mécontentement concernant le processus de la lutte contre la corruption et le traitement de ce phénomène qui ne cesse d’enfler. Le président a également pointé des manquements au niveau du dispositif juridique encadrant la vie politique (les élections, la création des partis politiques… etc). Nous avons aussi discuté des processus politique, économique et social estimant que ceux ont été entravés », a-t-il martelé à propos de sa rencontre avec le président de la République Kaïs Saïed.

 « Les parties au pouvoir (la présidence de la République, le chef du gouvernement et l’assise politique du gouvernement) doivent accepter l’initiative présentée par l’UGTT et encourager les organisations nationales à s’engager au dialogue national », a-t-il conclu indiquant que l’ordre des avocats va continuer à soutenir l’initiative jusqu’à l’amélioration de la situation dans le pays .

 

I.M.

02/03/2021 | 09:34
2 min
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Commentaires
DHEJ
La Tunisie et son peuple souffriront beaucoup des AVOCATS!
a posté le 02-03-2021 à 10:50
Que dire des MAGISTRATS?!

Léon
Le grand Friaa face à la basse racaille
a posté le 02-03-2021 à 10:40
J'ai eu le plaisir d'écouter aujourd'hui une interview de Ahmed Friaa sur Shems FM. C'est toujours un régal que d'écouter les grands ministres du temps de Ben Ali, ces personnalités qui ont contribué à la Tunisie rayonnante qui imposait le respect dans le monde entier.
L'animateur, un inconnu notoire répondant au nom de Chaker Besbes, était à l'image de la plupart des animateurs de la Tunisie post-merdolutionnaire, dépourvu de dignité, se dressant en juge face à un homme qu'il aurait mieux fait d'écouter et peut-être même d'aduler.
On sentait dans les paroles de cet animateur nouvelle-génération, ceux de la Tunisie qui confond liberté de parole et arrogance, une suffisance et une certitude dignes de la parole historique du Gal De Gaulle: "un peuple sûr de lui et dominateur".
Ce garçon en quête de buzz avait devant lui une personnalité qui pouvait le hisser très haut dans le rang des animateurs radio; il suffisait qu'il fasse preuve d'humilité et poser ses questions sans parti-pris ni mauvais état d'esprit.
Mais il avait choisi le contraire, essayant de confondre un bâtisseur de la Tunisie, mettant sur la table des histoires qui rassurent les atlantistes printologues et qui ne cherchent qu'une seule chose: Celle de voir les bâtisseurs de la Tunisie humiliés par les citoyens les plus vils et les plus nuisibles.
Friaa a deux très gros défauts dans la Tunisie actuelle: Il est poli et humble. Ces deux qualités dans l'état de droit, deviennent des défauts dans une Tunisie où il aurait mieux fait d'insulter le présentateur qui se trouve devant lui, et pourquoi pas lui mettre une bonne droite avant de quitter le plateau. C'est peut-être le seul langage que comprennent les merdolutionnaires au service des atlantistes, peut-être à leur propre insu.
C'est chose vaine que d'essayer d'expliquer au révolutionnaire de pacotille qui le questionnait, la chose évidente pour le grand mathématicien qu'il est.
En effet, il lui a donné toutes les donnés et hypothèses de l'exercice et en Homme humble, il n'a pas osé lui dire les conclusions. En effet, les conclusions reviendraient à se jeter des fleurs à soi-même; chose que Friaa ne sait pas faire.
Alors, mon cher Besse-besse de Radio Shems ou plutôt Radio Dhlem, je te rappelle les données qu'il t'avait exposées et je vais conclure à la place de Friaa qui n'a pas osé le faire de peur de passer pour prétentieux.
Donnée 1: Deux démissions mises sur le bureau de Ben Ali suite à des désaccords (l'un sur un problème de distribution régionales et l'autre sur un problème plus personnel).
Donnée 2: Ben Ali l'appelle le 12 janvier pour lui filer le ministère le plus important pour gouverner un pays et lui dit qu'il aurait mieux fait de l'écouter.
Donnée 3: Friaa n'a jamais été un sécuritaire mais un chercheur et un universitaire accompli, conjugué à un Humaniste et un Homme d'état.
Conclusion: Ben Ali adressait un message au peuple tunisien, lui expliquant que le mode de gouvernance allait fortement changer et désignait le seul homme capable de gouverner la Tunisie et la faire avancer.
L'enfant du Sud, l'homme intègre, l'enfant du peuple qui n'a jamais voulu altérer la Dignité d'un autre homme et encore moins celle de Ben Ali qu'il respecte et qui le lui rend largement. C'est dans cette Grandeur Humaniste que l'enfant prodige de la famille destourienne, Ahmed Friaa n'a voulu citer aucun nom, laissant la délation aux minables merdolutionnaires qui ont enfanté de gens que besse-besse peut interviewer pour faire le buzz sur Dhlem FM.
La Tunisie de la Dignité me donne l'impression de s'évanouir à l'horizon, laissant place à la misère et à l'arrogance de ceux qui osent, quelques jours après la dévaluation de la note souveraine de la Tunisie à B3, demander des comptes aux bâtisseurs de la Tunisie, et à leur tête celui que Ben Ali a implicitement désigné; à savoir Ahmed Friaa, l'humaniste.
Mon cher Besse-Besse, il faut être un imbécile notoire pour croire, ne serait-ce qu'un instant, que Ben Ali avait choisi d'envoyer un boucher le 12 janvier pour les tunisiens. Bien au contraire; le message est clair: écouter la jeunesse et le peuple. S'il voulait envoyer un boucher, il ne serait pas allé le chercher dans les labo de l'ingénierie mathématique, ni parmi les gens qui lui ont dit non à un moment donné de leur passage au gouvernement. Mais es-tu seulement capable de le comprendre? La Tunisie est dans les mains des derniers de la classe qui comprennent et reçoivent 5/5 tes interviews. Friaa ne comprends pas ton langage. Le voyou que je suis comprends très bien ton langage et sais très bien te répondre. J'espère alors être un jour interviewé par tes soins. Tu risques de t'en souvenir assez longtemps. C'est moi qui ferais le buzz et pas toi.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.